Notion De Narratologie

cette dynamique. Proust a fourni à Gérard Genette la possibilité d'élaborer ses principes de narratologie (Figures III, Ed. du Seuil, 1972) ; Maupassant a permis à A.-J. Greimas de préciser les règles de sa sémiotique textuelle (Maupassant, la sémiotique du texte. Exercices pratiques, Ed. du Seuil, 1976) : Zola offre les mêmes potentialités dans le domaine de la génétique textuelle ou dans celui de la narratologie. Deux raisons expliquent ce privilège : le « classicisme » esthétique des Rougon-Macquart

sociales) comme processus de communication» (Eco cité par Rinn, 1998, p. 61), Rinn et Molinié se sont affairés à comprendre les voies de transmission de la notion d'indicible tant du point vue du pôle d'énonciation que de celui de la réception. Par cette approche, ils ont ouvelt la réflexion sur les modalités narratives inhérentes à la notion d'indicible et sur les attitudes de lecture suscitées par les différents textes portant sur l'holocauste. Du même souffle, ils ont recentré l'analyse de

sur l’observation qui suit : Il s’agit de la représentation d’une pipe et sa réception, comme telle, cela suppose un accord social extérieur au tableau lui-même. Ce tableau représente un signe, il nous fait signe car il manifeste un consensus sur la notion de pipe. Mais il nous invite, par son titre, à un débat sur la création picturale, auquel nous invite le peintre et qui correspond à un niveau de débat sur son œuvre que le peintre souhaite socialiser. Il veut nous faire partager, avec ce signe,

s/o, deur/daire, adj/opp sous-classe d’actant : factuel/possible sousclasse d’actant : vrai/faux autres sous-classes d’actant (par ex., actif/passif) 1 2 Etc. Un actant ne correspond pas toujours à un personnage, au sens classique du terme. La notion d’actant est, si l’on veut, obtenue par un élargissement, une généralisation de celle de personnage. En effet, au point de vue de l'ontologie naïve (qui définit les sortes d'êtres, au sens large, qui forment le réel), un actant peut correspondre à:

(Département d’anglais) iii Jury Dr. Hélène Cazes, Directrice (Département de français) Dr. Claire Carlin, Membre départemental (Département de français) Dr. Iain Higgins, Membre extérieur (Département d’anglais) RÉSUMÉ Ce mémoire traite de la notion de carnavalesque, qui fut proposée par le théoricien russe, Mikhaïl Bakhtine dès les années 1920. A partir de l’étude de la tradition orale des carnavals au Moyen Age et à la Renaissance en France, Bakhtine postule que la littérature peut être le

assez détaillée le phénomène d’argumentation et leur proposera les pistes pour les activités en classe qui auraient dû mener les apprenants à acquérir les capacités d’argumenter et de lire et réfléchir d’une façon critique. Nous pouvons trouver les notions de l’argumentation dans plusieurs parties de ce nouveau programme. Ainsi nous lisons que l’apprenant trouve les arguments et les preuves soutenant ses thèses, qu’il argumente objectivement, qu’il développe une argumentation dans une langue étrangère

la fonction de la notion d'auteur dans les études littéraires, dans la critique littéraire, l'histoire littéraire, l'enseignement de la littérature, la recherche sur la littérature, nous allons faire de la théorie de la littérature - suivant le titre de ce cours -, au sens où nous allons réfléchir ensemble sur les conditions de ces études, critique, histoire, enseignement, recherche littéraires. Nous allons faire de la « critique de la critique », et aussi de l'histoire des notions critiques, manières

groupement de textes, de récits autobiographiques ou non, pourrait donc servir de préalable à cette séquence (par exemple les séquences 1 ou / et 2). Toutefois, il faudrait envisager une pause entre ces séquences pour revenir avec profit sur des notions difficiles et confirmer les apprentissages. Sur le plan des apprentissages littéraires, cette séquence pourrait être suivie de la séquence 14 consacrée à la biographie et aux méthodes de travail de Simenon. Cette séquence, qui s’intéresse aussi aux

groupement de textes, de récits autobiographiques ou non, pourrait donc servir de préalable à cette séquence (par exemple les séquences 1 ou / et 2). Toutefois, il faudrait envisager une pause entre ces séquences pour revenir avec profit sur des notions difficiles et confirmer les apprentissages. Sur le plan des apprentissages littéraires, cette séquence pourrait être suivie de la séquence 14 consacrée à la biographie et aux méthodes de travail de Simenon. Cette séquence, qui s’intéresse aussi

le mode de connaissance et de donc de pratique de la lecture dont ils disposent `a un moment donn´e, et cela, en mettant en œuvre, pratiquement, un appareil notionnel et des d´emarches qui ont toute chance de ne pas faire partie de leur capital de notions et de d´emarches (pour la simple raison que leur usage est plutˆ ot le fait de sp´ecialistes). (. . .) En cherchant `a impulser chez les apprenants une d´emarche s´emiotique, « savante », on attend, parce que cette d´emarche met en œuvre des outils