Nomination Discretionnaire Conseil Constitutionnelle

sont indépendants, il y a différentes garanties : -ils ne bénéficient d’aucun avancement (pas de grades à franchir) -la gestion du corps des juges est assurée par le chancelier -c’est une commission indépendante qui est chargée de proposer les nominations de juges au chancelier parmi les avocats. -la révocation des juges est possible, elle est prononcée à la demande des deux chambres du parlement. Normalement ils sont nommés à vie. La révocation des juges inférieurs peut être prononcée par le

catégorie d’acte de gouvernement en expliquant qu’il s’agit d’un acte non détachable des relations internationales de la FR ou d’un acte concernant les rapports entre les organes constitutionnels de la FR. Et plus tardivement, un acte non détachable des fonctions constitutionnelles du Parlement et du Conseil constitutionnel · Actes non détachables des relations internationales : Quelques exemples : Élaboration, signature des traités : CE 1961

Droit constitutionnel et Institutions politiques Enregistrements MP3 Table des matières Présentation générale de la Ve République 7 1. La fin de la IVe République 7 2. L’élaboration de la Constitution 7 3. La mise en place des institutions 10 4. La qualification du régime 11 5. La période gaullienne 1958–1969 12 6. L’héritage pompidolien 1969–1974 13 7. Le septennat giscardien 1974–1981 14 8. Les alternances : 1981–1988–1995 15 9. Les cohabitations 1986–1993–1997

Droit constitutionnel Grande instabilité des régimes en France. La France à testé tous les régimes. Désaccord existe sur la répartition entre les trois pouvoirs le peuple ne veut plus de monarchie absolue, la France a besoin d’un chef de l’état fort. Les changements de régimes se font de manière violente à la différence des anglais. CHAPITRE I : LES REGIMES DE CONFUSION DES POUVOIRS Pouvoirs Concentré dans une personne ; conséquence il y a un régime déséquilibré. Le régime de confusion

Introduction S’il est une constante dans l’histoire de la vie du droit constitutionnelle, c’est bien son institutionnalisation continu, du chef absolu des premiers groups humains, au pouvoir fondé sur son courage, son habilité ou sa sagesse, qui de chemins parcouru jusqu’au parlement contemporains, légitimés par l’élection et soumis à des règles contraignant et compliquées. L’institutionnalisation signifie ici mise en place de structures et de mécanismes, organisant et encadrant

ramifications déconcentrées. Tous les agents déconcentrés sont subordonnés au pouvoir hiérarchique de l’administration centrale. Ce pouvoir n’a pas besoin d’être prévu par un texte, il se suffit à lui-même selon l’arrêt Quéralt du 30 juin 1950 du Conseil d’Etat. → On appelle cela un principe général du droit, càd un principe qui n’est pas explicite dans les textes mais qui est dégagé par le juge à partir de l’interprétation des textes. Un principe général du droit est au-dessus de l’acte réglementaire

1215 les barons ont obtenu par la force, l‟octroi de la grande Charte, la Magna Carta du roi Jean sans Terre, qui comporte un principe selon lequel le roi ne peut lever des impôts sans obtenir le consentement d‟une Assemblée (à l‟époque le Grand Conseil) → événement capital pour le régime parlementaire car aujourd‟hui encore le parlement britannique vote la loi de finance annuel qui autorise la levée des contributions et il en va de même dans les autres régime parlementaire le XVIIe s a connu une

pouvoir exécutif relève du juge administratif  Conseil Constitutionnel « Conseil de la Concurrence » du 23 janvier 1987, ici le CC a consacré un PFRLR. Le juge constitutionnel a ainsi consacré l’existence d’une réserve de compétence pour le juge administratif, mais il a reconnu qu’il existe des matières qui appartiennent par nature au juge judiciaire. Cependant, les limites de la compétence du juge administratif ne sont pas intangibles : le juge constitutionnel admet que le législateur intervienne dans

Droit constitutionnel L1 droit / Université d’Avignon / Année 2008 – 2009 Cours de Mme Valérie Bernaud COURS DE DROIT CONSTITUTIONNEL LA CINQUIÈME RÉPUBLIQUE SÉANCE 1 HISTOIRE CONSTITUTIONNELLE On compte de 1789 à 1875 13 Constitutions : la Constitution de 1791, celle de 1793 qui a été immédiatement suspendue, la Constitution du Directoire de 1795, la Constitution de l’an 8 dite du Consulat, transformée en celle de l’an 10 (Consulat à vie), puis de l’an 12 (1er Empire), la Constitution sénatoriale

un grade, qui intervient elle-même au terme de sa procédure de recrutement. Celui-ci est soumis à un principe cardinal dont découle la prévalence (à relativiser) du concours comme mode de recrutement des fonctionnaires, à savoir le principe constitutionnel d’égal accès aux emplois publics. Décisions essentielles Sur les « garanties requises pour l’exercice des fonctions » : CE, 18 mars 1983, Mulsant Sur l’interdiction des discriminations dans l’accès aux publics : CE, Ass., 28 mai 1954, Barel