Oisiveté

n'était pas moins esclave peu de temps avant. L'auteur attache de l'importance à cet aspect dans le texte en faisant référence à un argument d'autorité en citant Sergio Buarque de Holanda. Une accumulation de qualités « nobles » prédomine : «  leur oisiveté, leur aversion à tout effort discipliné, leur imprévoyance, leur intempérance, leur préférence pour les activités prédatrices ». Sous le règne de Pedro II, l'indien est totalement assimilé comme étant la force du Brésil : « idéalisé », « symbole

disparition déjà depuis 6 mois, cette inquiétude est exprimé par la répétition du mot « J’ignore… » (Anaphore V6 et7). L’attachement qu’il lui porte tient de de l’admiration et du respect «arrête, et respecte Thésée». «Je commence à rougir de mon oisiveté.» (V4) et « d’une tête si chère » (V6), montre qu’il lui accorde une grande importance. Il culpabilise de ne pas l’avoir cherché plus tôt en dépit du fait que Théramène l’ait cherché partout, et jusqu’à l’entrée même des portes des Enfers ce qui

Dans Boule de suif c’est un peu la même chose, mais les bourgeois la pousse à coucher avec le général pour être libéré. Dans les deux livres, ils représentent les types sociaux. Dans Boule de suif on voit clairement la classe bourgeoise et leur oisiveté. Dans Le thé au harem d’Archi Ahmed on peut voir la classe ouvrière et leur problème comme avec Josette.

contre-exemple. Il ne s'agit plus de vivre mais de survivre en s'adaptant à un environnement conçu tout entier pour l'efficacité et la productivité. Le machinisme est porteur de chômage, au moins dans un premier temps. Or le chômeur, qui connaît une oisiveté forcée et inquiète, n'est pas enclin à se cultiver. Comme le suggère Bergson, la technologie a envahi les loisirs et propose, grâce aux puissants moyens de diffusion, une fausse culture : culture "de masse" faussement populaire, fabriquant de

l’eau et la navigation, le fou, à la différence du lépreux intouchable, nous touche moralement comme une part de nous-mêmes. Si « l’internement fait suite à l’embarquement » 11, le rapport au fou vise moins la guérison que la condamnation de son oisiveté. La correction impose le travail aux pauvres par le « labeur châtiment » 12. La contrainte physique impose l’ordre moral à l’ordre physique. La purification des corps en 1780 touche la chair par le châtiment : « S’il faut soigner le corps pour effacer

humanise car il développe les facultés qui sont en nous Un homme a vocation à penser Travailler c’est réfléchir et donc montrer sa nature d’homme C. Travailler, n’est-ce pas l’activité dans laquelle l’homme doit se réaliser ? Paresse / travail / oisiveté Paresse : on fait travailler les autres Elle peut être nocive Mais l’oisiveté « mère de tous les vices » : l’oisif n’est pas rentable, productif L’oisiveté c’est du temps vacant : c’est du temps nécessaire à penser ce qu’on fait Chez Kant

activités nobles, par opposition au negotium (dont nous tirerons le terme « négoce »), notion négative qui qualifie le temps des obligations basses, purement alimentaires auquel est tenu le vulgum pecus (« commun des mortels »)... Promoteur d’une oisiveté tout aristocratique, Sénèque voit dans l’otium la possibilité d’atteindre la tranquillité de l’âme. Il rejoint en cela Aristote, pour qui le travail est l’apanage de l’esclave : une activité dégradante qui détourne de l’accomplissement de soi et

richesse est attisé par la vision du milieu dans lequel évoluent les riches de l’époque, un milieu qui s’apparente à ses yeux à un monde où les soucis financiers n’existent pas, pourvu de belles demeures, de belles femmes, un monde caractérisé par une oisiveté des plus agréables. Mais, pour faire partie de ce monde, Duroy a conscience qu’il faut travailler et ruser puisque la fortune et la gloire ne peuvent être acquises que par de précieux efforts. L’argent que lui rapporte son premier article, trois

Oxymore : " l'ange du crépuscule ". Champs lexicaux : De la mort : “l’angoisse de la mort” , “l’âme”, “spectre”, “momie” (l.20), “embaumée”, “squelette” (l.22), “livides”, “sa tête tombe en poussière” (l.23). Des sentiments : “malaise” (l.30), “oisiveté”, “ennui” (l.31), “misère” (l.33) et faiblesse (l.36). Incapacité à être dans l'action. Ils sont contemplatifs, loin de l'action. La fin du texte est marquée par le dégoût. Le présent est source d'angoisse, c'est une société bourgeoise. La société

prie pour les « gens de bien qui lui donnent quelque chose », il présente la prière comme un mode de paiement, une activité intéressée et une forme de flatterie pour motiver le don. Dom Juan ne relèvera pas ce point et préfèrera l’attaquer sur son oisiveté. Sa question est déjà une moquerie, par l’opposition entre « occupation» et « arbres ». Le contraste entre le ton railleur de Dom Juan et l’humilité du pauvre est également à remarquer. Ainsi, Dom Juan met en relief l’inutilité de prières qui ne