Métaphore Dans Midi

caractéristiques spatio-temporelles du récit 1 – Les caractéristiques temporelles Le poème « Aube » suit une évolution chronologique. Le poème commence en effet par « aube » (qui constitue le titre du poème mais qui apparaît aussi au vers 1) et se termine par « midi ». Les temps verbaux sont ceux du récit. On trouve ainsi : ♦ L’imparfait (« bougeait », « était »), qui est le temps des descriptions par excellence ♦ Le passé simple (« regardèrent », « se levèrent ») qui indique une action ponctuelle ♦ Quelques verbes

à " voyez " puis à " cueillez ". *** indication temporelle « cette vêprée »v.4 la promenade a lieu l’après-midi, elle a pour objet d’aller voir la rose « qui ce matin avait déclose » v.2 : s’étaient-ils déjà promenés ensemble ce matin ? Cette suite d’éléments concrets permet de « planter le décor » et de se représenter les protagonistes faisant une ballade galante par une après-midi ensoleillée dans un parc ou un jardin. II La fuite du temps : Dépérissement de la rose selon la loi de la

construction + Métaphore «  Laisse […] dans la vague » ( ligne 3-4) qui montre le calme verbe « écarter, laisser s'estomper, fermer la porte » montre l'abandon, l'isolement et la mis en écart. Isolement physique : Comparaison entre : entre les deux mondes une frontière: cloison et porte. Monde intérieur : monde du lecteur « Je » Monde extérieur : monde des autres « ils » Apaisement en faisant la lecture : - Intérieur calme, détachement du monde réel «  les pieds levés » (métaphore) - répétition

mondiale.Avec ma mère, nous fîmes un grand tour dans les rues proches de l’hôpital, un après-midi, à marcher en traînant dans les ébauches de rues qu’il y a par là, des rues aux lampadaires pas encore peints, entre les longues façades suintantes, aux fenêtres bariolées[footnoteRef:1] des cent petits chiffons pendants, les chemises des pauvres, à entendre le petit bruit du graillon[footnoteRef:2] qui crépite à midi, orage des mauvaises graisses. Dans le grand abandon mou qui entoure la ville, là où le

des traites et des banque-notes que les banques au v10 « voient affluer – voiles légères – par flottes » mime le mouvement de cette ardeur. Les allitérations en « v », « f » et « « l » donnent une impression de légèreté, d’envol, et renforcent la métaphore du volcan pour désigner la bourse, qui déverse de la lave sur la ville, comme le suggère le v12 « gagne la rue et s’y propage ». 3) Cette ardeur se transforme en folie La ville entière devient folle. Au v14 la bourse sème « dans la ville, la peur

père qui manifeste plus gêne que de colère. Il ne peut s'empêcher de penser a ce qu'aurait fait Folcoche a sa place. Mais la grand-mère n'est pas d'accord avec ce que dit M. Rezeau et décide de garder Jean jusqu'à ce que M. Rezeau ce calme. L'après-midi, Jean visite la Tour Eiffel. À son retour il a une longue conversation avec son père et a la fin de la conversation il se jette dans les bras de son père d'une partie spontanée mais une grande partie en faisant semblant. Dans le train qui les ramènent

un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais. En haut de la route, près d’un bois de lauriers, je l’ai entourée avec ses voiles amassés, et j’ai senti un peu son immense corps. L’aube et l’enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi. Analyse du poème Aube : Aube est un poème contenu dans le recueil Illuminations (1873). On perçoit à travers ce poème une certaine féerie, l'espace décrit est celui du rêve. L'auteur importe peu à savoir le lieu dans lequel il se trouve et

donné à la « théorie du chaos » selon laquelle, une petite chose (comme le battement d’ailes d’un papillon) pourrait avoir de grandes conséquences (comme d’entrainer une tornade ou l’empêcher). L' « effet papillon » est une expression qui résume une métaphore concernant le phénomène fondamental de sensibilité aux conditions initiales en théorie du chaos. Cette sensibilité explique le fait que, pour un système chaotique, une modification infime des conditions initiales peut entrainer des résultats imprévisibles

Eiffel. A l'époque d'Apollinaire, la tour Eiffel apparaît comme le symbole de la modernité."Le troupeau des ponts" V-6 : métaphore. Les arches des ponts, nombreux sur la Seine, évoquent le dos des moutons. La métaphore est filée: la tour Eiffel se dresse au milieu des ponts, les domine. De plus, la tour Eiffel est située sur la berge, d'où coïncidence métaphore et métonymie. Métaphore du "troupeau des ponts" prolongée en fin de vers "bêle ce matin". Zone: la fin tu es las de ce monde ancien

roman situe donc précisément le lieu de l’action en insistant. « Se dissipait » : le verbe amorce une thématique onirique. C’est la même chose pour « La fin d’après-midi d’automne »: tout d’abord on a la présentation de la temporalité du récit. Nous sommes en automne 1939, en octobre, et pour notre paragraphe, pendant l’après-midi. C’est une temporalité proche d’un basculement où tout le paysage (le récit en parallèle) se teinte d’une atmosphère onirique/irréelle. Cela est souligné par l’effet