N Agit On Moralement Que Par Interet

pour lui-même, parce qu’il est à lui-même sa propre finalité. Essentialisme : tendance philosophique, communes à plusieurs philosophes qui considèrent que les êtres et les choses ont 1 essence qui les définit. Existentialisme : L’homme naît, il agit et se construit à travers ses actes. Rien, dans sa nature, dans sa génétique ou son passé ne l’incite à agir de la sorte. (Sartre) Etre conscient : être lucide, éveillé. Etre capable de se rendre compte de ses actes. C’est la capacité à établir

plus compréhensible en le simplifiant (par elle la réponse précède les questions) Mais l’idéologie permet aussi de nous projeter dans l’avenir en nous le décrivant tel qu’il devrait être ; voire de nous le rendre plus agréable en dissimulant nos intérêts en vérités générales. L’idéologie peut nous motiver en séparant le bien et le mal, le souhaitable et le redoutable, Elle sert enfin à nous procurer des adversaires (puisqu’une idéologie n’existe que par opposition avec d’autres). Or propager une

l’idée de St Paul (Epitre Romain) : et cette expérience commune lui sert de preuve « donc la preuve est faite que l’homme n’est pas un… » L’expérience du remord en est une preuve. Le remord ne s’applique pas à la transgression même c’est qu’il a mal agit et qu’il pouvait résister qu’il ressent su remord. Ce qui fait la culpabilité c’est la capacité que nous avions ou non de ne pas faire ça, ce n’est pas l’acte lui-même. Cette dualité reprend un couple non pas âme corps mais passivité activité. L’âme

la Renaissance s'est maintenu dans le monde occidental jusqu'à la rupture opérée par Nietzsche avec la morale judéo-chrétienne : déclarant la « mort de Dieu », il ouvrit la voie à l'humanisme athée. La référence à l'Homme comme sujet universel, qui agit au nom des valeurs, disparut complètement avec certains mouvements idéologiques du XXe siècle et des philosophies très diverses, dont celles de Heidegger en Allemagne ou de Foucault en France donnèrent la mesure. Subjectivisme : Le subjectivisme

affection, de respect, d admiration : ESTM : Techniques de Management Page 3  A toute personne qui de près ou de loin m a fait part des renseignements nécessaires à mon stage et mon rapport.  A mes parents, et ma famille qui m ont aidé moralement et matériellement.  A mes amis pour leur fidélité.  A toutes les personnes d Assurance Syassi qui sont préoccupées d améliorer et enrichir mes connaissances grâce à leurs efforts et leurs conseils. Remerciement En premier lieu, je tiens

étranger / nomos = loi On agit en vue de satisfaire ses désirs, le but est donné par le désir, il s'impose à moi sans que je puisse y résister. Ex : je veux être riche, ma réfléxion se porte uniquement sur les moyens (métier bien rémunéré) Dans notre société, l'idée de bonheur=richesse s'impose à moi comme une loi étrangère : c'est l'impératif hypothétique (je dois faire telle chose car je désire telle autre chose). Il existe 2 types : habileté : le but est moralement neutre (musculation pour

la science politique. Or, paradoxe, le savant en politique ne fait pas de politique (il ne va pas à l'assemblée), car dans l'arène politique empirique l'amoureux du vrai et du bien n'a pas sa place ; les rhéteurs, les flatteurs des passions et des intérêts règnent pour le malheur de la cité et la honte de l'esprit. On voit par là que Platon condamne la démocratie au profit d'une royauté d'essence morale, ce qui n'est pas le cas d'Aristote. Car pour Aristote la dialectique n'est pas science. Là où il

l'homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral, il ne devient un être moral que lorsque sa raison s'élève jusqu'aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu'il contient en lui-même à l'origine des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d'un côté, bien que la raison le pousse du côté opposé. Il ne peut donc devenir moralement bon que par la vertu

le 12 février 1804. Grand penseur de l'Aufklärung, Kant a exercé une influence considérable sur l'idéalisme allemand, le néokantisme, la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie postmoderne. Son œuvre, considérable et diverse dans ses intérêts, mais centrée autour des trois Critiques, à savoir la Critique de la raison pure, la Critique de la raison pratique et la Critique de la faculté de juger, fait ainsi l'objet d'appropriations et d'interprétations successives et divergentes. Sommaire

sympathie ces jeunes innocents. Elle montre bien qu’ils sont tellement affaiblis et malade qu’ils en sont blanc (tels la cendre). Ils sont fatigués, las (vers 13) et Rachitiques (vers 18). Mais le travail n’a pas que des répercutions sur leur physique, il agit aussi sur leurs morales. Du vers 1 au vers 11, Victor Hugo montre bien que ces enfants n’ont aucune joie et aucun rire pourtant liés à l’enfance. Il y a aussi l’angoisse lié à la peur du noir, l’une des plus grandes peurs de l’enfance. On peut retrouver