Moudawana

genre en politique est non valable. En effet le religieux est très fortement présent au Maroc, dans la mesure où celui-ci est avant tout un pays musulman et que le roi se pose d’abord comme commandeur des croyants. Le code du statut personnel (La moudawana) avant 2004 était essentiellement basé sur la charia. L’islam, notamment au Maroc, attribue à la femme un rôle essentiel qui vise à la préservation de la famille et de la a l’intérêt social. A ce titre les femmes ne peuvent participer en politique

les droits du mineur, et que cette explication est la plus juste et la plus logique car la gestion des biens financiers même dans l’acte de procuration suppose l’attention, et que c’est ce qui a été précité par le législateur dans le code de la MOUDAWANA. L’article 206 ainsi puisqu’il a déterminé les comportements du représentant pour obtenir l’autorisation s’il dépasse la somme de 200.000 dirhams ; et d’après ce que la défenderesse a justifié ; elle a considéré que l’hypothèque du père du bien de

fixant les charges afférentes au logement de l’enfant. a. Les dévolutaires de la garde. La garde doit être confiée en priorité à la mère qui est plus prédisposée que le père à assumer ce rôle, ensuite à ce dernier puis, selon l’article 171 de la moudawana, à la grand-mère maternelle ; sinon le tribunal de la famille a la faculté de confier la garde à l’un des proches parents apte à l’assurer sans distinction entre les proches du père et les proches de la mère. Le tribunal doit fixer pour le logement

du droit public. Les rédacteurs des codes ont été fortement inspirés par la législation française pendant et après le protectorat inspiration même au niveau des constitution sur tt la … Mais à l’exception de ces innovation et qlq autres, la Moudawana a réaffirmé les principes fondamentaux de la loi islamique du reste si une question n’a pas été traité par le nouveau code se référer au droit musulman classique et plus précisément aux enseignant de l’école malékites. Nous pouvons donc dire que

fixant les charges afférentes au logement de l’enfant. a. Les dévolutaires de la garde. La garde doit être confiée en priorité à la mère qui est plus prédisposée que le père à assumer ce rôle, ensuite à ce dernier puis, selon l’article 171 de la moudawana, à la grand-mère maternelle ; sinon le tribunal de la famille a la faculté de confier la garde à l’un des proches parents apte à l’assurer sans distinction entre les proches du père et les proches de la mère. Le tribunal doit fixer pour le logement

se soustrayant ainsi à assumer, ce que Balandier appelle « le coût social du progrès » 10 Dominant la société, l’État a renoncé, dans ce domaine, à jouer le rôle d’éducateur et d’innovateur en promulguant en 1957/58 un code du Statut personnel (moudawana) inégalitaire et basé sur une interprétation très orthodoxe du rite malékite qui maintient le principe de l’obéissance de la femme à son époux, la polygamie et la répudiation, etc. 11 L’État marocain a fortement contribué à la construction des identités

L’autorisation d’expérience de la maturité (الاختبار) L’article 226 CF dispose qu’ "il peut être remis au mineur pourvu de discernement une partie de ses biens pour qu’il en assure l’administration à titre d’expérience". Remarquons d’abord que l’ancienne moudawana ne permettait d’autoriser le mineur à titre d’expérience qu’à l’âge de 15 ans révolus et lorsqu’il présentait des signes de maturité. Actuellement, l’autorisation peut lui être attribuée dès l’âge de 12 ans révolus puisque le mineur est alors pourvu

hanéfite4 permettent la fixation d’un minimum, tout en stipulant que la compensation « doit être en rapport avec la condition de la femme et avec la situation de fortune du mari » (Milliot, 1953 : 302). Quant au Code du Statut Personnel marocain (la Moudawana), il stipule que « le sadaq ne comporte ni maximum, ni minimum » (Maroc, 1996 : 51). Par ailleurs, le silence de la Révélation sur un point essentiel tel que les modalités du versement du sadaq laisse aux actants une marge d’interprétation. Ceci

années qui ont suivi la création de cet État en 1948. f) Droits sociau et egalité : En 2005, le Parlement du Maroc convint d'un calendrier pour améliorer le statut des femmes et des enfants9 et adopte une loi nouvelle sur la famille, appelée Moudawana, qui est largement considérée comme très progressiste au regard des pratiques régionales. En plus de leur participation sur des listes électorales mixtes, les femmes ont une liste aux élections du parlement qui leur garanti au moins 10 % des sièges

76 Dans l’histoire du Maroc, le processus d’émancipation féminine s’est toujours exprimé dans la remise en cause et la réforme du statut personnel et du droit de la famille, et ce dès la fin des années 1940. La trame du conflit autour de la Moudawana (Code de la famille) s’imposera à la vie politique marocaine de l’indépendance jusqu’aux années 2000. Sa récurrence traduit une actualisation amplifiée des enjeux à la faveur de la relative libéralisation politique, de l’émergence d’une société civile