Peinture de portrait

suis inspiré du roman Le portrait de Dorian Gray, d’Oscar Wilde. Il ne s’agit pas ici de miroir mais d’une peinture, d’un portrait. C’est l’histoire d’un dandy, qui, pour préserver son apparence, sa beauté physique, vend son âme au diable. Son âme et son être restent enfermés dans la peinture. Lui ne vieillit plus, il ne lui reste que sa façade. Tous ses sentiments, sa cruauté, sa laideur… s’expriment à travers le tableau. Lui garde son éternelle beauté. Ici le portrait est le miroir de son âme,

jphilippe mercé CPD Arts Visuels 64 L’œuvre du mois - Septembre 2012 Portrait de Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, dite Monna Lisa ou la Joconde, Leonardo da Vinci, 1503-1506, Huile sur bois (peuplier), 77x53cm, Musée du Louvre, Paris. (C)RMN-Grand Palais (Musée du Louvre) / Michel Urtado La Joconde - Léonard de Vinci ARTS DU VISUEL : PEINTURE (C)RMN-Grand Palais (Musée du Louvre) / Michel Urtado L’artiste universel Leonardo di ser Piero da Vinci, dit Léonard

Bonjour à tous, aujourd'hui je vais vous présenter l'œuvre "Étude d'après le Portrait du Pape Innocent X" de Francis Bacon et vous expliquer son impact sur la perception de l'autorité. La question que je souhaite aborder est : "Dans quelle mesure l'œuvre de Bacon remet-elle en question la représentation de l'autorité, en particulier celle de l'Église catholique ?"Francis Bacon est un artiste qui a marqué l'histoire de l'art du 20e siècle avec son style figuratif et expressionniste. Il est connu pour

: Mona Lisa dit La Joconde Date : 1503-1506 Dimensions : 77cm x 53cm Lieu de conservation et de présentation : Paris au musée du Louvre Nature, type d'oeuvre : C'est une peinture, à huile sur bois Auteur, artiste : Leonard De Vinci 1452- 1519 Description et explication : Description : La Joconde est le portrait d'une jeune femme, sur fond d'un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. La femme porte une robe sombre, fait en soie et, sur la tête un voile noir transparent

Université Paris Ouest   « Écrivains et critique d'art. Le portrait en peinture et en littérature » Rodolfo Colombo (étudiant Erasmus) Le portrait des personnages dans le roman La Condition Humaine, d’André Malraux Marie LECA-TSIOMIS 2012 Dans   ce   travail,   le   sujet   sera   développé   sur   le   roman   La   condition   humaine,   d'André   Malraux,   publié   en   1933.   On   cherchera   travailler   ici

bien ce qu'il attend de ses artistes: qu'ils glorifient son empire. Il utilise donc l'art comme outil de propagande et pour servir sa légende. Pour ce faire il touche à tous les domaines artistiques: architecture, peinture, sculpture,... Attardons-nous plus particulièrement sur la peinture et l'architecture. C'est sous l'Empire (1804-1814) qu'un nouveau mouvement voit le jour en Europe: le néoclassicisme. Il est né après la redécouverte de Pompéi et d'Herculanum, et s'inspire donc de l'Antiquité

comparaisons et métaphores parfois bizarres… Comparaisons empruntées à quel domaine ? La peinture (surface), la joaillerie, le monde végétal, la danse. Différence avec un portrait traditionnel ? Portrait traditionnel : composition d’un personnage cohérent : nom, portrait physique et moral, appartenance à un milieu social. Ici : seulement le visage (figure, peau, joues, yeux, le bout de son nez : portrait par morceaux), variable selon les jours « certains jours… D’autres jours… d’autres fois » :

français majeur de la fin du xixe siècle. Initiateur de la peinture moderne qu'il libère de l'académisme1, Édouard Manet est à tort considéré aujourd’hui comme l'un des pères de l'Impressionnisme2 : il s'en distingue en effet par une facture soucieuse du réel qui n'utilise pas (ou peu) les nouvelles techniques de la couleur et le traitement particulier de la lumière. Il s'en rapproche cependant par certains thèmes récurrents comme les portraits, les paysages marins, la vie parisienne ou encore les natures

est lauréat d’un second prix de Rome. Il est élu membre de l’académie des Beaux-Arts en 1863, puis professeur-chef d’atelier de peinture à cette école en 1864. Il a souvent été membre du jury du Salon (17 fois entre 1868 et 1888). C’est donc un peintre français du Second Empire, il est l’auteur de tableaux d’histoire et de mythologie, de portraits, et de peintures de genre. Il est considéré comme un grand peintre académique : « De tous les peintres académistes, Cabanel fut à la fois le plus

du mouvement, son esthétique nouvelle, ses origines, son développement, ses caractéristi­ques diverses (cubisme écartelé) jusqu'à l'orphisme et dessine dans cette première série la physionomie de ses représentants. L'ouvrage est accompa­gné de 46 portraits et reproductions qui constituent le document le plus important pour l'histoire de cet art entièrement nouveau et son commentaire le plus lumineux. L'Intransigeant, 3 février 1913 La Boîte aux lettres [...] En Allemagne. [...] M. Guillaume Apollinaire