Oisiveté

réfléchir sur son comportement, son action dans la loge et son évolution depuis l’initiation. Naturellement ,je ne peux que mesurer que le travail est encore long pour tailler cette pierre brute, approfondir les symboles et que absentéisme, paresse ou oisiveté n’aident pas à ce connaître soi-même. Les mois s’égrenant on oublie trop certains détails. Et je vous le confie je ne dédaigne pas les belles choses , je sais aussi que réserve naturelle peut passer pour dédain. Je ne me satisfais pas pour autant

parties, le matin : le travail, on appelle cette partie de la journée negotium qui signifie travail, commerce. La deuxième partie de la journée, l’après-midi est consacré aux loisirs, l’ensemble des loisirs son symbolisés par le mot otium qui signifie oisiveté, inaction. 2) Les loisirs savants : Pour les hommes cultivés, philosophes, écrivains comme Cicéron, Sénèque ou Pline, l’’octium est surtout une occasion d’enrichir sa culture, son intelligence, il est consacré à des loisirs savants comme la

existence dans l’action. « S’attacher à ne pas rechercher le bonheur est un travail à temps plein » Montaigne, dans le chapitre sur l’expérience (les essais), nous dit que nous sommes de grands fous car nous pensons que celui qui a passé sa vie en oisiveté n’a rien fait de son existence, mais en fait, n’as-t-il pas vécu ? N’est-ce pas là la tache la plus importante ? celle qui doit nous occuper ? Notre grand et glorieux chef- d’œuvre , c’est de vivre à propos. La grande occupation est d’agir sans rien

Madame de la PommerayeAinsi, au thème narratif du voyage qui sert de fil conducteur à ce roman foisonnant s'ajoute un thème philosophique qui conduit le lecteur à s'interroger sur la notion de libre-arbitre : il est abordé explicitement dans la conversation entre les deux voyageurs mais il est aussi présent implicitement dans l'histoire de Madame de la Pommeraye et du marquis des Arcis« Elle songea à se venger, mais à se venger d’une manière cruelle, d’une manière à effrayer tous ceux qui seraient

payer aux autres le privilège d’être autorisés à exister et à tra- vailler. Ces propriétaires fonciers sont des oisifs et on pourrait donc d’attendre à ce que j’en fasse l’éloge. Malheureusement, leur oisiveté n’est rendue possible que par l’industrie des autres ; en fait, leur désir d’une oisiveté confortable est, d’un point de vue historique, la source même du dogme du travail. La dernière chose qu’ils voudraient serait que d’autres suivent leur exemple. Depuis le début de la civilisation jusqu’à

seulement peu éduquées mais aussi sous l’autorité de leurs maris. La femme n’a pas le droit de parole devant une assemblée chez les Romains, elle est faite pour s’occuper des enfants, de leur éducation, de la maison et sont caractérisées par leur oisiveté. Là est la grande différence entre Bouddica et les femmes romaine puisque Dion Cassius lui prête un discours, une prise de parole, et en plus, devant une assemblée guerrière ! b. La femme en chef de guerre. « Tout arriva par le fait d’une femme

33. On en déduit d’ab que le philo ne s’adonne pas aux « dissipat° » (désordre, débauche), il a une vie réglée. *Derriere ces lignes, on app certaines critiques trad fait par les philo trad aux puissants de ce monde, à l’aristo surtt, contre leur oisiveté et leur immoralité (vivent ds le vice). *A cette immoralité s’opp la « probité » (x3). Le Philo ne perds ps son temps ds les dissipat°, et ils ne st ps « féroces envers ceux » -> Le Philo a le sens de l’égalité entre les H. 4) Philo différent des

➢ Patois ( langue plus soutenue ➢ Patronymes : Tuvache/particule d’Hubière ➢ le comportement « gaité » capricieux de madame d’Hubières. ➢ L’éducation qui fait partie des propositions de M et Mme d’Hubières. ➢ Les activités ( oisiveté. 8) Les personnages : ➢ Mme d’Hubières : impulsive, égoïste, capricieuse, persévérante, engagée ➢ M. d’Hubières : diplomate, fin négociateur, déterminé, un peu soumis aux volontés de son épouse, réfléchi et posé. La nouvelle

homme hors de la société. Pour eux, l’Homme hors de la société en est réduit au statut d’animal, avec « qu’un animal sauvage, féroce, ignorant » (l.17-18). De plus, ils usent de termes péjoratifs comme « grossièreté » (l.16), « ignorance » (l.16), « oisiveté » (l.19) et « proie à l’ennui et aux soucis dévorants » (l.19). Aussi, nous retrouvons dans la citation de Sénèque que les hommes seuls sont des « victimes pour les autres animaux » (l.23-24) et qu’il « est de toute part environné de faiblesse, n’ayant

son enfance, il dit dans une interview : « La pire période de mon existence. Les décisions sont toujours prises par quelqu'un d'autre : parents, professeurs… Je n'en garde aucun bon souvenir. » Au début des années 1980, pour occuper son oisiveté, il se met à fabriquer des petits meubles en bois, qu'il tente de vendre, ce qui lui permet d'entrer en contact avec des personnalités du design comme Ettore Sottsass et le groupe de Memphis. Il fait alors éditer un catalogue de ses réalisations