Obus

soldats. Beaucoup de soldats sont morts à cause de l'explosion d'un obus : effet de souffle, ou soldat frappé un éclat de métal,leurs violence est démontré dans la photographie « Le Feu »de Henri Barbusse en 1918 ou suite a une percée du front par les allemands un obus a éclaté en Oise . Ainsi, les soldats, avant chaque assaut avaient peur, peur de la mort anonyme : de mourir seul, éloignés de leur famille, tués par l'éclat d'un obus lancé par un soldat ennemi qui a actionné un canon se trouvant à

Français, 1300 Allemands, 1500 Russes se font tuer. Près d’un combattant sur deux a été blessé au moins une fois (amputations, gueules cassés) - La violence du perfectionnement des armes s’exprime dans les guerres de tranchées. A Verdun il tombe 6 obus par mètre carré et environ 2 millions les 2 premiers jours de la bataille. Cette bataille qui va de février à décembre 1916 cause la mort de 300 000 Français et de 250 000 Allemands. Le lance flamme nettoyé les tranchées mais est tout aussi dangereux

envers les planqués de l’arrière. Le narrateur va voir l’endroit où un déserteur s’est fait fusiller et Poterloo en profite pour lui raconter qu’il s’est déguisé en Boche pour aller voir sa femme derrière les lignes ennemies. Il est tué peu après par un obus. Un jour en 1ère ligne, pour trouver du feu, 4 soldats se trompent de tranchées et se retrouvent du coté allemand. Ils en tuent un et lui prennent des allumettes. Plus tard à la côte 119, un bombardement a lieu et les hommes s’amusent à reconnaître

ennemi, si les soldats ne mourais pas dans l’explosion il y avait les éclats d’obus qui causé une morts atroce aux soldats. Les éclats étaient tellement mortel que les obus était rempli de petits boulets pour causé encore plus de dommage. Inventé au débuts du siècle, il y avait aussi les gaz de combats. Moins meurtrier que les obus, 4% des morts de la guerre était causé par gaz, ces gaz avait tout de même un impact destructeur. Il avait tout d’abord un impact sur le corps causant de nombreuse amputation

| | |annoncer au colonel indifférent que le maréchal des logis « a été éclaté| | |par un obus ». A ce moment, un obus éclate près de Bardamu. Lorsqu’il | | |reprend ses esprits, il constate que le colonel et le messager sont |

submergés par les milliers de blessés; certaines femmes travaillaient comme "munitionnettes" n'hésitant pas à braver un travail pénible ou dangereux pour leur santé. Elles étaient alors 430 000 à travailler dans les usines d'armement afin de fabriquer des obus et des cartouches. Les entreprises ont dû s'adapter à cette nouvelle main-d'oeuvre car le salaire des femmes était deux fois moins élevé que celui des hommes et celles-ci ont dû se mettre en grève afin d'obtenir l'égalité des salaires. En effet le

photographie montre la violence des combats car nous pouvons constater qu’il y a de nombreux trous causé par les tires d’obus. 2) L’auteur rend compte de l’enfer de Verdun en décrivant se qui se passe en quelques jours. Il nous dit qu’il y a 80000 obus en quelques heures sur un espace de 1000 mètre sur 3 à 400 mètres de profondeur. 3 million d’obus en quelques jours. Il nous dit aussi que cette bataille et la plus longue et la plus effroyable, mais il nous dit aussi le nombre de mort près de 1 millions

sentiments religieux ou nationalistes dans ces poèmes tel que : si je mourais las-bas: Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour, Ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer, les monts, les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme

garde d’un village français abandonné à la suite de bombardements. Ils y trouvent des victuailles dont ils se gavent pendant des semaines. 18. Ils se rendent ensuite dans un autre  village que les civils français sont en train d’évacuer . Soudain un obus tombe sur leur colonne en marche. Les hommes se dispersent et se jettent à terre, Albert Kropp puis le narrateur sont blessés à la jambe. Ils sont conduits à l’hôpital, Albert est amputé de la jambe, le narrateur est plâtré. La blessure d’Albert se guérit

en plus violentes et les obus allemands sont tellement usés, qu’ils tirent partout, même sur les soldats allemands. Bäumer réalise alors que ce n’est que par hasard qu’il reste en vie (« chaque soldat a foi et confiance dans le hasard » p. 108). L’offensive allemande rétablie, Bäumer attaque, se sentant plus fort sous la protection des projectiles de son armée, mais aussi déshumanisé à la vue des soldats (allemands et français) qui explosent sous l’éclat des obus ou qui sont tués à coups