Obus

les grandes comme celle de Verdun (février à décembre 1916) ou encore celle de la Somme (juillet à novembre 1916), la mort frappe toujours les soldats d’une violence ainsi que d’une barbarie horrible. La nouvelle artillerie, les mitrailleuses, les obus et autres nouvelles armes sont les premières causes de ces boucheries. Les combats aboutissent donc à de véritables hécatombes. Il y a donc une dose de violence et de souffrance quasiment insurmontables pour les soldats ; le risque d’être tué à chaque

Je t’écris ô mon Lou Je t’écris ô mon Lou de la hutte en roseaux Où palpitent d’amour et d’espoir neuf coeurs d’hommes Les canons font partir leurs obus en monômes Et j’écoute gémir la forêt sans oiseaux Il était une fois en Bohême un poète Qui sanglotait d’amour puis chantait au soleil Il était autrefois la comtesse Alouette Qui sut si bien mentir qu’il en perdit la tête En perdit sa chanson en perdit le sommeil Un jour elle lui dit Je t’aime ô mon poète Mais il ne la crut pas et sourit

pelle à défaut d'autre chose. On saute d’un trou d’obus à un autre sous les feux des mitraillettes dans un univers gris et macabre où les cadavres s’enlisent un peu plus à chaque obus qui s'écrase. - Au printemps 1915, une nouvelle arme est utilisée pour la première fois par les Allemands : le gaz. Les obus en touchant le sol libèrent un gaz toxique. - L’année suivante, on peut apercevoir l’arrivée de lance-flammes qui permettent d’atteindre le plus haut niveau d’horreur

boyau creusé dans le sol sur plusieurs lignes, reliées entre elles par des barbelets. Ils mettent des planches de bois pour les rendre plus habitable. Sur les tranchées arrières on y soigne les blesses et prépare les repas Nouvelles armes : mines, gaz obus meurtrières et dévastatrices, blessures graves, mortelles asphyxie, suffocations, amputés , gueules cassées Guerre moderne → progrès chimique : méthodes de travail nouvelles : production massive +sollicitation de nouvelles industries → l'industrialisation

une permission pour rentrer chez lui quelques jours. Mais, dès les premiers jours, il comprend que rien ne sera plus comme avant... Après que, dans la rue, je me suis effrayé deux ou trois fois parce que le bruit des tramways ressemble à celui des obus qui s'approchent en grondant, quelqu'un me frappe sur l'épaule. C'est mon professeur d'allemand qui me pose précipitamment les questions habituelles : « Eh bien, comment cela va-t-il, là-bas? C'est terrible, terrible, n'est-ce pas? Oui, c'est épouvantable

fait même respecter par ses soldats, et lui-même les respecte, car il les considère, pour la majorité, comme des amis. Blaise Cendras, comme l’indique le titre de son roman, perdit sa main lors d’une offensive allemande. Celle-ci fut coupée par un obus. Bien que n’ayant plus qu’une seule main, le narrateur ne renonce pas à continuer la guerre. Il se verra même attribuer des médailles comme la croix ou la légion d’honneur, mais il ne les acceptera pas. Très modeste, il revendique souvent que ce n’est

la population en âge d'aller se battre sont allés sont aller se battre. La France avait allongé le service militaire à 3ans. -Les armes utilisés sont toujours plus perfectionnées donc plus meurtrière : Baïonnettes, chars d’assauts, obus (« La Grosse Bertha » : obus utilisé par les allemands avec une très grande portée), mitraillette, grenade, gaz (« gaz moutarde »: de vrai nom « ypérite » qui inflige de brûlures sur la peau même à travers les vêtements), dirigeable, sous-marins, avion. 2)L'horreur

alors que Ferdinand est dépassé par ce conflit. Il n’est plus lui-même, comme à la ligne 31 « Barousse qui venait d’éclater comme l’autre nous l’avait appris » ou encore à la ligne 37 « de sacrées ordures que j’aurais aidé bien volontiers à trouver un obus comme Barousse », cela montre bien que la mort ne le choque plus, qu’elle lui est même familière. b. L’auteur critique aussi une valeur importante de la guerre, qui est l'héroïsme. Pour lui, la pire chose dont les humains sont capables est la

Il a fallut 5 mois à la guerre pour tuer 2737 français par JOUR. Le premier jour de la bataille de la Somme a tué 20 000 Britanniques. Les bombardements d’artilleries sont la cause de 75% de morts directement liées aux combats sur les front . Les obus tuent eux aussi , mutilent , et défigurent . Sans oublier les gazs , qui n’ayant tué qu’1% des soldats , ont causés des souffrances atroces. D’une guerre de mouvement , on passe à une guerre tranchée où l’on se terre . En plus de cette mort a portée

l'étranger (Angleterre, Belgique, Italie, Allemagne, Espagne, États-Unis). Les usines Renault adoptent la production en série en 1905, puis le taylorisme en 1913. Pendant la première guerre mondiale, l’entreprise fabrique camions, brancards, ambulances, obus, et même les fameux chars FT17 qui apportent une contribution décisive à la victoire finale. De 1914 à 1918 les usines Renault ont beaucoup été affectées. La production de voiture est passée 4206 à 553 elle a presque était divisée par 10 en seulement