Pronom personnel

Tout ce que Phèdre voudrait entreprendre est détruit, chacune de ses envies est impossible. Alors, elle ne fait que subir, elle n'agit pas comme on peut le voir au vers 9 « Tout m'afflige et me nuit, et conspire à me nuire ». L'emploi répété du pronom personnel complément "me" souligne le fait que Phèdre ne fait que subir, elle est passive de ses actes. On peut voir également un polyptote avec l'emploi du verbe "nuire" à la fin de chaque hémistiche et encore les quatre verbes dans un seule et unique

fictif, presque amusé, avec un destinataire qui n'est autre que le lecteur lui-même ; * la présence du sujet observant discrètement rappelée par le pronom personnel indéfini « on » qui ponctue les étapes de la métaphore, mais sans qu'aucune subjectivité affirmée ne vienne s'intercaler entre le lecteur et la transfiguration opérée. Cet emploi du pronom indéfini « on » permet au poète de se rapprocher du lecteur. Ce dernier se laissant aller à rêvasser, à s'imaginer le décor campagnard qui défile comme

on constate la présence des lignes 13 à 45 d’un récit indirect. L’émetteur du ce récit n’est autre que Manon (l.14) « elle », qui essaye de faire pardonner sa trahison amoureuse au près du destinataire : le chevalier des Grieux (emploie du pronom personnel « je »). De plus on constate que ce récit est écrit à plusieurs temps : à l’imparfait (l.20) «  je devais », au passé simple (l.14) «  elle m’apprit », au passé composé (l.14) «  elle s’était laissé » et au plus-que-parfait. Ce récit indirect

écouter patiemment les dires de l’interlocuteur avant de répondre et profiter de ce temps de réflexion afin de clarifier ses intentions. Phrases type : « Je regrette mais… », « je ne partage pas votre point de vue car… » etc On doit trouver le pronom personnel « je » dans ces phrases car la personne assertive s’implique. Garder la connexion par le regard, qui montre que la personne est restée à l’écoute. Proposer une solution qui satisfasse les deux partis. La critique : Ne surtout pas se placer

fait mal. L'inspecteur est un homme fière et quand il a voulu montré ses talent sur le petit berger Landais il l'a tué. 3. La nouvelle est un témoignage d'un poilus. Tout d'abord, le récit est rédigé à la première personne du singulier.Le Pronom personnel « je » désigne a la fois l'auteur, le narrateur et le personnage principal : « Blaise Cendrars » est le nom du narrateur mais également celui de l'auteur. De plus, la nouvelle est centré sur un seul événement, principalement le petit Berger Landais

encore pleinement dans le cadre définitionnel. On notera le début de la phrase « On distingue la tyrannie de… » qui affine la définition première à travers une distinction binaire. On notera dans ces deux premiers paragraphes la valeur du pronom personnel sujet « On » à valeur générale ici. Il indique la définition. Le conditionnel présent dans « Cette tyrannie de plusieurs serait… » révèle bien, par rapport au présent des deux verbes « appeler » et « distinguer », l’opposition entre la définition

constance n'est bonne que pour les ridicules » par crainte des représailles) Done Elvire : Vous plaît-il, Dom Juan, nous éclaircir ces beaux mystères ?DE est désarçonnée ! Elle ne comprend rien. L'antiphrase « beaux mystères » et le choix du pronom personnel COD « nous » suggère de l'ironie. Elle se retourne vers DJ et l'interpelle d'une façon frontale mais tout en restant polie. Dom Juan : Madame, à vous dire la vérité…DJ tergiverse encore et à travers une formule de concession, fait mine de

l’action « lut », « relut » et les circonstances de la réflexion. Alternance du discours du narrateur et de la voix du personnage au discours indirect, c’est un soliloque déclenché par l’agitation extrême de l’héroïne. On note la récurrence du pronom personnel « elle ». C’est un repli sur soi, une méditation intérieure qui permet de cerner son état psychique. Les termes « retours » et « réflexions » soulignent le caractère réflexif de la pensée. Ce passage décrit l’intensité des voix intérieures.

SURNATUREL DAS ÜBERNATURLICHE. 1. Ressemble à un conte. Ähnlichkeit mit einem Märchen. Tout d’abord, nous remarquons que ce poème a des éléments semblables à un conte. En effet, il y a la présence d’un narrateur. Il est caractérisé par le pronom personnel « il » : « Er hat » zeile 3 « Er hält » z.30.Ce qui signifie que le texte est raconté. On observe cette marque dans le premier et le dernier paragraphe du poème. Zuerst bemerken wir dass das Gedicht die Elemente wie in einem Märchen hat. Tatsälich

besoin de l’autre, nous en sommes dépendant, mais si je suis dépendant de l’autre, suis-je encore libre ? Néanmoins une question persiste : Qui est ce « je » s’il n’est pas moi mais un autre ? Le « je » peut très bien être vu comme un simple pronom personnel utilisé constamment dans la grammaire française, mais si « je » n’est pas moi alors il est un autre. Or l’autre désigne tout autre que moi, différent, mais toutefois il est également dit comme étant mon semblable, mon alter ego. Nous verrons