March Et Simon Les Organisations

caractérise l’action de prendre la décision : « la prise de décision ». Dès lors que la décision est prise cela engage directement l’exécution de celle-ci. « La prise et l'exécution des décisions sont les buts fondamentaux de toute organisation, de tout management. Toute organisation dépend, structurellement, de la nature des décisions qui sont prises en son sein et non par des décideurs, qu'ils soient individuels ou collectifs… » Le Moigne. Le Moigne évoque l’importance de la décision au sein de l’organisation

Partie 1 ‐  L’entreprise : centre de  décisions  Chapitre 1 : La théorie de la décision de Simon Simon : Professeur de science politique dans les années 50. Il à travaillé sur des questions d’administration, de psychologie et il a participé à des activités de conseil auprès de nombreuses entreprises. Il a publié en 1947 « Administrative Behaviour ». Il reçoit le prix Nobel d’économie en 1978. Il expose dans son ouvrage sa théorie de la décision. Il l’a construite en appliquant les concepts

de décision V - Le processus de décision La décision individuelle La prise de décision collective Une organisation est « une entité coordonnant des activités et développant des procédures pour atteindre des buts spécifiques ». Les buts d'une organisation peuvent être économiques (pour les entreprises), sociaux (pour les syndicats), politiques (pour les partis) etc. Pour une organisation, la coordination désigne essentiellement un agencement concret des ressources ou un mode pratique d'affectation

et satisfait au mieux le marché par les effets induits de la concurrence ; - l’entrepreneur, celui qui prend les risques, est toutefois menacé par la bureaucratie de la grande entreprise. Celle-ci, en éliminant l’entrepreneur éteint toute source d’innovation et de croissance. Dès lors, le capitalisme est, selon lui, amené à disparaître. Auteur Auteur Ouvrage de référence Lien avec le référentiel Henry Mintzberg (1939) «Le management, voyage au centre des organisations », 2ème édition 2004 Thème

Professions Financières, Economiques et de Gestion – S2 Management Général Les écoles de pensée du MANAGEMENT « La raison d'être d'une organisation est de permettre à des gens ordinaires de faire des choses extraordinaires » Zakaria FILALI Iliasse BOUSEFARJEL Mouad DAOUDI * Introduction. * Parti I: L'école Classique. * Présentation de l’école classique. * Les différentes théories de l’école classique en management : Section 1: Le

MELESE…………………………………………………………………………17 C – Synthèse de MINTZBERG…………………………………………………………...…18 VI - APPROCHE SOCIOLOGIQUE…………………………………………………..…19 A – CROZIER et Fridberg……………………………………………………………………19 B – J.D. REYNAUD………………………………………………………………………….20 C – Herbert SIMON…………………………………………………………………………..20 E – MARCH et CYERT……………………………………………………………………....21 VII – APPROCHES RECENTES…………………………………………………………22 A- La théorie de cout de transaction ( Williamson)……….………………………………....22 B - La théorie de l’agence (Jenson et Meckling)……………………………………………

comportement se définissent au sein d’une organisation l’acteur évolue par lui-même et non pas par la rationalité que celle-ci impose. On constate donc un écart entre la théorie et la réalité, c'est-à-dire d’un coté on retrouve une rationalité surévaluée de l’administration, et d’un autre, la complexité des comportements humains, lesquels sont toujours contingents du besoin de liberté. Par conséquent, on observe des dysfonctionnements au sein d’une organisation dont les individus sont à l’origine

technique et satisfait au mieux le marché par les effets induits de la concurrence ; - l’entrepreneur, celui qui prend les risques, est toutefois menacé par la bureaucratie de la grande entreprise. Celle-ci, en éliminant l’entrepreneur éteint toute source d’innovation et de croissance. Dès lors, le capitalisme est, selon lui, amené à disparaître. Auteur  Henry Mintzberg (1939) Ouvrage de référence  «Le management, voyage au centre des organisations », 2ème édition 2004 Lien avec

stimule le progrs technique et satisfait au mieux le march par les effets induits de la concurrence - lentrepreneur, celui qui prend les risques, est toutefois menac par la bureaucratie de la grande entreprise. Celle-ci, en liminant lentrepreneur teint toute source dinnovation et de croissance. Ds lors, le capitalisme est, selon lui, amen disparatre. Auteur Henry Mintzberg (1939) Ouvrage de rfrence Le management, voyage au centre des organisations, 2me dition 2004 Lien avec le rfrentielThme 1.2 Finaliser

monopole avec frange ß Exigence de valorisation => diversification des modes de mise en marché ß Exigence d’articulation contenants/contenus =>développements en cascade À la fois cause et conséquence…. … des formes spécifiques d’intervention publique ? Interrogation et structure • Raisons • Modalités • Enjeux de l’intervention publique dans le secteur des industries culturelles Organisation générale de la présentation politiques culturelles LE POLITIQUE (Problèmes de légitimité