Métaphore Animale

de 2 métaphores. En effet, ce monstre est qualifié par l’expression « indomptable taureau » et de « dragon impétueux » qui sont des créatures mythiques. Ces 2 métaphores insistent sur la force du monstre. Lorsque les flots se lèvent et qu’on aperçoit la créature, l’auteur la décrit d’une laideur des plus affreuse « l’onde approche, se brise, et vomit à nos yeux » Dans la mesure où la mer " vomit " cet " Indomptable taureau, dragon impétueux ", elle apparaît elle-même comme un animal qui crache

un « escompteur », à savoir un banquier qui achète des actions au rabais, terme lié à celui de « spéculation » que nous pouvons trouver à la ligne 11. Pour poursuivre, elle est froide et insensible. La métaphore « un nez à bec de perroquet » l.8 et la comparaison « comme un rat d’église » l.9 animales nous la rendent froide, nous la rendent inhumaine. Sa comparaison à un « argousin » l.16, ne fait que renforcer cette idée de froideur. Pour terminé, Madame Vauquer est une personne fausse, le démasque

leur coté inhumain. En premier lieu, Nous allons voir comment Laurent Gaudé transforme les esclavagistes en animal. Déjà, l’auteur utilise un vocabulaire péjoratif : « aboya-t-il », ce qui transforme le personnage en animal. De même il utilise des figures de style comme une comparaison : « comme une meute en colère », ce qui renvoie tout de suite au genre animal. Il y a aussi une métaphore : « avec célérité de chiens de chasse ». Aussi, les esclavagistes, dans ce passage ont un besoin de chasser

Cherchant à représenter la réalité la plus vraisemblable possible, Balzac utilise plusieurs procédés d’écriture comme la comparaison : « un nez à bec de perroquet » (l.36-37), « sa personne dodue comme un raz d’église » (l.37). Ces deux références à des animaux disgracieux montre à quel point elle l’est elle-même. Une comparaison sous-entendue démontre encore mieux sa médiocrité : « l’expression passe du sourire prescrit aux danseuses à l’amer renfrognement de l’escompteur » (l.40-41). La comparaison est

« paresseux » pour la paresse »). Ainsi, il se dit charitable aux yeux de Dieu mais n'est rempli que d'orgueil et de défauts. De plus, au vers 21, le poète le change en animal au moyen d'une métaphore le comparant à un loup. Or, les attributs de ce canin sont la férocité, la compétitivité, l'avidité et l'envie. Alors, par l'action de cette métaphore, tous ces défauts sont attribués à l'Homme. Ce « loup » est accompagné du verbe « rire » ; créant un contraste entre son caractère méchant : l'Homme est méprisant

Fiche de récapitulatif des figures de styles Une allégorie : c’est une personnification ou une métaphore longuement développée dans un texte à partir d’une idée abstraite donc c’est une image développée longuement dans tout un texte. Une allitération : c’est une répétition de plusieurs consonnes qui se ressemblent phonétiquement. La répétition est expressive Ex : Pour qui sont ces serpents qui sifflent ? Une anaphore : c’est la répétition d’un mot outil en début de phrase ou de proposition

qui n’est pas hétéro diégétique car Scarron va jusqu'à intervenir ligne 1, 7, 30,33, pour éclaircir les métaphores ou autres oppositions et personnifications : Ligne 7 « Pour parler simplement…. Arriva dans les halles du Mans » « ligne 32 : Mais j’entends parler des grande tortues qui se trouve dans les Indes. ». 4-Les repères temporels viennent de la personnification du soleil et la métaphore filée du paysage pour introduire le roman. 5-L’ensemble ressemble à une hypotypose qui consiste à donner

philosophe allemand du XIXe nous propose dans ce texte extrait de Sur la vérité et le mensonge sa réflexion sur la notion de vérité et de ses limites. Qu'est ce qu'une vérité ? Et que n'est-elle pas ? Selon lui, les vérités seraient des multitudes de métaphores, d'anthropomorphismes, en changement perpétuel et accessibles à tous car leurs origines restent inconnues de nous-même. En revanche certaines vérités dites absolues ne peuvent être approchées que par ceux qui cherchent ou recherchent à remettre

décision. On mobilise des arguments contradictoires afin d’arrêter son choix. Cela peut être un discours intérieur ou à plusieurs. II – Les procédés de l’argumentation - Les figures d'animation, d'analogie, de substitutions (la comparaison, la métaphore et la métonymie, la personnification, l'antonomase et la prosopopée). - Les figures d'insistance (l'hyperbole, l'anaphore, le pléonasme, l'inversion, la gradation et l'apostrophe). - Les figures d'opposition (l'antithèse et l'oxymore). - Les figures

refoulement, un déni : « cette foule en joie ignorait ....que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais » - D’ailleurs le lecteur sent que cette joie a quelque chose de monstrueux. Les métaphores et les métonymies qui caractérisent la ville en liesse font penser à une sorte de puissance animale, monstrueuse, presque inquiétante : « la rumeur de la ville, cependant, battait toujours le pied des terrasses avec un bruit de vagues », « le désir devenait sans entraves et c’était son grondement