Mythe De Salomé

Université de Genève Sommaire * Introduction 1. Qu'est-ce qu'un mythe? 1. Une forme narrative 2. Mythe et Logos 3. Le mythe, entre tradition orale et littérature 4. Une réduction du mythe, du récit à l'image 5. Une histoire sacrée 6. Mythe et Histoire 7. Des oppositions structurales 8. Une saturation symbolique 2. Autobiographie et mythographie 3. Le mythe romantique 9. Une forme narrative * Bibliographie Introduction

demandent qui a commencé : l'oeuf ou la poule. Et si c'était la plume ?" Denis Langlois. "La plume est la langue de l'âme." Miguel De Cervantès, Don Quichotte. "Un livre a toujours deux auteurs : celui qui l’écrit et celui qui le lit." Jacques Salomé, Si je m’écoutais, je m’entendrais. "L'important n'est pas de convaincre, mais de donner à réfléchir." Bernard Werber, Le père de nos pères. "La plume est l’interprète de l’âme : ce que l’une pense, l’autre l’exprime." Miguel de Cervantès

présentes” Marie” peut-être la Vierge Marie,” Salomé “de la Bible. Dionysos le dieu du vin invoqué lorsqu'il parle d'alcool, dans “vendémiaire “notamment cependant tous ces thèmes et ces figures très anciennes permettent le renouveau de la poésie. Il les place dans des contextes inédits de la vie moderne, Icare, lorsqu'il parle d'aviation ou lorsque le héros s’élève vers le soleil “un Icare tente de s'élever jusqu'à chacun de mes yeux”. Il renouvelle aussi le mythe d'Orphée “j'ai eu le courage de regarder

film ne cherche pas à etre réaliste. Le jeu avec les films convoqués : Tim Burton ( l'asile ) Manteau de Dracula à motif ---> le tableau « Le Baiser » de Klint La robe de mariée de Lucie, decapitation de la tete avec le plat ---> Mythe de Salome, Judith et Holopherme. Reference esthetique : Tableau portrait de Dracula---> Albrecht Dürer auto-portrait Il tue son propre Dieu, il poignarde la croix. B) La relecture transgressive La transgression de l'ordre Dracula

dans un recueil de contes picturaux, l’Elixir de longue vie nous offre d’une part, une peinture colorée mais d’autre part, en parallèle, une œuvre beaucoup plus sombre. Revisitant le mythe de Don Juan, mais aussi le roman gothique qu’il décriait tant, Balzac nous offre avant tout un conte philosophique. Le mythe de Don Juan est un thème récurent chez les contemporains de Balzac comme chez ses prédécesseurs, on retrouve, effectivement, des Don Juan chez Molière, Corneille, Baudelaire ou Hoffmann

que le rôle de l’artiste est redéfini, celui-ci devenant l’égal des princes . Vasari veut parvenir à l’équation formulée par Dante : le poète est un prince dans son domaine. Cette notion d’équivalence entre artiste et prince se retrouve dans le mythe d’Apelle avec le don de Campaspe par Alexandre. Vasari est très sensible à la conduite des artistes ; selon lui, ces derniers doivent se conduire comme des courtisans, à l’image de ceux décrits par Castiglione. Dans le même temps, l'artiste bénéficie

finir, le second portrait de Nana (Muffat observe Nana qui se contemple dans le miroir de la chambre)]. 2 – En quoi les deux portraits (première et dernière partie) s'opposent-ils ? [Flaubert disait de l'héroïne : « le personnage de Nana tourne au mythe, sans cesser d'être réel ». Un des portraits s'inscrit dans l'esthétique naturaliste, l'autre prend une dimension symbolique et mythique]. Problématique : Quel portrait de Nana se dessine dans ce passage ? I) La chronique

et la modernité Sa culture:la poésie lyrique d u Moyen-Age au XIX°siècle, la littérature en général, l’Histoire, les mythes gréco-romains (Orphée, Le Phénix, Dionysos, Apollon, Héraclès, Ulysse, les Sirènes…), les histoires bibliques (Salomé…), les légendes germaniques (La Loreley, les « nixes nicettes »…), les légendes rattachées au cycle du Roi Arthur (Merlin…) L’éclectisme d’Apollinaire s’ouvre donc à des légendes variées qui donnent à

référence fondamentale. Le thème iconographique choisi est tiré des Évangiles, le Festin d’Hérode : banquet au cours duquel le roi Hérode, séduit par la danse de la jeune Salomé, accepte de lui livrer la tête de Jean-Baptiste. Donatello construit ici la narration à l’intérieur d’une architecture savante, depuis la danse de Salomé, à l’arrière plan et au centre, jusqu’au dénouement tragique : la présentation de la tête de saint Jean-Baptiste au plan médian et, au premier plan, la douloureuse prise

TrivialityRichard Ellmann says that The Importance of Being Earnest touched on many themes Wilde had been building since the 1880s – the languor of aesthetic poses was well-established and Wilde takes it as a starting point for the two protagonists. While Salomé, An Ideal Husband and The Picture of Dorian Gray had dwelt on more serious wrongdoing, vice in Earnest is represented by Algy's craving for cucumber sandwiches. Wilde told Robert Ross that the play's theme was "That we should treat all trivial things