Mythe De Salomé

mariage avec Hérodias, femme de son demi-frère Hérode. Il est jeté en prison. Salomé, fille d'Hérodiade, danse si bien au cours de l'anniversaire d'Hérode, que celui-ci lui accorde tout ce qu'elle voudra. Elle réclame la tête de Jean-Baptiste. Jean-Baptiste est décapité par un bourreau en présence de soldats. Au cours du banquet organisé par Hérode, un serviteur apporte la tête de Jean-Baptiste. Devant les convives, Salomé revendique la tête de Jean-Baptiste comme récompense puis l'offre à Hérodias

du concept de la Volonté de puissance, qui se confondent partiellement, nous le verrons. Parallèlement à la figure du surhomme, qui doit advenir si l’homme est capable de se surpasser, Nietzsche semble se référer à une autre divinité. Lou André Salomé, qui l’a bien connu, évoque cette figure ; écoutons la : « on sentait déjà qu’il n’allait pas en rester à ses recueils d’aphorismes », elle disait « qu’il irait vers Zarathoustra » et qu’ «  on sentait ce mouvement profond qui le lançait à la recherche

continuellement son inspiration. Il se caractérise par un jeu subtil entre modernité et tradition. Il ne s’agit pas pour lui de se tourner vers le passé ou vers le futur, mais de suivre le mouvement du temps. Cela permet à l’auteur de concilier l'écart entre le mythe et le réel. Ses 2 grandes sources d'inspirations ne sont pas pour autant cloisonnés, chez Apollinaire, les frontières entre le réel et l'imaginaire sont poreuses et sa poésie est marquée par une nette inclination au vagabondage. On est donc tenu de

d’Envoyé, de Témoin. Ce prêcheur du désert avec sa tunique en poils de chameau, que la tradition ésotérique et iconographique a parfois remplacé par une toison d’agneau ou de bélier vierge, est présenté comme un ascète, qui sera décapité pour l’impudique Salomé, par Hérode. Il est présenté comme une figure de l’incorruptibilité, de l’indépendance de pensée, mais aussi de renoncement. N’est-il pas celui qui a dit de Jésus : « Il faut qu’il croisse et que je diminue », et aussi : « Il vient après moi celui

incompréhension réciproque d’autant plus frappante qu’elle ne s’exprime par aucune dispute ni aucun conflit déclaré. Sur le plan amoureux Parmi les stéréotypes qui pilotent à son insu la conduite d’Emma, le mythe romantique de l’adultère passionnel la conduit avec enthousiasme à sa première aventure extraconjugale ; avec Rodolphe. Elle se laissera séduire par cet homme sans scrupule qui profitera d'elle et la mènera à sa perte. Abandonnée par son premier

1 |Cours d'introduction, |Voir ci-dessous | | |présentation générale de | | | |l'oeuvre et du mythe de Carmen | | |séance 2 |Suite du cours d'introduction et|  | | |lecture de passages pour |

portrait que Basil a fait de lui qui le flatte, il a vraiment compris la puissance de la beauté à travers la philosophie de Lord Henry à laquelle il adhère totalement, il ne peut plus accepter aucune laideur, ça le salit. On peut comparer Dorian Gray au mythe de Narcisse qui, quand il nacquit, on dit de lui à sa mère :"il vivra mieux s'il ne se voit pas" et dont la tragédie est l'obsession de cette beauté. Il a compris la puissance de sa beauté, de La Beauté qui est devenue son Dieu, lui même est devenu

entourage. Dès sa première apparition, elle tient sous son emprise le Tout-Paris : « Le rut qui montait d’elle, ainsi que d’une bête en folie, s’était épandu toujours davantage, emplissait la salle ». Elle est ainsi l’incarnation idéale et assumée de ce mythe de la « femme fatale » qui obsède les créateurs de l’époque, Klimt, Burne-Jones ou encore Kipling. Elle s’épanouit dans ce cadre de vice et de luxure, même si le lecteur ressent qu’elle n’est pas seulement une succube insatiable. Au contraire

 ARTISTIQUE SOMMAIRE •  •  •  •  •  •  •  •  •  Un symbole de modernité La Belle Epoque: la modernité à l’œuvre Les arts visuels Littérature et poésie Le contexte musical La danse La nouvelle danse La naissance d’un mythe La modernité du sacre: musique et écriture chorégraphique L’Exotisme et l’Orientalisme •  À l’époque des Ballets Russes, l’imaginaire visuel du public est imprégné des visions «  fastueuses et sensuelles » de l’Orient : Cléopâtre

le vers central ! -          La danse dans l’imaginaire collectif est toujours associée à la séduction, à une sorte de parade sexuelle de la femme pour séduire l’homme. (lecture 2 extraits, Notre-Dame-de-Paris + A Rebours) (cf. Esméralda, le mythe de Salomé). Cette idée est d’autant plus évidente dans le poème que la femme est comparée à un serpent qui danse. Or, le serpent renvoie à la figure du tentateur absolu, le serpent de la Genèse. La femme que décrit ici Baudelaire peut alors être perçue