Obus

par le Blietz de Londres, ou de Berlin, dans ce cas, les civils étaient contraint de se cacher, mais les bombes réduisaient tout en cendres. Le cadre de vie étaient donc complètement bouleversé dans le fait que les citoyens vivaient dans la peur des obus. Les civils du monde entier ont été touchés par des violences et pas des moindres, en effet, les japonnais ont eux aussi participer au massacre, notamment avec l'opération « tue tout, brûle tout, vol tout » qui causera la mort de 2,7 millions de

(1907) sont bafouées par l'utilisation des gaz et le non respect des droits des prisonniers ou des blessés. Ces soldats sont soumis à une puissance de feu jamais atteinte. La combinaison d'armes classiques (mitrailleuses) et de nouvelles armes (avion, obus, tanks) élargissent les champs de bataille. Les gaz sont utilisés pour la première fois en 1915 "gaz moutarde" ou Ypérite- L'effet physique et psychologique est dévastateur. A cela s'ajoutent des conditions de vie catastrophiques: tranchées et boyaux

téléspectateur (comme si cela venait du téléspectateur) une tomate dans la figure ou encore étant effrayé par le cri d’une « bombe sirène ». L’armée également est ridiculisée, une des techniques de défense du sergent Pork consistant à présenter aux obus ennemis une photographie de pin up’ américaines pour les détourner de leur objectif: Il s’agit donc bien de ridiculiser l’ennemi et de montrer que les Américains sont malins. Pour vaincre le Loup du dessin animé mais donc Hitler dans la « vraie guerre

jeune feuillage. Ils étaient restés fermés depuis la guerre. Les propriétaires avaient fui lors de l’avance allemande, n’ayant eu le temps de rien sauver, et ils n’étaient jamais revenus. Le vaguemestre y avait un moment installé son bureau, mais un obus ayant un matin ajouté un œil-de-bœuf à la façade, il avait jugé prudent de s’en aller à l’autre bout du pays. On nous avait formellement défendu d’entrer dans la maison, dont toutes les portes étaient verrouillées. L’adjudant Morache, qui aimait nous

lance-flamme fait son apparition. * La 1ère GM est surtout l’acte de naissance des armes chimiques. Une panoplie de gaz de combat fait son apparition dont le plus connu est le « gaz moutarde » ou ypérite. Les capsules de gaz sont placées dans les obus à place de la charge explosive et envoyé dans le camp adverse. * L’aviation est elle aussi mise au service de l’effort de guerre, pour des missions de reconnaissance mais davantage pour les bombardements qui rythment le quotidien du front. * Après

préparer les grandes offensives de rupture du front défensif ennemi et soutenir les Alliés. Au niveau du plan industriel, il ne suffit pas de disposer d’une chaîne de montage pour produire des camions ou d’un atelier d’emboutissage pour fabriquer des obus. De nombreuses étapes préliminaires s’échelonnent depuis l’extraction du minerai brut jusqu’à la livraison du produit fini. En terme d’organisation, il faut créer de toutes pièces de nouvelles structures de concertation avec le monde industriel et

qu'éclatant les marmites Pour y vivre parmi nos soldats troglodytes Les trains s'arrêteraient à Mourmelon le Petit Je suis arrivé gai comme j'étais parti Nous irons tout à l'heure à notre batterie En ce moment je suis parmi l'infanterie Il siffle des obus dans le ciel gris du nord Personne cependant n'envisage la mort Et nous vivrons ainsi sur les premières lignes J'y chanterai tes bras comme les cols des cygnes J'y chanterai tes seins d'une déesse dignes Le lilas va fleurir Je chanterai tes yeux

l'infanterie, primordial en 1914, va peu à peu décliner au profit de l'artillerie, de l'aviation et des chars. Les quelques offensives lancées font suite à de gigantesques préparations d'artillerie, comme au Chemin des Dames, en 1917, où plus de 500 obus par minute sont tirés par les français durant les trois jours précédant l'assaut. Les anglais et les français tentent de débarquer aux Dardanelles (Empire Ottoman), mais ils échouent et se replient alors en Grèce. La même année, l'Italie s'engage

aussi. Cigarette ou cigare dans « Zone ». Dans « 2e canonnier conducteur », on reconnaît un fusil (ou une mitrailleuse), une botte (évoquant les « pas pesants aux pieds boueux »), la tour Eiffel. Les deux autres figures sont plus énigmatiques : sac et obus ? On note que la plupart des dessins sont identifiables et que le titre permet souvent de lever toute ambiguïté. Cependant, certains demeurent sujets à interprétation. K Quelles sont les questions que le lecteur est amené à se poser en découvrant

Les Allemands s'étaient retranchés sur la Somme depuis près de deux ans. Pendant ce temps ils avaient creusé des tranchées jusqu'à une profondeur de quarante pieds6 et celles-ci étaient en état de résister à tous les impacts sauf ceux des plus gros obus. […] Après sept jours d'intenses bombardements7, […] les Anglais n'avaient pas réussi à entamer les réduits allemands, bien que l'orage d'acier ait, par sa masse seule, effacé quelques-unes des tranchées ennemies de première ligne. Pire que tout, le