Recherche De Faibles Coûts Du Travail Stratégies Des Firmes Transnationales

négativementl'environnement comment est bien en générant ce qu'on appelle des externalités négatives en épuisant lecapital naturel en épuisant les biens communs autant de définitions àconnaître ici mentionnons qu'une école de pensée les théoriciens de lasoutenabilité faible évoquent le rôle des innovations afin de pallier à cesfameuses limites écologiques de la croissance pour ses auteurs le capitaltechnologique les innovations peuvent se substituer au capital naturel qui estpetit à petit épuisé par la croissance économique

monétaire stable et ce système est basé sur le dollar : une monnaie mondiale, un système international d’échanges. Ce cadre sera, aussi, une sorte de tremplin pour ceux qui deviendront les acteurs privilégiés de cette internationalisation : les firmes multinationales. On aura un effondrement des barrières douanières, dans le cadre du GATT. On passe de 23 pays, en 1947, à 123 en 1975. Jusqu’au début des années 80, cette phase d’internationalisation va encore s’accélérer et le terme de mondialisation

caractérise comme un ensemble généralisé d'échanges de biens et de services entre les différents points de la planète. Tout commence au XIXe siècle avec la Révolution Industrielle qui entraine une baisse des coûts de transports avec la généralisation de la machine à vapeur mais aussi des coûts de communication avec le télégraphe. Une meilleure intercommunication entre les différentes parties du monde et d'importants transferts d'hommes, de biens et de savoirs sont ainsi possibles. Les importants flux

CHAPITRE IX L’INTERNATIONALISATION DE L’ENTREPRISE ET LES STRATEGIES INTERNATIONALES  Identifier les différents axes stratégiques possibles pour l’entreprise : croissance, diversification, spécialisation, recentrage, dégagement, survie, internationalisation  Mettre en évidence leurs intérêts et leurs limites J’ai mis ce chapitre après les options stratégiques car l’internationalisation peut avoir aussi des motivations de coûts, de compétence, de marché, de filière d’approvisionnement etc

il s’agissait d’une simple continuité dans sa stratégie de production. Le Président de la République représentant l’Etat actionnaire s’est opposé à cette décision, l’image de l’entreprise a été quelque peu dégradée dans l’opinion publique et la décision a été ajournée par la direction de Renault. Cela montre que la simple localisation d’une petite partie de la capacité de production d’une entreprise peut influer énormément sur l’image et la stratégie de celle-ci. La localisation est un terme vaste

Ohmae et le concept de globalisation : l’homogénéité des zones concernées permet aux firmes de se développer avec des produits standardisés (recherche de la relation qualité/prix). L’internationalisation séquentielle ne se justifie plus. En 2000, on distingue 3 pôles de pays développés qui concentrent 15% de la population mondiale mais 80% du commerce mondial. Le monde qui consomme est homogène, il recherche avant tout le rapport qualité/prix. Le début de la globalisation s’est amorcé grâce à

de compétitivité 7 Internationalisation 9 Partie 3 environnement interne 10 La chaine de valeur 10 Business model 13 L’organisation Horizontale : l’entreprise agile. 13 Système d’information 14 Partie 4 : stratégies 16 Stratégies 16 Partie 5 : facteur humain : optimisation des savoirs 17 L’apprentissage organisationnel 17 Analyse des portefeuilles de compétences 18 Recentrage métier 18 Introdution Durant la décennie 70, les USA connaissent

JEAN-MARC SIROËN Travail élaboré par : NOOMEN LAHIMER DEA 111 Année universitaire 2002-2003 Table des matières INTRODUCTION 4 Chapitre 1 : La théorie des IDE 6 Section 1 : Définitions de l’IDE 7 1 : Revue générales des théorie sur les IDE 7 2. Définitions opérationnelles des Investissements Directs Etrangers 9 3. La firme multinationale 12 4. La théorie O.L.I 13 4-1 : Les facteurs d’offre 14 4-2 : Les facteurs de demande 15 Section 2 : Les stratégies des Investissements

dans son ensemble, un système productif fragile et structurellement faible. Si au niveau de plusieurs branches, quelques entreprises - généralement les entreprises de création ancienne ou relevant du grand capital- réalisent de bons résultats, les performances du secteur demeurent globalement modestes. Les faibles taux d’investissement et le retard technologique, le sous-développement du capital humain et la prédominance du travail précaire, la faiblesse de l’innovation et de la qualité ainsi que

organisationnelles, commerciales, techniques, sociales et financières apportées par les entreprises déjà lancées dans l'aventure de l'internationalisation. Une aventure qui, pour être couronnée de succès, exige d'être performant sur tous les tableaux - stratégie, ressources humaines, organisation, marketing, innovation... - en se plaçant dans une perspective véritablement mondiale, mais qui sait s'articuler avec les contextes locaux. Dans cette course à la « globalisation » - selon le concept d'origine