Pronom personnel

Le point de vue adopté par l'auteur est celui d'une focalisation interne, par le biais du pronom personnel « je », qui nous indique bel et bien que le personnage principal est le narrateur. Ce récit suit un ordre de linéarité ( On ne distingue en aucun cas l'apparition d'analepses, ni de prolepses ). Le rythme du récit est plutôt sommaire, comme beaucoup de nouvelles, La narration condense en peu de lignes des actions qui prennent du temps... L'histoire débute ainsi : Charlie et son ami, le

attitude est courante à Versailles, les courtisans sont toujours flatteurs auprès des grands de la cour pour pouvoir évoluer dans le rang social. L’auteur fait une peinture vivante de la cour, ce style est plaisant puisqu’il donne de la réalité. Le pronom personnel « vous » en rajoute car il suggère au lecteur de se mettre à la place des autres personnes de la cour qui ne sont pas comme les courtisans à toujours vouloir se faire remarquer. La Bruyère se moque de ces hommes qui se croient capables de grandes

. Enfin Rabelais crée une chute «est sortie par l'oreille gauche(enfant) sorte de dénouement à ce récit.on a bien récit structuré, rythmé B. Ce texte est discourt vivant 1.Le genre de ce texte est un discourt L1«je me doute» emploi du pronom personnel «je» «nous avons déclaré» 2.Rabelais va parler de Trivial L12 «en la tâtant vers le bas». Il y a aussi un discourt vivant par les mots «Brisepail, St Genoux... Travail sur les sonorités et sur le plaisir de raconter C.Une naissance étrange

est alors partie prenante de la représentation théâtrale. Ainsi, Harpagon dans la pièce de Molière interpelle le spectateur de manière systématique par des questions rhétoriques telles que « où est-il ? » ou encore « Qui est-ce ? » et par le pronom personnel « vous » qui le désigne directement comme dans l’expression « vous verrez ». Harpagon est alors troublé et appelle au secours, comme le montre l’affirmation « mon esprit est troublé ». Il prend le public à témoin : il le supplie de lui rendre

Distinction entre locutoire, illocutoire et perlocutoire. Je t’ordonne de venir vs viens: l’un dit le faire et l’autre l’accomplir. Viens c’est un impératif, c’est un marque de valeur d’acte de langage, c’est illocutoire. L’absence de pronom personnel et le mode impératif c’est une manière illocutoire. Austin :performatifs… Explicites (62,101) je t’ordonne de partir Mixtes (101) _je suis _desolé Descriptifs (101) je me sens d’accord avec Implicites (marques d’impératifs

jugement et sa position dans cette affaire » Je dis que de tels faits , dans un pays civilisés , engagent la conscience de la société tout entière «  . Notre polémiste témoigne de son engagement ainsi que de son implication comme le montre le pronom personnel «  je «  , «  je dis «  l1 , «  je m'en sens «  l5 . Il n'hésite pas à s'accuser lui même «  je m'en sens … complice et solidaire «  l5 . Victor veut choquer , révolter son public afin de le faire réfléchir et que les députés réfléchissent à

une scène violente Tout le passage est une succession de violences faites à l’encontre de l’héroïne. La première étape de cette narration (jusqu’à la ligne 11), est l’interrogatoire draconien[4] de Suzanne. L’utilisation du pronom personnel « nous », dans la phrase prononcée par l’une des religieuses, « elle aura écrit (…) contre nous (…) » (l. 3), suggère une opposition nombreuse à l’isolement de la victime. Les religieuses s’adressent à elle en lui donnant des ordres, par des

plusieurs expression qui nous laisse deviner un décor de l'horreur. Il décrit plusieurs lieux, moments en utilisant un ensemble d'adjectifs par exemple : influences mystérieuse etc.. Le point de vue du narrateur est interne car il utilise le pronom personnel JE. Dans ce récit il y a deux public : "un double public". il y a les autres passagers sur le navire et le commandant qui écoutent l'histoire de l'homme à la tête brulé mais aussi "moi/toi/nous/ les lecteurs qui lisons le conte. Nous pouvons

trop de penser m’agitent, toutes sont pour mon père » l.1 2. Ce texte appartient au registre de l’autobiographie 3. A) le mot « les » reprend les caractères qu’il cita précédemment dans la ligne 3 B) « les » pronom personnel pluriels C) le participe passé « donnés » s’accorde en genre et en nombre avec ce que décrit « les » « les » étant placée avant l’auxiliaire

récit comme une anecdote authentique qu'il vient de vivre : « Hier, 22 février, j'allais à la Chambre des Pairs. » Il se met donc directement en scène dans son récit dans une démarche quasiment autobiographique, comme le soulignent l'usage du pronom personnel « je » et la précision du cadre spatio-temporel. Enfin, le texte de Prévert est un poème en vers libres, qui, à la différence du portrait, présente un récit : la faim de l'homme aboutit finalement à un crime présenté comme un fait divers. Par