N Apprend Qu Une Chose Le Doute

citoyens ont le droit à l'accès aux savoirs, à l'esprit critique (démocratie) A quoi sert la philosophie ? Thalès : VIe siècle avant J-C Présupposé : quelque chose qui est supposé avant l'affirmation implicite (pas formulé) mais présente qui se cache dans nos questions La question porte sur l'utilité de la philosophie => Une chose n'a une valeur que si elle est utile Ce présupposé est donc un préjugé qui vient de la société consommation/matérialiste, car ce qui compte est de produire et de

Que connaissons-nous de l’esprit humain? L’être humain est une chose bien complexe, surtout quand on se met à l’analyser. Que connaissons-nous de l’esprit humain? On peut dire que l’analyse de la conception de l’être humain n’est pas de tout repos. En effet, tout dépendamment de comment on s’y apprête, les résultats ou les réponses peuvent varier d’une manière à l’autre. Il existe plus d’une manière de faire une analyse. On parle ici de la manière objective ou scientifique, qui se base la majorité

l’intuition qu’un sujet a de ses actes, de ses états. Elle implique une connaissance de soi et de son environnement par une démarche réflexive, une analyse. L’intuition repose sur l’idée de subjectivité, la difficulté de définir quelque chose ou le ressentit de quelque chose toutefois avec imprécision. Le ressentit de nos états signifie notre connaissance sur nous même. Nos actes sont la conséquence d’une volonté de responsabilité ce qui implique l’état de liberté de pensée auquel nous aspirons. La conscience

pense, donc je suis)1 est une formule latine2 forgée par le philosophe René Descartes3. Elle exprime la première certitude qui résiste à un doute méthodique. Cherchant à refonder entièrement la connaissance, Descartes souhaite lui trouver un fondement solide, absolument certain. Cette recherche l'amène à la conclusion que seule sa propre existence, en tant que « chose qui pense », est certaine au départ. C'est cette découverte qu'exprime le « cogito »……. (Cette pensée, je pense, donc j'existe, est la

ne se pose pas en termes d'utilité. (première partie) La philosophie peut, il est vrai, se définir par son inutilité, en tant qu'elle n'a pas vraiment d'impact immédiat et conséquent sur le réel, et qu'elle se caractérise par la propension au doute, à l'indétermination. On peut opposer la philosophie à la science, et aussi la philosophie à la morale, car la philosophie, contrairement à elles, ne peut influencer de façon positive le quotidien de chacun, la vie de tous. La science peut ainsi prétendre

sens mais aussi par une inspection de l’esprit. Dans je suis une chose qui pense, Descartes remet en doute tous ce que ses sens lui ont appris, tous ce qu’il a éprouvé comme vrai pour trouver une vérité certaine. Il pratique donc le doute radical. Le doute suppose la pensée ; seule preuve de mon existence, tant que je suis conscient de penser je ne peux pas douter de mon existence (cogito = conscience de soi). Donc le cogito nous apprend qu’on est une nature spirituelle en premier lieu. La manifestation

déduction d’une vérité fondée. Ainsi, les apparences, parce qu’elles se font passer pour la réalité, nous induisent en erreur et nous font tirer des conclusions hâtives. Quand on emploi d’ailleurs l’expression « avoir mal jugé » quelqu’un ou quelque chose c’est communément pour signifier que l’on a considéré pour vrai une apparence qui ne correspondait en fait pas à la réalité qui se cachait derrière elle. En bref, les apparences nous rendent non seulement crédule mais entravent aussi le processus de

habitude » a la question « pourquoi ? » . l’habitude est une excuse de la non volonté de recherche. le non philosophe prend le monde pour acquis et de se fait il croit que tout va bien pour lui et qu’il peut repondre a toute les questions sans aucun doute. La raison joue un grand role dans la philosophie donc chez le philosophe. La raison permet de raisonner donc de se questionner se qui amene a forger ses propres pensséés. Le non philosophe ne pense pas car il suit déjà des idees toutes faite se

pouvoir? Sommes-nous toujours à l'origine des idées qui nous passent par la tete? Pour comprendre cette question on va d'abord définir des notions. Maitre c'est une personne qui exerce une domination, une fonction de direction, celui qui possède une chose. La pensée c'est l'activité psychique consciente dans son ensemble. Autrement dit c'est tout ce qui est dans notre esprit. Le verbe pouvoir signifie "avoir la capacité" ou "avoir la possibilité" de faire, de pecevoire ect. L'enjeu de la question c'est

possibilité à la connaissance du cœur humain. Cependant, d’autres éléments nous permettraient de démontrer ensuite qu’au contraire, ce personnage y donne un accès. Le personnage de roman ne nous apprend rien sur le cœur humain car sa fiction désintéresse le lecteur, on ne peut pas comprendre une chose irréelle D’abord, beaucoup de personnes s’intéressent d’avantage à un livre lorsqu’il est autobiographique ou qu’il traite d’un évènement réel. Un lecteur s’implique beaucoup plus dans ce genre de