Oisiveté

Tanville. Pointe de jalousie de la part de Cécile ( "la superbe [...] est venue" ) = Cécile est superficielle et envieuse. Personnage frivole Manque de maturité, ne sait pas comment s'occuper intelligemment ( "pas encore 5h [...] à te dire" )(=ironie) Oisiveté de Cécile ( "toujours sans rien faire" ) Beaucoup de gout pour les choses futiles ( admiration de sa chambre, de son secrétaire ... ) = Extase de connaître des choses simples Cécile est restée une petite fille ( "a moi", "gronder", "Maman" )

cte I, Scène 1 HIPPOLYTE, THERAMENE HIPPOLYTE Le dessein en est pris : je pars, cher Théramène, Et quitte le séjour de l'aimable Trézène. Dans le doute mortel dont je suis agité, Je commence à rougir de mon oisiveté. Depuis plus de six mois éloigné de mon père, J'ignore le destin d'une tête si chère ; J'ignore jusqu'aux lieux qui le peuvent cacher. THERAMENE Et dans quels lieux, Seigneur, l'allez−vous donc chercher ? Déjà pour satisfaire à votre juste crainte, J'ai couru les deux

plus grande partie des pays où règne la pauvreté. Le cas de mon pays, la Côte d'Ivoire, est significatif. La plupart des rebelles sont de jeunes desoeuvrées qui ont été recruté dans les quartiers populaires et autres endroits où règnent précarité, oisiveté, pauvreté. Ne dit-on pas que " ventre affamé n'a point d'oreille" et aussi que "l'oisiveté est mère de tous les vices". Une population pauvre est un terrain fertile pour les pyromanes guerriers. Un jeune affamé, oisif qui a à peine 500F/jour (≈ 1ε)

mélancolie, Je rêve dans un lit où je suis fagoté, Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté, Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie. Là, sans me soucier des guerres d’Italie, Du comte Palatin, ni de sa royauté, Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon âme en langueur est comme ensevelie. Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, Que je crois que les biens me viendront en dormant, Puisque je vois déjà s’en enfler ma bedaine, Et hais tant le travail, que, les yeux entrouverts, Une main

morts-vivants, des « zombi ». L’auteur dénonce aussi les jeux et l’« érudition superflue », celle qui nous est inutile, qui ne nous apprends rien, et ne servira qu’a témoigner de la vanité d’une anecdote. Page 36, le philosophe nous apprend que la vraie oisiveté et en fait l’exercice de la sagesse et de la pensée, et il cite alors les auteurs qui nous permettent réellement d’apprendre à vivre : Socrate, Carnéade, Épicure, Zénon, Pythagore, Démocrite, Aristote, Théophraste, ou encore les stoïciens et les

comme un Don Quichotte en sa morne folie.

                              Là, sans me soucier des guerres d’Italie,
                             Du comte Palatin, ni de sa royauté,
                              Je consacre un bel hymne à cette oisiveté
                              Où mon âme en langueur est comme ensevelie.

                              Je trouve ce plaisir si doux et si charmant,
                              Que je crois que les biens me viendront en dormant,
                             

château de Versailles. Il invite par ailleurs Molière et sa troupe pour y faire des représentations théâtrales. 2) A cette époque, il existe 3 grands ordres : le Clergé, les Nobles et le Tiers-Etat. C’est Dom Juan qui incarne la noblesse avec son oisiveté sans pareille ainsi que ses ombreux privilèges qu’il utilise sans modération. Le tiers-état serait incarné par Sganarelle, le valet de Dom juan, car il dénonce toute l’injustice qu’il y a entre le tiers-état et les nobles. Le clergé est moins présent

interne au v. 2). « doute mortel dont je suis agité » : semble annoncer l’intrigue, le problème que le héros doit résoudre. Quel est ce doute ? L’adjectif « mortel » est très fort et indique un trouble important. « rougir de mon oisiveté » : on notera l’opposition agité/oisiveté à la rime qui oppose le trouble intérieur et l’insouciance extérieure. + « rougir » porte l’idée de honte, qui court tout au long de la pièce : l’honneur du héros lui impose l’action. « mon père » « tête si chère » qui riment

travaille rarement seul , activités ou travaux pénibles . Le travail est aussi une valeur morale ; il n'y a pas de plus grand vice que la paresse . Cette valeur morale du travail a une histoire ; pour les Romains : otium différent de labor ↓ oisiveté otium : période de temps consacré à des activités différentes de celles du labor ; il s'agit d'activités libres ; c'est la vie libérale . Ça a pour but la sociabilité , le jeu , la fête , le plaisir , lé créativité , la gratuité … Plus tard

mort. Doute qu’Hippolyte vit comme une faute cf. «  rougir »=1ère occurrence => registre de la culpabilité. Le thème de la culpabilité apparaît au moment où il parle de son père. Hippolyte est obsédé par l’image de son père. Il a honte de son oisiveté par rapport aux exploits de son père. Hippolyte apparaît donc comme un personnage hésitant de son père : v.5/6 «  je commence à rougir …» / « depuis plus de 6 mois… » =< la décision de partir est prise après un long moment d’hésitation. L’absence