Metaphore Crepuscule Du Matin

Ça m'a fait réfléchir sur la puissance de l'attraction physique et sur la manière dont la beauté peut être une source d'inspiration infinie. Malgré la longueur de ce poème, Charles Baudelaire a su me faire rester captivé jusqu’au bout grâce aux métaphores nombreuses pour parler des cheveux. · Le Vampire : "Le Vampire" de Baudelaire, c'est comme une plongée dans l'obscurité et la séduction interdite. Le poème décrit un être qui se nourrit des âmes de

Dont autrefois les noms par tous étaient cités », sans oublier la passante, « Fugitive beauté » qui suggère autant « la douceur qui fascine » que « le plaisir qui tue »... sans oublier les défilés de personnages anonymes, dans les « Crépuscules » du soir et du matin, catins, malades ou débauchés... On y ajoutera d’autres rencontres qui affichent plus directement leur symbolisme poétique : Le soleil, allégorie de la parole poétique tâchant d’embellir ou de donner vie à ce qu’elle touche, un Cygne

Commentaire« Dans les bois »Le poème « Dans les bois » fait parti du premier recueil de Paul Verlaine, les « Poèmes saturniens » parût en 1866. C’est le mouvement littéraire du symbolisme qui désigne ce poème ainsi que le style de Paul Verlaine. Dans ce poème, Verlaine nous décrit sa vision des bois de manière sinistre et exprime sa peur du lieu. Il rend le paysage vivant et joue sur les sensations. Il affirme ainsi une singularité vis-à-vis des autres.Comment l’auteur décide-t-il de refléter ses

vivants et il utilise le présent pour exprimer ce que fait cette personne. Le poème se présente comme un discours théâtralisé e’un narrateur qui tutoie un destinataire inconnu pour lui dire à la première personne et au futur qu’il va sa maison au petit matin et marcher à travers la campagne pour le rejoindre. Au plus, il utilise le futur pour parler du voyage qu’il va effectuer le lendemain, il y a une impatience pour revoir sa aimée.

Hugo, « Crépuscule » Introduction : Victor Hugo (1802-1885), auteur du dix-neuvième siècle, s’illustre ici dans un poème lyrique intitulé «  Crépuscule », appartenant au mouvement romantique, tiré de son recueil de poésies, Les Contemplations , composé de 158 poèmes et publié en 1856. Ce poème, constitué de sept quatrains d’alexandrins en rimes croisées, évoque un paysage crépusculaire et ambivalent. Le crépuscule est à la fois cette

la brume allonge(ait) la hauteur », et « Un brouillard sale et jaune » qui inonde tout l’espace. Description méth des gdes avenues & leurs artères « canaux étroits du colosse puissant ». Mais l’endroit est perturbé par 7 vieillards identiques -> métaphores pr ce dév qui fait de ttes les rues/construction qqch d’identique, géométrique « son échine Faisant avec sa jambe un parfait angle droit », « quadrupède ». Ne cherche qu’à sélever vers le ciel : « baroque ». Résultat : « hostile à l’univers » ->

J'AVDBOUND AT THE UNIVERSITY OF TOUl IVTn ~ LA COULEUR. LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES Dl VICTOR HUGO METAPHORES Ils DANS L'ŒUVRE LA ET DE LES COMPARAISONS HUGO VICTOR COULEUR LA LUMIÈRE ET L'OMBRE DANS LES MÉTAPHORES DE VICTOR HUGO PAR EDMOND HUGUET : Il R A LA FACULTÉ DES LETTRES DE l'uNIVERSJTE DE CAEN ^^-^ PARIS BRA1RIE HACHETTE 7m. ET boulevard saint-germain, 79 1905 C lff 16 U 19 i AVANT-PROPOS Ce volume, comme le précédent', est fait pour

misérable de la vie rejetée dans les ténèbres séparatrices. Opposé à la lumière bienveillante, le noir avec ennui symbolise le châtiment pour la vie et la misère à subir. Nous pouvons dire que dans Châtiment de l’orgueil l’auteur adopte la métaphore traditionnelle des ténèbres ; pourtant, le poète applique la subversion symbolique pour ajouter de nouvelles dimensions à son univers poétique.Bulletin de l’ATPF, No. 131, année 39 (janvier–juin 2016) 25252525 1 Gérard, A., Vis-à-vis ou le double

pousse à la verticale et donc s’élève comme les âmes au ciel et le corps des pieds à la tête. De même qu’elle est humanisée par le pronom personnel « son » qui lui donne tout son caractère vivant et sacré. A ce pronom personnel « son » s’ajoute une métaphore de la brume qui ne fait qu’accroitre la sacralité du passage. En effet, « son nuage des soirs » fait référence au ciel et donc à Dieu qui est reprit dans le mot « adieu » du vers suivant. Ce vers ci est relié au précédent par la conjonction de coordination

ce qui produit un effet réaliste. De plus, il y a une amplification du procédé descriptif avec un mouvement vertical ''du bas vers le haut'', de profondeur ‘‘vers le fond’’. En ce qui concerne la temporalité, il y a une opposition entre le matin et le crépuscule, ce qui signifie que la vente a été longue. Le réalisme est encore accentué avec l'image des vendeurs fatigués. Puis avec une énumération, celle des tissus, qui montre l'abondance de choix présents. Finalement ces mouvements descriptifs évoquent