N Apprend Qu Une Chose Le Doute

L’art, notion 2, sujet-type octobre 2009 (+ deux sujets voisins) Sujet : comment devient-on artiste ? L'ARTISTE COMMENCE PAR IMITER, PAR UTILISER HABILEMENT DES TECHNIQUES. Le pianiste apprend le solfège, fait des gammes. On apprend quelques règles techniques avant de dessiner, de peindre, de sculpter, d'écrire, de faire un film, une photo. Pensons aux grands ateliers de la peinture italienne, flamande, française. Mais suffit-il de connaître parfaitement le solfège et la technique pianistique

Par prudence il met les mœurs de côté (morale = étymologiquement « mœurs ») avant de commencer sa réflexion. * Réflexion de Descartes : Là où il n’y a pas de certitude il dit « c’est faux » (tout ça pour parvenir à la vérité) Donc il doute (doute = instrument par excellence de la méthode cartésienne) Il rejette tout ce qui vient des sens (qu’il considère comme trompeurs) Ex : illusions d’optiques Donc le monde n’existe pas et notre corps non plus. * Ex du panier de pomme :

le Petit Prince. Ce petit bonhomme lui indique qu'il vient d'une autre planète. Puis, à force de question l'aviateur découvre que le Petit Prince vient de : "l’astéroïde B 612”, une planète à peine plus grande qu'une maison! Chaque jour l'aviateur apprend de nouvelles choses sur la planète du Petit Prince, sur son départ, sur son voyage. C'est ainsi que l'enfant lui parle de la psychologie des adultes. En voyageant, avant d’arriver sur la Terre il s’est arrêté sur de nombreuses planètes. Il

première définition   Commençons avec un peu d’étymologie. Le mot français conscience vient du latin conscientia qui est formé de cum qui signifie « avec », et de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir des niveau de clarté, du sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme

encore dépendre de quelque chose d’étranger. Refuser, repousser telle ou telle chose, c’est encore dépendre de telle ou telle chose,C’est refuser telle ou telle sollicitation. Ce refus global, c’est celui de Descartes lorsqu’il doute radicalement. Il refuse de croire ou d’accorder sa confiance à tous les prétendus savoirs. Douter, c’est lever son adhésion aux choses. (c’est une façon de tenir la chose à distance). Il ne doute pas simplement de telle ou telle chose parce qu’elle est douteuse ;

d'ailleurs selon les philosophes, et elle ne vise aucunement l'utilité. Elle peut même, au contraire, apparaître comme un obstacle à la visée de l'utile. Elle se caractérise en effet par son absence de réponses certaines et immuables, par sa culture du doute. Certes, les philosophes ont parfois cherché à atteindre la vérité, à établir des certitudes, tel Descartes qui recherche un point fixe, une vérité première à laquelle accrocher toutes les autres,  mais la philosophie en elle-même n'apporte en fait

Shakespeare. 2.1 Hamlet, la scène d’exposition. Dans cette scène d’exposition, on apprend que le Roi est mort et il y a l’apparition d’un spectre qui ressemble au défunt. La scène d’exposition ne nous apprend rien d’autre sur l’intrigue d’Hamlet. On observe directement l’aspect baroque de la pièce dans le sens où la scène d’exposition est déjà un peu irrégulière. Elle ne nous apprend pas grand-chose. Mais dès le début, un spectre fait son apparition. Invocation du surnaturel, directement

réalité. Dans un cas général, une remise total de ces croyances n'est pas contestables, car tout le monde un jour remet ses croyances en question. Les croyances se divisent en trois grandes parties : la foi, le savoir et l'opinion. Le savoir est une chose certaine qui est difficile de pouvoir remettre en question. « La foi est une conviction qui engage tout l'individu, une adhésion totale à ce qui reste pour lui un mystère indéchiffrable. » (prépabac) Il est possible de la remettre en cause et se doit

Angelo rappelle ce paradoxe qui l’entoure p. 294 : « Je suis seigneur, despote et souverain de cette ville ; je suis le podesta que Venise met sur Padoue, la griffe du tigre sur la brebis » mais en même temps « il y a au-dessus de moi, voyez-vous, une chose grande et terrible et pleine de ténèbres ; il y a Venise. Et savez-vous ce que c’est que Venise, pauvre Tisbe ? Venise, je vais vous le dire, c’est l’inquisition d’état, le conseil des dix : des hommes que pas un de nous ne connaît et qui nous connaissent

elle n’était la principale. Il y a, disent-ils, un abîme entre le rêve et les perceptions de la veille. Pendant la veille, je m’assure de la réalité des objets : car mes sens se contrôlent les uns les autres. Je vois un arbre : si j’ai le moindre doute, je m’avance et je le touche : dès lors, plus d’hésitation, l’arbre est réel, je ne rêve pas. De même, je sens une odeur de rose ; si je me défie de l’odorat, je cherche la rose des yeux, je la touche du doigt, et ma certitude devient totale. J’ai