Métaphore Filée

mieux comprendre le monde qui l’entoure : il est perdu. René est à la recherche d’un moyen de s’exiler, de partir loin : « comme un oiseau de passage ». Il n’est bien nulle part. Il évoque l’idée que ce voyage pourrait être son dernier. On a une métaphore : « les oiseaux » comme pour rejoindre le ciel, « partir loin » pour dire qu’il veut en finir avec la vie. Il est donc au moment de faire un bilan de sa vie, il prend une distance par rapport a lui-même : « il » pour parler de lui. II) Un nouveau

femme. Il s’agira d’étudier les messages du poète dans ce texte. Nous privilégierons 2 aspects majeurs : - L’évocation de la femme - Le temps et la mort. I – L’évocation de la femme aimée A) La présence des différents sens B) La métaphore filée de la rose C) Le poète désarmé II – Les thèmes des temps et de la mort A) Le thème du temps B) Le thème de la mort C) Le « Carpe Diem » de Ronsard Conclusion : Ce sonnet très célèbre de Ronsard est une illustration

Paysage : Nous nous situons dans le nord de la France - Champ lex. de la Campagne - Champ lex. de la météo Nous avons là un aspect réaliste des données géographiques De plus, de nombreux termes technique “Fosse” sont présent. Il y a une métaphore filée de la mer, le vent est un fouet, la fosse est personnifié Conclusion : -Narration impersonnelle L’auteur ne semble pas s’impliquer dans l’observation. Il reste à l’extérieure de l’expérience. Avec le choix des trois focalisations on approche

I) La modernité dans la ponctuation et les vers Vers 1 à 3 : "tu" est ambiguë, le poète introduit un dialogue. Plus tard on se rend compte que Apollinaire utilise le registre lyrique. Vers 3 :"las"=> rejet, dégoût du poète Vers 2 : Métaphore filée « Ô »=> apostrophe qui emmène l’ambiguïté l’auteur ne veut pas de l’ancien mais il l’appelle quand même. Il compare la tour Eiffel à une bergère et a un troupeau ce qui ramène à l’ancien testament. Aucune ponctuation. Le lecteur doit être attentif

octosyllabes Rimes X, embrassées, suivies BCP de paroles rapportées : DD pour Jupiter DD du singe D.N + indirect ours V15+16 1ère partie / V16 2ème partie D.N éléphant D.N fourmis V14-16 P.S -> appuie ton bourru de l’ours + -> texte vivant V11-13 métaphore filée du portrait V20 «  Tout sage qu’il était »  -> subjectivité du narrateur Comique de répétition b) La visée didactique du récit V27-35 Morale Choix des animaux qui sont les intruments de L.F : Singe -> animal grimaçant Ours/éléphant/ baleine

comparé et un comparant, par l'intermédiaire d'un outil comparatif. Procédé établissant un parallèle entre deux réalités. Voir la métaphore. Produit un effet poétique ou didactique. Métaphore Figure qui consiste à instituer une analogie entre un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison). Parfois, le comparé est lui aussi absent. La métaphore peut dans ce cas précis se transformer en devinette. Crée un effet poétique. Métonymie Figure dans laquelle un concept est dénommé

de leur enfance. Puis quand il y a une personnification des machines avec des animaux dangereux, féroces au vers 7 « sous les dents d’une machine ». Et il y a une insistance sur la peur des enfants, face à d’horribles machines, grâce à la métaphore filée au vers 8 « monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre ». Egalement, la gradation « prison », « bagne », « enfer » augmente le fait de la peur des enfants et du malaise du lecteur. ». Aussi, on remarque un poème avec une multitude

forme d'une métaphore filée : Le temps qui passe est composé à la mer ( cf : "océan des ages") et la vie humaine à une barque ( cf : "jeter l'ancre"). Par le biais d'une question oratoire Lamartine insiste sur l'impuissance de l'Homme à échapper au temps qui le mène versla mort : cf : emplois des participes passés à la valeur passive ( "emportés, "poussés) et la métaphore mort = ( "nuit eternelle " ) Le registre est tragique (impuissance à dominer, à maitriser son destin). La métaphore est reprise

Désenchantement exprimée par la métaphore filée du funambule Notion de vertige, équilibre menacé Vision du monde négative, péjorative = énumération l.104.105 Malheur exprimé par la métaphore de l’oiseau Référence à la mort par la course du soleil Situation intermédiaire Pour Coelio : Recherche bonheur et amour absolu CL de l’illusion exprime son désenchantement Emploi de négation pour montrer son incapacité Aussi loin du but que du rivage qu’il a quitté Métaphore de la barque C. Une fuite commune

il "est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui apparaissait, de prime abord, comme une personnification de l'oiseau se comprend maintenant comme une métaphore animale du poète. Avec "nuées", "tempête", "ailes de géant" situés au-dessus de "sur le sol", "empêchent de marcher", le sentiment de supériorité de cet oiseau pur incompris par le monde d'ici-bas est très perceptible. Il s'agit là d'un traumatisme