Obus

étaient creusées en zigzag pour éviter les tirs en enfilade et réduire les effets d'un obus tombant dans la tranchée. Cela signifiait qu'un soldat ne pouvait voir a plus de 9 m. La bande de terre sur le côté de la tranchée face a l'ennemi était appelée le parapet et possédait des ouvertures destinées au tir. Le monticule de l'autre côté de la tranchée était appelé le parados et protégeait la tranchée des obus tombant derriere elle. Les murs de la tranchée étaient souvent renforcés par des sacs de

combattre > Ils sont les premières victimes de l'innovation des nouvelles armes car elles sont faites pour tuer les soldats et diminuer la résistance - artilleries lourdes : Shrapnels (obus chargés de balles qui partent dans tous les sens) - Avions, chars, sous-marins - Bombes, mitrailleuses, obus, grenades - Gaz "Ypérite" qui a pour but d'aveugler - "Gaz moutarde" III) Les génocides a) Le génocide arménien Lors de la première guerre mondiale, le génocide arménien à lieu. (1915)

masques rudimentaires (mouchoir, tampon imbibe de produit, lunette pour proteger les yeux) la plus grande attaque au gaz fut a Lens (en mars 1918) par les anglais ou 3400 canons Livens cracherent leur obus...la concentration etait telle que les masques etaient inutiles. - Les blesses ceux qui restent entre les lignes (le no man's land) et crient, agonisant durant des nuits entieres

est agrandie par de nouvelles recrues et doit rentrer au front. Une nuit, des chevaux « crient » de douleur, mais personne ne peut les achever, c’est trop dangereux. Beaucoup de soldats meurent ensuite : ils sont attaqués dans un cimetière par des obus puis du gaz. Chapitre 5 Paul et ses amis parlent de ce qu’ils feraient si la guerre finissait. Himmelstoss arrive à ce moment et ne sait pas comment se comporter. Tjaden refuse de coopérer contrairement à ce dont Himmelstoss avait l’habitude et

de la 1re guerre mondiale Gaz asphyxiant : ypérite : Les Allemands sont les premiers à les avoir utilisés. L’allié Dressage « Pékin » : Personnes « dresses » pour la guerre = marche = armes = blessures (50% dues aux obus) Atteintes au corps Les mutineries existaient : S’il y avait 5 personnes elles étaient exécutées S’ils étaient beaucoup, comme un régiment, certaines personnes prisent au hasard étaient exécutés. Blessures Les blessures permettent aux chirurgiens

Tous les hommes valides entre 16 et 45 ans. Mais aussi 450 000 soldats issus des colonies françaises et anglaises (doc 1 et 2 p44). Les « indigènes ». 2. Nouvelles armes : chaque pays innove pour remporter la victoire. Gaz (guerre chimique, brûlure,), obus, grenades, mitrailleuses, chars d’assaut et 1 er avions et sous-marins. 3. La mort vécue à tout instant ses camarades, sa famille, ses amis, soi-même… 4. La violence des hommes s’agrandie : Donner témoignage instituteur et « comment ils ont tenus »

signée en 1993). Extrait d'une lettre du 11 juin 1917 du soldat Raymond Lefebvre à sa femme (graphie respectée) : « A 4h. corvée de chiens. C'est ainsi que l'on nomme la corvée qui consiste à mener au champ de tir des chiens pour les asphixier à obus asphixiants. Donc à 4h. nous 17 types allons au chenil chercher 34 chiens (2 chiens chacun). Il y en avait 3 de très chics surtout un épagneul. Nous les conduisons en voiture au champ de tir. Là nous les attachons dans deux tranchées distantes de

Val-De-Grâce et perd la parole. Il reçoit souvent des visites de son meilleur ami Alain Bonnard qui étant handicapé ne participe pas à la guerre. Il rencontre Henri et Pierre et deviennent de bons amis ainsi qu’une jeune femme nommée Marguerite blessée par un obus. Après de multiples opérations, il retrouve enfin la parole. Après le suicide d’un homme, les trois hommes décident alors de raisonner les nouveaux arrivants et les personnes gravement blessé empêchant ainsi un grand nombre de suicide. Adrien quitte

Des indices montrent que la Grande guerre est brutale. Les mots « abattus » (ligne 16), « fusillé » (ligne 21) et « canons » (ligne 25) montrent que les soldats se tirent dessus avec des fusils et que les artilleurs bombardent les tranchées avec des obus. Ces armes causent la mort, des blessures, des mutilations et des traumatismes psychiques. Au total, cette guerre fait près de 9 millions de morts, dont 1,5 millions de Français. Les mots « massacrer » (ligne 20) ou « tuerie » (ligne 22) renforcent

cochlée de ses attaches ; c'est le « blast primaire » (ou blast auriculaire concernant les effets sur l'audition ; surdité temporaire ou définitive) ; • elle va projeter des objets (débris, éclats on parle parfois de « shrapnels » dans le cas des obus ou de leurs sous-munitions de plomb durci à l'arsenic) qui vont occasionner des plaies (victime polycriblée) ; c'est le « blast secondaire » ; • lorsque l'onde de choc atteint une personne, celle-ci se trouve pendant un très court instant avec une