Pragmatique Sanction de Bourges

IV le Bel. Le Gallicanisme est très présent à cette époque grâce aux décrets des conciles. Après celui de Paris, il y eu celui de Constance et celui de Bâle. Le gallicanisme effectue en 1438 son premier acte réellement gallican : la pragmatique sanction de bourges. Celle-ci limitera les prérogatives papales et affirmera la supériorité des décisions des conciles de Bâle, de Paris et de Constance sur celle du pape. De plus, dans ce décret, le roi s’affirme comme le gardien de l’église de France.

que tel ou tel acte est un cas priviligié. Dans le document 6 : L'histoire de meurtre peut ê référer devant les juridiction Laïque. En 1438, on a la pragmatique sanction de bourge, qui soumet officiellement l'église de France au roi. En 1448, on a ce qu'on appelle l'appel comme d'abus c'est une voie de droit qui consiste à sanctionne les empiètements des autorités et juridicition ecclésiastique. On peut considérer que du 10eme S on passe d'un pouvoir des évêques fort qui a sa propre justice

s’agit d’un divertissement essentiellement urbain. Quelques exemples de soties : * En 1508, les Enfants-sans Souci jouent le Nouveau Monde, dont l’auteur probable est André de la Vigne; la pièce est relative à l’abolition de la Pragmatique Sanction de Bourges par Louis XI, et aux espérances de son rétablissement par Louis XII. * En 1512, Pierre Gringoire, ou Gringore, fait représenter le Jeu du Prince des Sots, pièce dans laquelle il attaque violemment, avec la permission du roi et en

le droit de juger n'importe quel chrétien qui se présente à lui. Ces deux conciles romains débouchent en France sur une décision (un acte) royale très importante : la pragmatique sanction de Bourges (1438). En effet à la demande des paires qui avaient siéger au concile de Bâle le roi Charles VII réunit une assemblée à Bourges pour délibérer sur les affaires de l'Eglise de France. Cette ordonnance est à l'origine d'un courant très fort en France, au delà même de la révolution jusqu'à la fin du

l'autodiscipline, libère un certain libéralisme et fait l'économie d'un contrôle par l'autorité collective. En France, le plus laïc des pays occidentaux - tradition que l’on pourrait faire remonter au gallicanisme de Philippe le Bel, à la Pragmatique Sanction de Bourges, ou aux positions de Bossuet - on a plutôt affaire à une reprise administrative nationale de l'ancienne autorité catholique, où se trouve préservé un principe d'arbitrage divin et royal, désormais déposé dans l'État laïque. La Révolution

Bourguignons abandonnent l'alliance anglaise 1438 Pragmatique Sanction de Bourges 1439 Les Etats généraux d'Orléans autorisent la levée d'un impôt direct permanent (la taille) : l'impôt est permanent parce que l'armée est permanente 1453 Prise de Constantinople par les Turcs ; chute de l'empire d'Orient 1454 Ordonnance de Montil-les-Tours de réformation de la justice 1456 Réhabilitation de Jeanne d'Arc 1461 Abolition de la Pragmatique Sanction, Louis XI, roi de France 1468 Guerre du Bien Public

Traité d'Arras : les Bourguignons abandonnent l'alliance anglaise Pragmatique Sanction de Bourges Les Etats généraux d'Orléans autorisent la levée d'un impôt direct permanent (la taille) : l'impôt est permanent parce que l'armée est permanente Prise de Constantinople par les Turcs ; chute de l'empire d'Orient Ordonnance de Montil-les-Tours de réformation de la justice Réhabilitation de Jeanne d'Arc Abolition de la Pragmatique Sanction, Louis XI, roi de France Guerre du Bien Public (soubresaut de la

* A Rome tout est différent car on ne peut agir en justice que dans le cadre des fameuses actions. Il n’existe pas de sanction générale ms des sanctions particulières qui sont attachés à chaque dt particulier. Pas d’actions pas de dt. * Rome a abandonné la vengeance pv.

Bâle Lors de ces deux conciles est posé la théorie de l’autorité conciliaire selon laquelle le pape est soumit à l’autorité des conciles. Le roi de France va alors sanctionner cette théorie conciliaire. Cette sanction passe par une ordonnance qui a été qualifiée de « pragmatique sanction de Bourges » (Juin 1438 à Bourges). A bourges, le roi s’est entouré d’archevêques, évêques qui vont de nouveaux affirmés la théorie conciliaire qui suppose que les évêques ont une autorité supérieure au pape étant

d’Europe ne sont pas sacrés. Pratique pas généralisée car : * Le pouvoir veut être plus indépendant à l’égard du clergé : comme c’est lui qui sacre, le roi s’engage, prête serment. L’Eglise devient gardienne de l’engagement du roi, et peut dc le sanctionner si pas respect. * L’Eglise se méfie du sacre : on ne veut pas donner au chef temporel une autorité trop élevée. La pratique du sacre n’est pas en opposition avec l’hérédité. Dieu dit à David « ta maison et ta royauté subsisteront à jamais