Oisiveté

fenêtres de son ancienne maîtresse. Il s’adonne également à l‘alcool. Lorsque Octave découvre que sa maîtresse trahit également l’ami avec lequel elle l’a trompé, il se résout à accepter les conseils de Desgenais : il mène alors une vie de débauche . Oisiveté, fêtes et séduction de courtisanes deviennent son quotidien. Mais ces plaisirs ne parviennent pas à estomper son mal-être . Il se lasse vite de cette vie artificielle et confie à son ami Desgenais l’horreur que provoque en lui cette dépravation.

• Les êtres du dehors : « les gens » (pluriel qui s’oppose au singulier, marque de solitude) ; « ceux à qui ce séjour tranquille / Est inconnu » (pluriel encore) (met en relief que le prisonnier est oublié…) • L’activité : « font la lessive » # oisiveté 1. Un journal mais … intime : l’expression du mal-être et le lyrisme 1. Une réflexion sur la langue : un cliché revivifié qui reprend tout son sens Part d’un cliché, d’une comparaison galvaudée (« Triste comme la porte d’une prison ») et lui

de livrer ce travail, il serait judicieux de donner un bref résumé du contenu de l’ouvrage, afin de bien comprendre notre analyse. 2. Résumé de l’histoire : L’Adversaire raconte le drame de la vie de Jean-Claude ROMAND qui parvient à cacher son oisiveté, son inactivité professionnelle à la totalité de son entourage durant 18 ans. Cette vingtaine d’années de tromperie se soldera finalement par un crime effroyable. Las de mentir, fatigué de craindre sans cesse que ceux qui lui sont chers risquent

aristo (fondées sur hérédité), les sociétés bourgeoises insistent sur fait que obtention de la richesse = récompense les efforts de l’individu. Travail du capitaliste « moralement supérieur à celui de l’ouvrier » (car travail manuel) et supérieur à oisiveté des aristocrates * mais ascension des « haillons à la richesse » semble être exceptionnelle (ex : Parisien Cail, entrepreneur dans le chemin de fer) * majorité des dirigeants d’entreprise viennent des classes supérieures c) La grande

Voltaire prend nettement position en faveur du progrès. La nécessité de creuser les troncs d'arbre et d'affronter les cours d'eau, puis les mers, a toujours été présentée comme une des contraintes de l'âge de fer. Les hommes ont quitté la douce oisiveté de l'âge d'or pour affronter le travail. Virgile évoque cette idée dans le Livre I des Géorgiques, auquel pense sans doute Voltaire lorsqu'il écrit Le Mondain. Mais c'est aussi la parabole de la Bible : Adam et Ève, chassés du paradis, doivent « gagner

amour que son père réprouve ; Théramène, freudien avant l’heure, avance que c’est cette interdiction qui excite la passion du jeune homme.2) Le présage d’un bouleversement : destin irrévocable ? ~ Hyppolite pressent le trouble ; il se reproche son oisiveté, projette de s’enfuir.> Désir d’identification : il désire suivre les pas de son père, en imitant ses exploits, tout en se distinguant en excluant tout déboire amoureux. En fuyant pour le rejoindre, il fuit l’angoisse de l’amour, // le mauvais côté

de vaquer à des occupations oisives comme le cabaret. Bertaux nous explique clairement que beaucoup de lundi sont des lundis chômés : le "saint lundi", ceci développe l'alcoolisme et donc met en péril le bon fonctionnement de l'entreprise. Cette oisiveté entraine également l'apparition de dettes, qui poussent les ouvriers à quitter la ville et donc l'entreprise, ce qui a des répercutions négatives sur la production. Pour finir, certaines entreprises comme le fit la U.S Steel ( entreprise de sidérurgie)

vivre". L'auteur dénonce l'inégalité des hommes, l'injustice sociale ainsi que le mépris et l'indifférence des grands à l'égard de la misère du monde rural. Ils n'ont aucune reconnaissance pour cette partie de la population à laquelle ils doivent leur oisiveté et leur survie. Rmq 129: Il s'agit ici d'un portrait: celui de Don Fernand. C'est un portrait rapide et court. L'auteur nous décrit Don Fernand par une accumulation d'adjectifs, sorte de gradation grâce à laquelle il définit le caractère de

refuge » (l.59-60). Il n’est pas agréable, il est en effet comparé à un « trou », à un « caveau » (l.73) C’est d’abord un lieu d’oisiveté : Laurent y savoure d’abord la tranquillité, c’est un « lieu de paix » (l.86) Mais lorsqu’il se lasse de son oisiveté, il se remet à peindre et on lui faire remarquer que tous les tableaux ressemblent à Camille. Le visage de Camille se met à le hanter. Laurent a des hallucinations et il décide de ne plus peindre.

histoire caractéristique qui le peignait en entier. Au fond, c'était unparesseux, ayant des appétits sanguins, des désirs très arrêtés de jouissancesfaciles et durables. Ce grand corps puissant ne demandait qu'à ne rien faire,qu'à se vautrer dans une oisiveté et un assouvissement de toutes les heures.Il aurait voulu bien manger, bien dormir, contenter largement ses passions,sans remuer de place, sans courir la mauvaise chance d'une fatiguequelconque. La profession d'avocat l'avait épouvanté, et il frissonnait