Obus

blanc » l’armée française, briser les nerfs de l'adversaire, lui infliger des pertes telles qu'elle ne pourrait pas se relever. Les soldats français dans les tranchées Le déroulement de la bataille Le lundi 21 février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. 1300 obusiers ravagent la zone. L'infanterie allemande monte à l'assaut des lignes françaises. Certains soldats sont équipés d'un lanceflammes. Les poilus résistent à la première attaque. Philippe

sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. Charles Baudelaire (1857) Je t’écris ô mon Lou Je t’écris ô mon Lou de la hutte en roseaux
Où palpitent d’amour et d’espoir neuf coeurs d’hommes
Les canons font partir leurs obus en monômes
Et j’écoute gémir la forêt sans oiseaux Il était une fois en Bohême un poète
Qui sanglotait d’amour puis chantait au soleil
Il était autrefois la comtesse Alouette
Qui sut si bien mentir qu’il en perdit la tête
En perdit sa chanson en perdit

française, briser les nerfs de l'adversaire, lui infliger des pertes telles qu'elle ne  pourrait pas se relever.  La Première guerre mondiale :l’expérience combattante dans une guerre totale    Déroulement:    Le lundi 21 février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du  palais épiscopal de Verdun. 1300 obusiers ravagent la zone. L'infanterie allemande  monte à l'assaut des lignes françaises. Certains soldats sont équipés d'un  lance­flammes. Les poilus résistent à la première attaque

1- Femme vêtue de bleu de travail : ce sont des ouvrières (dans des usines de fabrication d’obus, d’unifomres…). La main d’œuvre féminine remplace les hommes qui sont occupés par les combats au front ; 2- En 1918, camions, chars, moteurs d’avion et obus en hausse considérable par rapport à 1914 alors que les productions civiles (voitures) sont en nette baisse. La guerre est coûteuse en matériel et munitions ; 3- L’auteur est accablé par le nombre des victimes (dix millions de morts), l’étendue des

Pourquoi Verdun résume la « GRANDE guerre » ? → 3 idées pour résumé cela : L'importance de l'artillerie : 80,000 obus en qqlqs jours : « centaines de milliers de tonnes d'acier » : jamais artillerie aussi importante. → 21 février 1916 : 1.220 cannons allemands bombardent (1 canon tous les 25m) → Mois de Juillet : 21 millions d'obus auront été tirés (1 obus par m²) = aspect lunaire du champs de bataille, plus de tranchée → 60 % des soldats meurent à Verdun, certains non identifiable

être nommées : « après ça » (ça désignant l’explosion, jamais nommée précisément). 4. La crudité des expressions désignant la mort Barousse a été « éclaté » ; le participe passé « éclaté » traduit sans fard la conséquence de l’explosion d’un obus,détruisant toute apparence humaine. Vont dans ce sens les expressions suivantes, atroces de précision: “le cavalier n’avait plus sa tête”, et le colonel “avait son ventre ouvert”. Les ravages de la guerre attaquent d’abord le corps, mais altèrent surtout

coups précipités nous cognent sur la nuque. Cela tombe si près qu’on chavire, aveuglé d’éclatements. Nos obus et les leurs se joignent en hurlant. On ne voit plus, on ne sait plus. Du rouge, de la fumée, des fracas... Quoi, est-ce leur 88, ou notre 75 qui tire trop court ?... Cette meute de feu nous cerne. Les croix broyées nous criblent d’éclats sifflants... Les torpilles, les grenades, les obus, les tombes même éclatent. Tout saute, c’est un volcan qui crève. La nuit en éruption va nous écraser tous

commence assez allègrement et le danger qui menace les artilleurs est rendu irréel grâce au pouvoir de la forêt, toujours un lieu magique pour Apollinaire, matrice de ses rêves depuis l'époque de L'Enchanteur pourrissant: Le ciel est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal […] C'est cependant un poème de fin d'amour, car Lou se désintéresse d'Apollinaire qui lui écrit, tendrement: Les amours qui s'en vont sont plus doux que les autres Pour Case d'armons

étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous aimons ô vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient

A Nîmes Je me suis engagé sous le plus beau des cieux     Dans Nice la Marine au nom victorieux     Perdu parmi 900 conducteurs anonymes     Je suis un charretier du neuf charroi de Nîmes     L'Amour dit Reste ici Mais là-bas les obus     Épousent ardemment et sans cesse les buts     J'attends que le printemps commande que s'en aille     Vers le nord glorieux l'intrépide bleusaille     Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts     Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons