Mythe De Salomé

permettent d’étayer leur propos tout en mobilisant une érudition commune avec le lecteur. Dans Alcools , Apollinaire emploie un grand nombre de référence mythologique et religieuse. Notamment dans le poème « Salomé » dans lequel il s’approprie le mythe de Salomé et le réinvente en même temps. Dans ce poème, Apollinaire invoque des références mythologique et religieuses « Sire je danserais mieux que les séraphins » : les séraphins sont des créatures célestes ailées que l’on retrouve

Les avatars du mythe d'Orphée dans les oeuvres au programme (La princesse blanche et Les cahiers de Malte Laurids Brigge) de Rainer Maria Rilke. La princesse blanche [PB] (1898/1904) et Les Cahiers de Malte Laurids Brigge [CMLB] (1904/1910) font partie d’un tournant dans l’œuvre de Rilke puisque ce sont deux œuvres qui sont postérieures à sa rencontre avec Lou Andreas-Salomé (mariée, mais restée vierge) puis à son mariage avec Clara Westhoff (peu avant la 2e version de la PB), à son départ de

réaliste : un héros ? ➟ Séquence 3, pp. 50-75 – La description : du miroir au symbole ➟ Séquence 4, pp. 76-91 ➤ Dossier Histoire des arts : L’art et le réel (II) : l’héritage de l’Antiquité, le corps idéalisé, p. 48 ➤ Écho de l’Antiquité : Le mythe du Minotaure, p. 85 ➤ Textes échos et Perspectives Les Échos permettent de confronter un texte réaliste ou naturaliste à un autre texte ; les Perspectives permettent d’ouvrir l’étude. • Un autre mouvement littéraire et culturel : Le romantisme :

BIBLIOGRAPHIE Karl Abraham, Rêve et mythe, œuvres complètes, Paris, petite bibliothèque Payot, t.1, 1977. Didier Anzieu, «Le moi-peau», Nouvelle revue de psychanalyse, n°9, printemps 1974. Antonin Artaud, « Le Théâtre et son double », Œuvres complètes, tome IV, Paris, Gallimard, 1978. Colette Assouly-Piquet, « double, mère et mort », in : Psychanalyse à l’université, revue trimestrielle, t.II, n°42, avril 1986. Paul-Laurent Assoun, Freud, la philosophie et les philosophes, Paris, PUF, 2005

déesse de l’amour, de la sexualité et de la fertilité, Inanna, en descendant dans l’enfer, a renoncé petit à petit à un article vestimentaire où à un bijou dès qu’elle franchissait une des sept portes. La légende dit que ce mythe a été repris par la séduisante Salomé dans la danse des sept voiles. Dans certaines cultures, une femme qui se dénude est considérée une malédiction, même à notre époque. Par exemple en Afrique on considère que la femme qui danse nue commet un grand péché et que personne

Support : couverture et 4 e de couverture. I. Salomé tatouée 1) Faire répondre à la première question de « Regarder le tableau », page 145. 2) Comment la danseuse est-elle mise en valeur ? 3) Recherchez des informations sur Salomé et Hérodias. Quels éléments du tableau font référence à cette histoire ? 4) Faire répondre à la question 2 de « Regarder le tableau » sur le fantastique de l’image. 5) Cherchez d’autres représentations picturales de Salomé. Chaque groupe devra en présenter une à l’ensemble

de la tragédie classique et du roman picaresque Le mythe de la bohémienne Carmen et Esméralda, deux figures emblématiques de la bohémienne dans la littérature française du XIXe siècle. L'une et l'autre allient l'attrait de l'exotisme, le pouvoir de la magicienne, la force de la séduction. Mais, à la différence de Hugo, qui semble vouloir effacer cette étrangeté en faisant d'Esméralda une enfant enlevée, Mérimée crée avec Carmen le mythe de la bohémienne, obéissant à la seule "loi d'Égypte"

Jean-Baptiste victime de Salomé qui s’impose à Muffat dans l’image de « la tête du souffleur, une tête de vieil homme posée comme coupée ». ▪ C’est dire qu’un processus de mystification du personnage est également à l’œuvre, lors même qu’il s’agit de dénoncer des mythes et de les mettre à bas. Une phrase comme « Vénus était prête » est toute à la fois ironique (Zola, en haine d’Offenbach, dénonce le théâtre d’opérette) et mythifiant. La phrase de Flaubert « Nana tourne au mythe sans cesser d’être

Julien est « à peine » un saint. De plus, l'écrivain lui épargne toute tentation du démon. Cette animalité des personnages se retrouve dans les deux autres récits. Dans Hérodias, Antipas, souvent rattrapé par sa concupiscence, se laisse séduire par Salomé et coupe ainsi indirectement la tête de Saint Jean-Baptiste. Alors que, à la page 142, Hérode affirme qu'il aime bien le futur décapité. En mettant le tétrarque au centre du récit, nous devenons ainsi plus sensible à la versatilité, la bêtise humaine

production ciématographiques et les nécessités politiques ou idéologiques. Ironie et interrogations . Nous venons de voir , en repartant de la période ambiguë de la libération , que la première periode est celle de la construction d’un véritable mythe, celui de la France résistante, mais dans un deuxième temps, on cherche , dans une certaine mesure,à oublier, pour se réconcilier, et l’on entre dans une période de silence relatif ( comme ce fut le cas pour la première guerre mondiale, ) malgrés quelques