Peinture de portrait

méliorative et majestueuse du palais ce qui va persuader l’homme à la rejoindre. De plus, celle-ci est chanté ce qui renforce son caractère enjoleure. Ces élèments rappellent fortement le poéme « Elle était déchausée… » où Victor Hugo nous décrit le portrait d’une fille étrange et sa rencontre avec celle-çi. « Ondine » se fait ainsi sous les memes circonstances : au bord d’un lac, la nature prenant une place majeur tout au long du récit. Les deux femmes sont mystérieuses également et cachent quelque

formes visuelles du texte 25Le journal : images de la Une 26Le ' texte ' d'une peinture : Arcimboldo 27Exercices 282 PROFONDEUR ET LIGNES DE FUITEGeorges Rousse, "Fontevraud", 1984. Photographie cybachrome. 361. La représentation de l'espace dans l'art préhistorique 38a. L'occupation de la surface picturale 38b. La représentation de la profondeur 39Figures stylisées et profondeur 392. La perspective classique en peinture 40La perspective 40a. Trois exemples de recherche à la Renaissance 41- La Cène

nouveau regard sur le monde apparait ce qui est en contradiction avec le code fixé par l’église. Alors que les grandes puissances d'Europe rivalisent pour contrôler l'Italie, les peintres italiens du XVe et du XVIe siècle élargissent le champ de la peinture occidentale. Les arts se développent dans un contexte politique particulier. L'Italie n'est pas unifiée et chaque prince, chaque famille qui règne sur une ville veut montrer sa splendeur, sa puissance. Les œuvres, les grands chantiers tous liés à

débarrassés de leur glose : hébreux, grec, romain). On traduit des traités d’architecture. L’homme est au centre de la soif de connaissances des humanistes. Rabelais, la médecine et Gargantua. Leurs recherches et leurs goûts influencent fortement la peinture (thèmes mythologiques) - naissance du mécénat : les puissants commandent les monuments et les œuvres d’art. Les villes continuent à se développer et à concentrer les richesses. I La Renaissance italienne Centre : les grandes villes du nord de

il a dix ans, Félix Edouard entre au collège classique cantonnal à Lausanne, et suit des études tout à fait honorables jusqu'en 1882, date à laquelle il obtient son baccalauréat en latin-grec, tout en manifestant déjà son goût pour les arts et la peinture.  Il part à Paris suivre les cours de l'Académie Julian, où il est rapidement remarqué par Jules Lefèvre et Gustave Boulanger. Il passe le concours d'entrée à l'Ecole des Beaux Arts, où il est reçu 4ème sur 70, en mars 1883. Tout en restant chez

comme f inalité que de reproduire littéralement un modèle existant ou possible : on a là des créations littéraires complexes qui excèdent progressivement les cadres de l’intention réaliste. Le portrait de Frenhofer, par un réseau métaphorique empruntant à la peinture, renoue avec la tradition de l’ecphrasis (il s’agit moins pour Balzac de décrire un individu que sa possible représentation picturale) ; par ailleurs, l’étrangeté du costume et de la physionomie,

une dans les autres, nous a fait penser à l’idée des histoires qui s'emboîtent les une dans les autres, le cadre narratif. De plus les couches de peintures, sont l’équivalent des différents niveaux de lecture possible d’un texte. Aussi, Apollinaire a décrit les oeuvres de Sonia et Robert Delaunay avec le terme “orphisme” et que leur idée de la peinture était la recherche sur la (couleur) pure, et sur l'instantané. L’idée d'écrire l’instantané est aussi un défi pour de nombreux auteurs. b. Sonia Delaunay

Cette célèbre peinture de Picasso précède le cubisme, mais ne l’incarne pas. Elle présente plusieurs langages plastiques, alors que ce qui donne de la cohérence à un « isme », c’et la cohérence, et l’unicité d’un même langage plastique. Date : la peinture est commencée au cours de l'hiver 1906, et laissée en état pendant l'été 1907. On connaît de nombreuses esquisses qui retracent histoire de cette peinture. Picasso les a réalisées avant de se consacrer entièrement à cette peinture. Le titre

de peindre et de transformer la valeur de la peinture. Ils veulent se doter d’un rôle social. Ils forment un groupe et non un mouvement, autour de deux duo : Vlaminck et Derain et Derain/matisse. Le premier duo est celui de Vlaminck et Derain qui a lieu en 1900/1901 à Chatou. Vlaminck est révolté et autodidacte. Il souhaite traduire des sentiments sans penser à ce qui avait été fait avant. Portrait du père Bouju, Pompidou : C’est un portrait avec des touches en aplat, une concentration sur

périodes : * Pendant la première, de 1980 à fin 1982, il faisait de la peinture sur toile, représentant le plus souvent des personnages squelettiques et des visages ressemblant à des masques. Ceci montrait son obsession de la mortalité de l'Homme. Il peignait aussi des éléments tirés de sa vie dans la rue : voitures, bâtiments, policiers, jeux d'enfants, graffitis... * Une période intermédiaire de fin 1982 à 1985 présente des peintures sur panneaux de toutes matières et de toutes formes, et des tableaux