Math Sup

Ecole Sup´rieure d’Ing´nieurs de Luminy e e Universit´ de la M´diterran´e e e e Support de cours pour l’apprentissage du langage JAVA ESIL - GBM 2 Claudine Chaouiya 2003/2004 chaouiya@esil.univ-mrs.fr http ://www.esil.univ-mrs.fr/˜chaouiya Chapitre 1 Introduction Java est un langage de programmation orient´ objets adapt´ ` la distribution e e a d’aplications sur Internet et qui s’int`gre au Web. Nous verrons avant tout les e diff´rentes approches de programmation. e Avant d’´crire un programme

inobservable . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.2 Etat Conclusion Avertissement Ce texte n’est qu’un rapide r´ sum´ d’une partie tr` s (trop ?) technique du cours e e e ´ “Economie des contrats”. ` Il ne sert a rien d’apprendre par cœur des formules math´ matiques ; en ree vanche, ce document sera utile, on l’esp` re du moins, pour ceux qui voudront ese sayer de rentrer quelque peu dans ce difficile sujet, ou de retrouver pr´ cis´ ment ce e e qu’ils n’auraient pas eu le temps de noter en entier. c Jean

e e e les liens entre les comptabilit´s priv´e et nationale, qui e e sont d´sormais int´gr´es (1976). Cet abr´g´ s’adresse e e e e e en tout premier lieu aux ´tudiants en premier cycle de e sciences ´conomiques, sociales, AES, et aux techniciens e sup´rieurs. Les candidats bacheliers (ES et STT) y troue veront des ´l´ments utiles d’illustrations quantitatives ee des th´ories de leur cours d’´conomie. e e R.B. 1 - Dispens´ entre 1995 et 1996, en Travaux Dirig´s de Comptabilit´ Nationale en e e

sélectivité et d’un taux de désistement aussi faible. Rentrer à l’ENAC, c’est donc plus balèze qu’à Normale Sup’ ? Faux. Archi-faux. (Ouf, pendant 2 secondes on a bien cru que c’était cuit ☺). La grosse sélectivité illustre uniquement un nombre élevé de candidats dû à des barrières d’entrée plutôt faiblardes (seul le bac est nécessaire, les épreuves écrites sont assez faciles, beaucoup de sup tentent « pour voir »…). Il en résulte que beaucoup de candidats ont une motivation plutôt légère et une préparation

recherche du LMENS, 1995 Martin-Deschamps M., Perrin D. Le schéma de Hilbert des courbes localement Cohen-Macaulay n’est (presque) jamais réduit, Ann. scient. Ec. Norm Sup., 4ème série, t. 29, 1996. p. 757-785. Perrin D., Un pas vers la connexité du schéma de Hilbert : les courbes de Koszul sont dans la composante des extré- males, Collect. Math 52, 3 (2001), 295-319

1 I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque D´epartement G´enie Thermique et ´energie COURS DE THERMODYNAMIQUE 4e semestre Olivier PERROT 2009-2010 Table des mati` eres 1 Math´ ematiques pour la thermodynamique 1.1 D´eriv´ees partielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Diff´erentielles totales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Relations liant les d´eriv´ees partielles . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Relation liant les coefficients thermo´elastiques

la e e e couverture des actifs financiers font l’objet des cours de finance 1 et 2. Voici une ´bauche du plan que nous allons suivre e 1. M´tiers de la banque et organnisation des march´s financiers (un peu e e de blah blah) 2. Notions ´l´mentaires de math´matiques actuarielles (interets simples ee e et compos´s, actualisation et capitalisation, courbes des taux etc...) e 3. Futures et forwards 4. Options de vente et d’achat. 1.1 Des m´tiers de la finance et de l’organnisation e des march´s e

n'est capable. Il y a des choses que je ne sais pas faire, que vous ne savez pas faire, mais que nous savons faire. Parce que nous appartenons � une collectivit� qui, � cause du fait qu'elle est plus riche que chacun d'entre nous, a des performances sup�rieures. Parmi ces performances, il y a la prise de conscience�; si je dis ��moi, Albert Jacquard��, �a n'est pas du tout parce que mes g�nes me l'ont appris, c'est parce que d'autres me l'ont dit. Je dis je parce qu'on m'a dit tu�; c'est la rencontre

monopolise le pouvoir politique (les dirigeants en sont issus, elle fait pression sur le pouvoir politique par les lobbies). o Elle dispose du pouvoir culturel (elle est d�tentrice du savoir et b�n�ficie en premier lieu de l’enseignement sup�rieur : la r�elle d�mocratisation de l’acc�s des classes populaires au savoir date d’apr�s la Deuxi�me Guerre Mondiale). o Elle dispose du pouvoir moral : ses valeurs sont pos�es comme normes sociales. . La condition sociale de la bourgeoisie

d'écoles normales qui permettait aux filles de devenir institutrice. Parrallement à cette croissance des effectifs : école normales sup visent à former ces ens de l'école normale départementale. Ces cours vont être assurés par des pers formées dans les écoles normales sup (ENS). Ac c écoles normale sup, c l'apparition de normaliens et normaliennes (formés dans c écoles normales sup) cad qu'ils appartiennent à l'élite de l'ens secondaire. Pr eux l'école de la rep s'investie. Il y a des batîments construits