Nécessité

et le texte de Thomas Ferenczi nous parle de la mémoire collective. Les commémorations sont elles dues aux mémoires collectives ? Tout d’abord, nous verrons la nécessité de la commémoration et dans un second temps les ambigüités de celle-ci. Tout d’abord on peut dire que les commémorations permettent surtout de répondre à la nécessité politique pour forger une unité politique ou nationale comme le précise Philipe Raynaud et l’article mémoire collective. La commémoration cherche à construire une

respirer : nécessité pour chaque individu, de disposer d’une oxygénation cellulaire satisfaisante. Le besoin de boire et de manger : nécessité pour chaque individu, d’entretenir son métabolisme afin de produire de l’énergie, de construire, maintenir et réparer les tissus. Le besoin d'éliminer : nécessité pour chaque individu, d’éliminer les déchets qui résultent du fonctionnement de l’organisme. Le besoin de se mouvoir et de maintenir une bonne position : nécessité pour chaque

Depuis longtemps l’homme se pose la question de la nécessité philosophique. Ce sujet aborde la notion d’homme c’est-à-dire tout être qui est dit« doué de raison ». Nous constatons également la notion de nécessité : « ce qui ne peux pas ou être autrement de ce qu’il est « ce qui signifie que la philosophie est un plus pour l’homme qui veutdévelopper sa raison. Cependant l’ajout de la question « est-elle » mais en doute cette nécessité ce que l’on pourrait interpréter par l’homme peut-il

Source de difficultés Respirer: nécessité pour chaque individu, de disposer d’une oxygénation cellulaire satisfaisante. Voies aériennes et respiratoires fonctionnelles : nez, trachée, larynx, poumons, diaphragme… Boire et manger : nécessité pour chaque individu, d’entretenir son métabolisme afin de produire de l’énergie, de construire, maintenir et réparer les tissus Appareil digestif fonctionnel (ensemble des organes digestifs) Cerveau Éliminer : nécessité pour chaque individu, d’éliminer

au destin ni au hasard « il voit que la nécéssité est irresponsable, le hasard instable ». Nous ne devons pas vivre en fonction du destin, il faut forcer les choses. La sagesse est réellement la base du bonheur car le sage est un être réfléchi, posé qui prend les bonnes décisions dans sa vie. De plus l’idée du “souverain bien” se comprend aisément à partir de la classification des désirs et de l’analyse des plaisirs . Puis, La croyance à la nécessité absolue amène à l’irresponsabilité puisqu’elle

contraint. Nécessité interne ou nécessité externe ? telle est la question. La liberté ne consiste donc pas dans un libre choix, une libre décision, un « libre décret » (décret = décision), puisque tout choix, toute décision se fait d’après certaines raisons ou d’après certaines causes. La liberté ne consiste pas à suspendre la relation cause-effet (dans ce cas, rien ne se produirait, l’homme ne pourrait pas faire un seul geste), pas plus que la liberté n’est le contraire de la nécessité : elle est

commandée par la nécessité actuelle de la légitime défense de soi-même ou d'autrui ou d'un bien appartenant à soi-même ou à autrui, pourvu que la défense soit proportionnée à la gravité de l'agression. » Ainsi, nous pouvons distinguer deux catégories de faits justificatifs. Il s’agit en effet de la justification par injonction (I) à savoir l’ordre de la loi et le commandement de l’autorité légitime, qui fera l’objet de la première partie, et de la justification par nécessité (II) englobant l’état

quatre ligne, mais on observe que les réplique vont s’abréger et s’atténuer très rapidement. Les héros vont être pris dans le temps de l’urgence, de l’imminence. Réplique 4 « J’ai à te parler pour la dernière fois » (Dorante), cette obligation, cette nécessité du rapprochement est immédiatement contredite, placé sous le signe de la séparation. Notons que cet scène révèlent un caractère de gravité dramatique mais cet aspect se trouve souligner par les acteurs eux-mêmes, Dorante : « Ah ! Lisette ».

vécu comme une contrainte c'est à partir d'une réalité incontournable , c'est la nécessité. Le travail nous relie au besoin. C'est pour ça qu'il est méprisé , réputé par la Bible comme une punition (Cf philosophie de Platon) Est ce que la nécessité représente une servitude? Le travail est libérateur Le 1er besoin qu'à causé le travail est le travail lui même Plan possible : I) Le travail = nécessité (imperfection) II) Le travail créateur de l'homme III) aliénation → servitude

verrons, dans un premier temps, comment le passé répond à une réelle nécessité, c’est-à-dire à un besoin de l’humanité entière, puis, dans un deuxième temps, que ce besoin de commémoration se situe au niveau des sociétés. Nous terminerons par montrer que les hommes ont tous besoin de commémoration pour comprendre le monde. Tout d’abord, la commémoration du passé se pense à l’échelle de l’humanité. Il s’agit d’une nécessité « externe », qui implique une forme de déterminisme : les hommes semblent