Métaphore Animale

mots et leurs connotations. On trouve parmi elles : ● La comparaison, la plus simple et la plus reconnaissable, ● La métaphore, qui est une comparaison à qui il manque un ou deux éléments. On parle de métaphore filée lorsqu'on trouve une suite de métaphores sur le même thème tout au long du texte, ● La personnification, qui consiste à prêter des sentiments humains à un animal ou un objet, ● L'allégorie, qui est la représentation concrète d'une idée abstraite, ● La métonymie, qui consiste à nommer

Hypothèse : Comment l’auteur réalise-t-il une critique ironique des Hommes en les comparant avec des animaux ? Dans le texte « Des jugements », la Bruyère conteste la prétention de l’homme à se définir comme « un animal raisonnable » et démontre avec ironie que son orgueil n’est pas justifié. L’auteur effectue une critique de l’espèce humaine en comparant les Hommes avec les animaux mais comment construit-il sa critique ? Une première partie traitera de l’habileté du discours et une seconde

Léoplold Sedar Senghor I. RENCONTRE A. UN NOUVEAU VENU éléments autobiographiques + réalistes / fantastiques : je = narrateur = personnage principal = auteur: Léopold Sedar Senghor (cf elt biographiques) / l’homme animal chouette 4 + jaguar 8 (homme de l’Afrique) position du narrateur : «regard en contre plongée Et l’angoisse au fond des rues à gratte-ciel levant des yeux de chouette 2-3 enjambement regard contrebalancé par plongée 10 tous les oiseaux de l’air /Tombant soudain = enjambement Témoignage

Les obsèques de la lionne Introduction « Les obsèques de la lionne », comme la plupart des fables de Jean de La Fontaine, raconte l’histoire au travers des animaux. Il utilise cette stratégie argumentative afin de critiquer la cour du roi Louis XIV. Nous verrons comment le fabuliste critique le roi et sa cour. 1 - Critique du roi La Fontaine, dans cette fable, critique le pouvoir royal. D’abord, le champ lexical de la divinité est omniprésent : « tes membres profanes » (v.35), « immolez »

fidèle à son protecteur sera lui-même pour suivit et connaîtra une période d’éloignement de la cour . Mais étant donné qu’il est risqué de déplaire au roi,la contestation dans les fables reste mesuré et subtile masqué par la référence au animaux on comprend alors que les fables soit dédiée au fils du roi et que les dédicaces contient autan de compliment à Louis 14 : «  prince aimé des cieux , invisible monarque » Introduction : La Fontaine

souvent très brèves, avec des éléments juxtaposés, comme par exemple aux vers 1, 4 et 5. On note d'ailleurs une ambiguïté aux vers 2 et 3 due à l'absence de ponctuation : le terme "plaque" peut être un nom apposé au mot "lune" et serait alors une métaphore de l'astre, ou alors un verbe qui aurait pour COD le vers suivant. Le sens reste donc obscur et la 1ère strophe assez mystérieuse. La ponctuation est aussi très présente : les nombreux points de suspension (vers 1, 4, 5, 6, 10, 11, 12) coupent bizarrement

antécédents qui avaient bu. Sa machine est associer à une femme, il ne se sentait bien et apaisait qu'avec sa machine. Comme si elle était sa « maîtresse ». « De subites pertes d'équilibre, des cassures, des troubles » ; « Bête enragée » Métaphores : Âme qui s'écoule Du brouillard : Il s'est plus ou il en est. « Sang gâté » : cela souligne la dégénérescence familiale. Tout cela montre qu'il est en mutation, l'être humain se transforme en bête humaine. Il y a deux causes qui sont

contradictoires afin d’arrêter son choix. Cela peut être un discours intérieur ou à plusieurs. II – Les procédés de l’argumentation Cf : fiche sur les figures de style - Les figures d'animation, d'analogie, de substitutions (la comparaison, la métaphore et la métonymie, la personnification, l'antonomase et la prosopopée). - Les figures d'insistance (l'hyperbole, l'anaphore, le pléonasme, l'inversion, la gradation et l'apostrophe). - Les figures d'opposition (l'antithèse et l'oxymore). - Les figures

l’ironie commencent a se marqué encore plus : Hyperbole et Périphrase (« race d’hommes qui serait la plus calamiteuse, [...] les Dieux » L.5 et 6) ; Oxymore (« douce folie » L.7) ; Analogie (« Troupeau d’écoliers » L. 11), ou il compare les élèves a des animaux. Une opposition entre la réalité et la folie s’impose, caractérisé par le «Mais » (L.1, L21 et L.32).

lecteur à l’impression de vivre l’histoire. Comme par exemple « gosier », « baraque » pour les mots familiers ; maintenant pour les mots courants il y a par exemple « pieds nus », « cage de fer ». Pour ce texte l’auteur a décidé d’utiliser des métaphores animales « (…) jaillissement doux de bête nocturne (…) », « sonnant à la viande », « chair humaine ». Tout cela permet de comprendre que le texte est réaliste. Il y a un dernier élément qui rend réaliste aussi c’est que on nous donne un temps précis