Parties Prenantes De La Société Générale

Chapitre 8 Les parties prenantes et les contre-pouvoirs Le fonctionnement de toute entreprise est l’objet de conflits de pouvoir car il repose, en interne, sur des individus et des groupes qui ont des objectifs propres et rarement tout à fait concordants et, en externe, sur les agents économiques de son environnement qui agissent en fonction de leurs propres objectifs. La nature des relations qui se nouent entre les acteurs au sein de l’entreprise et avec les partenaires extérieurs, influence

nanotechnologies, nombreuses innovations dans les ciments et bétons - une dimension sociale : Elle se préoccupe de ses parties prenantes internes et externes : - notamment de la satisfaction et de la sécurité de ses salariés (favoriser la participation et la progression des salariés), - mais aussi de ses futurs collaborateurs potentiels - et de la société civile en général (contribuer à la protection d’un monde meilleur) => Dispositifs mis en œuvre pour atteindre la dimension économique

un plan cohérent, unifié et intégrateur. Selon Steiner et Miner (1982), la stratégie est une réponse aux forces externes et internes qui ont un impact sur l’entreprise. Pour Andrews (1987), la stratégie est une force mobilisatrice pour les parties prenantes de l’entreprise. Pour Porter (1980, 1985), la stratégie est la recherche d’un avantage concurrentiel. . Ahmed-Benmejdoub© 2012 , 2 LE CONCEPT DE LA STRATÉGIE Les décisions stratégiques répondent à 3 questions : Où veut-on aller

INTRODUCTION GENERALE : Dans le monde d’aujourd’hui, la surinformation fait rage. Ainsi, la transparence a pris plus d’ampleur en tant que valeur essentielle pour l’ensemble des acteurs de la vie économique. Pour les entreprises, au fil de ces années, cette transparence leur a donné l’obligation de répondre aux attentes de diverses parties prenantes sur des sujets sociétaux et environnementaux. Les entreprises dépendent de la légitimité et de l’acceptation d'un nombre croissant

d’entreprise, portent sur les certifications des dépôts de prospectus annuels et intérimaires des émetteurs, les comités de vérification interne et le nouveau Conseil canadien sur la reddition de comptes qui vise à surveiller les vérificateurs des sociétés cotées.  Les questions de gouvernance d’entreprise sont également au cœur des propositions que les Autorités canadiennes en valeurs mobilières sont à élaborer relativement aux exigences de déclaration de l’information en matière de gouvernance

interviewer Monsieur Yves Galland, Directeur Général de Boeing France, mais par manque de disponibilité de son agenda, nous n’avons pu le faire. Nous souhaitons également remercier notre tutrice professionnelle Sandrine Place qui nous a orientées dans la définition de notre sujet et nous a donné de nombreux conseils afin d’approfondir notre réflexion. Elle nous a surtout aidées dans nos préconisations qui nous ont permis d’enrichir la troisième partie de notre mémoire. Nous remercions également nos

certain nombre de crise économique ont secoué le monde, un moment qui a accentué la confrontation entre la société et les acteurs du système économique actuel. Dans ce cadre la Responsabilité sociale d‟entreprise apparaît comme une réponse, car tendant à modifier l‟action de l‟entreprise dans la société, en veillant à ce que l‟activité économique ne porte pas préjudice à la bonne marche de la société. Depuis l‟année dernière nous faisons un travail de recherche sur le couple communication et responsabilité

que la conjonction de ces facteurs accentue l’écart perçu entre les attentes des parties prenantes (E. Freeman, 1984 ; A. Carroll, 1991 ; J. Post, L. Preston et S. Sachs, 2002) et les objectifs des entreprises. Dans ce contexte, il est intéressant de voir comment les grands groupes appartenant au CAC 40 ont répondu à cette contrainte d’adéquation, entre leurs buts privés et l’intérêt général, et si les sociétés aux bilans financiers délicats ne se sont pas orientées vers des outils quantifiables

and Research-Technology Management. RÉSUMÉ Cette étude analyse l'impact de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) sur la valeur de la marque, elle se base sur un échantillon d’un groupe de sociétés américaines avec les meilleures marques mondiales. Sur la base de la théorie de partie prenante instrumentale, nous confirmons que RSE est une source valable d'avantage compétitif intangible. Elle n'est pas utilisée, cependant, à son potentiel complet, étant donné que la RSE a moins d’impact sur

BTS S.T.1 C.2 Le 22/01/09 MANAGEMENT DES ENTREPRISES : Devoir n° 4 Durée : 1 heure 15 Le cas « LAFARGE» A partir des documents que vous avez étudiés pour ce jour et dont vous disposez, de vos connaissances et de votre réflexion, vous traiterez les questions suivantes de manière claire et structurée : 1- Présentez les dimensions de la finalité de LAFARGE et, pour chacune des dimensions identifiées, indiquez deux dispositifs mis en œuvre pour l’atteindre. (3 points) 2- Commentez la manière