Personnage Sur Fond Bleu

du monde céleste était extrêmement codifiée. Les personnages perdent toute expression sur leur visage, l'individualité des traits s'estompe beaucoup et tout les personnage sont figés dans des poses solennelle et souvent de face. Elles sont tournées vers le croyant pour instaurer un dialogue entre le fidèle et le divin qui le jauge. La taille des personnages varie en fonction de leur importance, il y à donc une hiérarchisation entre les personnages représentés : ( Palerme, église de la Martorana

308,1cm - Localisation : Chicago, Art Institute. B. Description détaillée de l’œuvre La scène se déroule dans un parc de banlieue au bord de la Seine. Le site est verdoyant, on le voit par la présence des arbres (notamment ceux du fond à droite) et de l’herbe qui jalonne le terrain. L’espace apparait comme saturé de présences humaines. De multiples personnes sont en effet représentés sur la toile. La plupart est assis, face à l’eau. La Seine ne représente qu’un tiers du tableau,

Au niveau du plan nous sommes en légère contre-plongée face au personnage, de la table les mains et le visage sont en oblique. les couleurs principales du tableau sont les couleurs primaires, jaune citron, bleu et ocre rouge. le jaune citron contraste avec le bleu foncé se qui fait ressortir la laitière qui se détache comme l’élément principale du tableau. Dans le coin supérieur gauche du tableau, se trouve une fenêtre plutôt rustique d’où s’échappe la lumière pour éclairer la laitière et la

alors sur l’Ecosse. Cette pièce est donc une tragédie, de par sa fable et ses personnages. Le spectacle : Le décor est composé de trois éléments principaux. Le premier, sur l’avant scène gauche, est composé de plusieurs panneau pivotants sur eux même, faits dans une matière noire légèrement brillante. Il permet les entrée et sorties de nombreux personnages, ainsi que la vision des reflets des personnages qui sont dedans. Le second est un ensemble de cordes, au fons à droite de la scène

ce dernier est en fait celui de l’illustration de Norman Rockwell, postérieure d’un an à cette affiche. L’affiche a indéniablement inspiré Rockwell ( le geste fait avec le bras est très proche, ainsi que le bandana) qui a choisi d’appeler son personnage Rosie, comme dans une chanson célèbre de l’époque évoquant une jeune femme travaillant à l’usine pour fabriquer des avions. Les femmes qui travaillaient ainsi pour participer à l’effort de guerre étaient surnommées les « Rosies » Rosie the Riveter

Hugo dans Les Misérables et plus particulièrement son personnage de Gavroche. Les deux hommes, à gauche, représentent la différence de classes sociales, et celui à droite est Eugène Delacroix. Disposition à la verticale. A l’arrière plan, les tours de Notre-Dame (au fond à droite) situent la scène à Paris. On distingue mal les différents personnages représentés. La lumière du soleil couchant se mêle à la fumée des canons, ce qui provoque un fond flou. Disposition horizontale. Le tableau est organisé

n’a aucune prretention realiste, seulement une visée symbolique : representer le monde et les personnages divins, donc pas utiles de representer le monde terrestreaspect desincarné ds les icones : tjrs ac un fond d’or, perso tjrs auréolé de face de maniere très frontale, perso inexpressif, pas de mouvement, stabilitéicône n’est pas comme une représentation, elle est censée capturer l’essence même du personnag,e icône concue comme une mise en présence de la divinité face au fidèle esthetique anti naturaliste

I/- Contextualiser l’œuvre 1) Présentation de Giotto 2) Révolution des codes de représentation II/- Analyse de l’œuvre 1) Présentation de l’œuvre 2) Explication de la scène a- Emplacement des personnages b- Réaction des personnages 3) Persistance des codes Médiévaux 4) Perspective partiellement acquise I/- Contextualiser l’œuvre A la fin de la période médiévale, on entre dans la Pré-Renaissance, plus précisément dans la période « Trecento »

« l’air bleu » : portrait de la jeune femme Partie 3  : « comme elle » à « sur la rivière » : attire l’attention Partie 4  : « jamais il » à « limite » les réactions de Fred Partie 1 : Commence par une phrase célèbre « ce fut comme un apparition » Dans la tradition chrétienne beaucoup d’apparition divineFlaubert désigne que c’est comme une apparition, un moment extraordinaire surprenantL’intensité de cette vision souligne le fait que le personnage est subjugué

la présence d'une salle disposée en "couloir". En effet, on peut distinguer que les spectateurs se situent non seulement sur la scène mais aussi sur ses deux extrémités. Tout comme dans un couloir. L'ambiance est sombre, noire. On peut constater au fond de la scène la présence d'un décor représentant un palais antique en ruine. Très peu éclairé, cette masse reste un élément ambiguë pour le spectateur. Il n'y a aucune séparation entre l'espace scénique et les spectateurs. Ils ont les pieds sur le