Parties Prenantes Du Groupe Lafarge

Plan • Introduction • Pourquoi la RSE ? A. Historique et causes d’émergence de la RSE B. La problématique des parties prenantes • Les acteurs, moteurs de la RSE A. Les salariés et représentants de salariés B. Les fournisseurs C. Les clients D. Les actionnaires E. Les ONG F. Les riverains, les communautés locales G. L’Etat et les organisations supra nationales H. Les générations futures I. Les milieux d’affaires proactifs

principalement anglo-saxons est élevée (environ 20 % du CAC 40) Taux de détention (en %) des investisseurs étrangers dans les grands groupes français – fin 2001 BANQUES ET ASSURANCES Inv. Inv. étrangers anglosaxons 45 34.4 50 46 20.4 9.5 29 21 INDUSTRIE Inv. étrangers Inv. anglosaxons 35 31.6 31 40 30.4 BNP Crédit Lyonnais Société Générale AXA Total-Elf Aventis Lafarge Alcatel Accor 65 60 58.5 50 49.4 Sources : Le Monde – Georgeson Shareholder Les fonds américains détiennent le plus souvent

Résultat d’exploitation courant Résultat net part du Groupe Hors exceptionnels (1) Résultat net par action (en €) (2) Hors exceptionnels (1) 2007 17 614 3 242 1 909 1 662 11,05 9,62 2008 Variation 19 033 +8% 3 542 +9% 1 598 ns 1 713 +3% 8,27 ns 8,87 -8% 2 113 1 726 + 22% (1) Hors effet, en 2007, des cessions de l’Activité Toiture et de nos activités Ciment et Granulats & Béton en Anatolie Centrale, et en 2008, de la cession de la JV Lafarge Titan en Egypte, de l’ajustement de la provision Plâtre

elles interagissent. En effet, les relations avec leurs parties prenantes sont stratégiques pour cette catégorie d’entreprises et ont un impact non négligeable sur ces dernières. Par conséquent, une problématique s’ouvre devant nos yeux. A savoir, déterminer à travers les fondamentaux théoriques, l’aspect familial ou non familial de l’entreprise BOUYGUES, et quel est l’impact des relations avec leurs parties prenantes ? A travers l’étude du groupe BOUYGUES et suite à la présentation historique de ce

place une démarche de Supply Chain ? Toutes ces questions nous amène à poser une problématique : La logistique durable, mal nécessaire ou réelle opportunité ? Pour cela, nous verrons dans une première partie l'intégration du développement durable dans la Supply Chain. Dans une deuxième partie nous analyserons la stratégie environnementale. Nous terminerons avec des exemples de cas d’entreprises qui utilisent la Supply Chain Verte. I) L'intégration du développement durable dans la Supply

Réflexion Crise financière : le principe de Fair Value, (1) vrai ou faux coupable ? par Nicolas VÉRON Économiste, BRUEGEL Olivier POUPART-LAFARGE Les normes comptables, applicables par toutes les entreprises cotées européennes depuis 2005, ont fait l’objet de nombreux débats et controverses avant d’être validées et ont ensuite été soupçonnées d’être à l’origine de la crise financière actuelle. Le principe de la juste valeur est en effet contesté dans certaines de ses applications, en particulier

Mémoire de Projet de Fin d’Études Pour l’Obtention du : Master 2 Miage Option Systèmes d’information distribuée Sujet : Conception et développement d'une solution de Retail-Mapping pour le Groupe Lafarge - Module Web- Soutenu par : Sous la direction de : Med Abdelfettah EDDABBEH M. Kamel SMAILI M. Khalid BENALI Année Universitaire 2013-2014 ‫بسم‬ ‫ميحرلا نمحرلا هللا‬ ‫﴿وما تَوفِ ِيقي إِال ِِب ِ‬ ‫هلل َعلَي ِ‬ ‫ْت وإِلَي ِه أُنِ‬ ‫َّ‬ ‫يب﴾‬ ‫ل‬ ‫ك‬ ‫و‬ ‫ت‬

suit : Dans un premier lieu on exposera l’audit de la fonction contrôle de gestion selon une approche théorique (chapitre I), dans un second lieu, on présentera les phases d’élaboration de la mission d’audit du contrôle de gestion dans le cas de Lafarge Maroc (chapitre II). Chapitre I: L’audit interne et opérationnel de la fonction contrôle de gestion : I. La fonction contrôle de gestion[2] Le contrôle de gestion est apparu vers 1920 dans les grandes entreprises américaines

Past President de l’IFAC, et Claude Bébéar, président du Conseil de Surveillance d’AXA, en critiquant sévèrement l’organisation de la gouvernance de l’IASB, se sont démarqués des positions consensuelles de Bertrand Collomb, président de Lafarge, président de l’AFEP et membre du collège des trustees de l’IASB. L’Ordre des expertscomptables au cœur des enjeux Ce colloque « prend appui sur cette conviction selon laquelle la place de notre profession dans le débat sur les IFRS doit

manipulation. L’expression « gestion du résultat » n’est pas entachée de cette dimension péjorative. Degeorge, Patel et Zeckhauser (1999) la définissent comme l’utilisation de la discrétion managériale pour influencer le résultat diffusé auprès des parties prenantes. Mais elle est moins complète que l’expression « manipulations » car toutes les manipulations n’ont pas nécessairement des conséquences sur le résultat, c'est-à-dire sur le solde des états financiers. Manipulations comptables intègrent :