Obus

chose d’articulé. « Le maréchal des logis Barousse vient d’être tué, mon colonel, qu’il dit tout d’un trait. Et alors ? Il a été tué en allant chercher le fourgon à pain sur la route des Étapes, mon colonel ! Et alors ? Il a été éclaté par un obus ! Et alors, nom de Dieu ! Et voilà ! Mon colonel … C’est tout ? Oui, c’est tout, mon colonel. Et le pain ? » demanda le colonel. Ce fut la fin de ce dialogue parce que je me souviens bien qu’il a eu le temps de dire tout juste : « 

manière incroyable . Ils s'élancent vers lui avec tant d'entêtement portant leurs bâtons et leurs pierres. Avant qu'il entend la tête vers l'eau , il sent que quelque chose s'éclate près de lui , c'est un gros bâton qui s'est élancé vers lui comme un obus , mais il le manque , il ne sent pas de rancune envers aucun enfant. Il décide de s'envoler , il croit que la douleur a quitté l'aile blessé et que le feu s'éteint en lui. Quand il essaye de s'élancer il reçoit un autre coup au-dessous de l'aile droit

car les fabrications augmentent et les méthodes de production doivent être beaucoup plus rapides et il doit y avoir plus de machines, ainsi les usines participent à l’effort de guerre. Les produits fabriqués sont augmentés par exemple on passe de 75 obus en 1913 à 2 000 000 en 1918 ou il y aussi les camions qui passent de 174 en 1913 à 1 793 en 1918. Il y a donc une réorientation notamment avec des produits nouveaux comme les moteurs d’avions ou les chars d’assaut. La course aux armements et plus généralement

projectiles. J'étais moi-même un amateur de mécanique et de physique, et j’avais conçu, il y avait bien dix ans de cela, des obus hémisphériques à l'avant, avec une queue effilée. Je m'étais moqué autrefois dans mes petites feuilles des locomotives à coupe-vent ; mais en revanche je m'étais fait moquer de moi, à un déjeuner de pédants, par un polytechnicien à qui je m'avisai de parler obus. « Comme si toutes ces circonstances, me dit-il, n'avaient pas été étudiées de très près, soit par l'analyse, soit par

téléspectateur (comme si cela venait du téléspectateur) une tomate dans la figure ou encore étant effrayé par le cri d’une « bombe sirène ». L’armée également est ridiculisée, une des techniques de défense du sergent Pork consistant à présenter aux obus ennemis une photographie de pin up’ américaines pour les détourner de leur objectif: Il s’agit donc bien de ridiculiser l’ennemi et de montrer que les Américains sont malins. Pour vaincre le Loup du dessin animé mais donc Hitler dans la « vraie

histoires en se servant des objets comme passeurs de mémoire : armement et artillerie (fusils, mitrailleuses, sabres, baïonnettes, obus, torpilles…), objets de la vie quotidienne sur le front et à l’arrière (réchauds, tabac, prothèses, souvenirs, pharmacie, objets de culte…), gros matériels (cuisine roulante, charrette de compagnie, lit d’hôpital, chaise de mutilé, tour à obus…), plus de 200 uniformes complets représentant la totalité des pays belligérants (35 pays), journaux, photographies, plaques de

épouvantables, bien que les tranchées allemandes soient les mieux aménagées. Les troupes allemandes ont en effet très rapidement bétonné leurs tranchées alors que du côté français, on trouve des tranchées de terre qui résistent tant bien que mal aux obus. Les soldats y vivent entourés par la boue, la vermine, les rats et l’odeur des cadavres en décomposition. De plus, pour les tranchées les plus exposées au front, le ravitaillement laisse parfois à désirer. Un no man's land rendu infranchissable par

1916 et dure 131 jours (jusqu'en décembre 1916 ) Déclenchée par les Allemands, les Français dirigés par Pétain résistent . Dans cet enfer, près de 500 000 combattants périrent . On estime que 30 millions d'obus ont été tirés, ce qui donne 60 obus pour tuer un soldat . C LA FIN DE LA GRANDE GUERRE . Le maréchal Foch peut compter sur les tanks et les deux millions d'américains entrés en guerre pour repousser les allemands . Malgré le retrait russe , les empires centraux

guerre mondiale marque un tournant dans l’histoire des violences du combat. Les soldats vivent l’horreur dans les tranchées. L’industrialisation de cette guerre, en est notamment la cause. En effet, des armes nouvelles (gaz, mitrailleuse, mortier, obus, lance-flamme) ouvrent une l’ère d’une sauvagerie de masse. Les combats et batailles sont très impressionnantes et les offensives contre les tranchées adverses sont cause d’une « mortalité de masse », mais sont souvent inutiles. Cet usage de l’artillerie

gantiers de Millau ; en vin, ce qui réjouit les marchands, accusés d'être des « profiteurs », rappelle l'historien toulousain François Bouloc. À Pamiers, dans l'Ariège, Fumel dans le Lot-et-Garonne, Tarbes dans les Hautes-Pyrénées, les usines tournent les obus. En 1915, Toulouse devient l'une des principales villes d'armement de l'arrière. Les femmes sont recrutées, et on les appelle les « munitionnettes ». Mais aussi des chômeurs, des Espagnols, des soldats annamites (indochinois)… La tranchée, c’est