Raisonnable Rationnel

à corriger les inégalités que subissent des personnes ou des groupes * En matière sociale Il s’agit d’une « juste » mesure, un équilibre, qui permet de rendre acceptable une forme d’inégalité lorsque l’égalité ne serait pas acceptable (raisonnable) John RawlsTraits essentiels de son approche - Conçoit sa théorie comme le processus social idéal - Conçoit la justice en termes d'exigences d'équité. - Il considère l'homme comme un être se réalisant personnellement tout en pendant à

poursuivre la recherche sur la voie tracée par ses quelques lignes conclusives du Traité de Pargumentation : « Seule l'existence d'une argumentation, qui ne soit ni contraignante ni arbitraire, accorde un sens à la liberté humaine, condition d'un choix raisonnable. (...) C'est grâce à la possibilité d'une argumentation, qui fournit des raisons, mais des raisons noncontraignantes, qu'il est possible d'échapper au dilemme : adhésion à une vérité objectivement et universellement valable, ou recours à la suggestion

présenterait donc pas d’intérêt. La nécessité du discours interprétatif L’intérêt de l’interprétation, c’est précisément que le sens n’est pas d’abord donné immédiatement, il est caché, il faut le découvrir. L’herméneutique comme discours rationnel sur le sens a pour but de dévoiler le sens caché qui se dissimule sous le sens littéral. « Pierre court », voilà le sens apparent que l’on pourrait qualifier ici de littéral ; « Pierre pense à son rendez-vous », voilà le sens qui ne peut se voir

frein à ses désirs et elle lui permet par là même, d’échapper à la tyrannie de l’instinct et de l’impulsion, ce qui contribue à faire de l’homme un être raisonnable. Nous pouvons définir la liberté morale comme étant la maitrise que la volonté humaine est capable d’exercer sur les désirs et les passions. L’homme devient donc un être raisonnable dans l’Etat, c'est-à-dire en tant que membre d’une communauté parce que c’est seulement dans la mesure où il a des devoirs envers autrui que l’homme parvient

niveau extrême, supérieur, de cette hypothétique échelle de la liberté que nous avons commencé à tracer dans notre introduction, alors, il serait tout simplement impossible que nous soyons dits, en tant que nous sommes des êtres non raisonnables, mais seulement rationnels (doués de raison), " libres ". En effet, comme on peut le voir chez Leibniz, dans le chapitre XXVI du livre II des Nouveaux Essais, qui trace ici une telle échelle, c’est Dieu qui se situe au niveau extrême, et donc supérieur, de l’échelle

des esprits, une véritable argumentation, en tant qu’elle vise un auditoire universel, fait d’abord appel à la raison de chacun. Si, dans l’idéal, l’auditoire est qualifié d’auditoire universel, c’est aussi parce qu’aucun homme compétent et raisonnable ne peut en être écarté. Il est sous-entendu que toute homme est capable de se prononcer, que l’argumentation est susceptible d’emporter la conviction, sans qu’elle relève pour autant d’une évidence théorique, ni d’une manipulation. Si c’est ma raison

I. Définition des concepts. A. La raison   Faculté humaine nous permettant de lier de façon cohérente (logique) des idées entres elles (raisonnement). Deux adjectifs lui correspondent : rationnel et raisonnable .   Rationnel : logique, cohérent, conforme à la raison théorique Raisonnable : sensé, réfléchi, qualifié une conduite, un comportement conforme a certaines valeurs.   A. La croyance.   Les deux critères à retenir sont : la subjectivité de la croyance (valable pour

sens moral …). [Enjeu:] Cela permet à Kant de concevoir l’homme dans sa duplicité naturelle comme animal sensible (déterminé par le besoin et le désir) mais aussi comme sujet moral libre (dont la volonté est déterminée par la seule représentation rationnelle de la loi). [Annonce de l’articulation logique:] Ce texte est articulé selon trois mouvements. Tout d’abord, le philosophe pose le problème de la recherche du ppe de la moralité et affirme l’opposition méthodologique entre recherche empirique et

Argument (s) : Pour Jacob Bige low, le progrès technique n’est que l’une des facettes du « progrès » en général, qui est un progrès de la raison . Si la technique progresse à l’époque moderne, c’est qu’elle devient plus rationnelle en prenant appui sur ce savoir rationnel qu’est la scien ce. Pour Bigelow, ce couplage des rationalités scientifique et technique est ce qui définit la « technologie ». Mais le progrès de la technique n’est pas seulement lié, en amont, au progrès des sciences

suis en vie. L’accomplissement de nos désirs ne peut donc pas avoir de fin. 4) Une bonne règle de vie = Une règle est une manière de se conduire, une ligne de conduite en vue d’atteindre un but qui a pour caractéristique d’être méthodique, rationnelle ; d’être définie clairement ; de ne pas laisser de place au hasard ; d’être une manière d’agir qu’il faut suivre une fois qu’elle a été établie. suivre une règle implique d’être discipliné. Une règle de vie = une règle conçue pour diriger ma vie