Machiavel Et La Democratie

recherche du meilleur ordre politique. Après les grecques et suite à l’apparition des doctrines positivistes liés à la rationalité mais surtout une concurrence féroce de l’historicisme et notamment la focalisation sur des études sur l’Etat moderne et la démocratie, il est légitime de poser la question sur la place de la philosophie politique dans notre monde d’aujourd’hui. Dés lors notre synthèse sera traitée en deux parties : I. Les conditions de possibilités de la philosophie politique. II. Les

possible de chaque État en particulier. Ce chapitre est à certains égards en rupture de tonalité avec les précédents. Il s’agissait jusqu’à présent de décrire l’État tel qu’il est, en partant de la « vérité effective de la chose », comme aurait dit Machiavel. Maintenant, il s’agit de définir ce que pourrait être le meilleur État, un État dont les lois seraient fondées sur la droite raison et qui pourtant ne serait pas une utopie ; ce sera l’objet exact des chapitres VI à XI dont précisément ce chapitre

mais aussi et surtout au nom de la société. On peut définir l’Etat comme étant la personne morale de droit public titulaire de la souveraineté nationale : il est ensemble des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire. Au XVIème siècle, Nicolas Machiavel, théoricien politique, définit l’Etat comme la structure juridique d’une communauté. A cette époque l’Etat est déjà considéré comme étant une entité abstraite, il est un tout supérieur aux hommes, ne pouvant donc se limiter à un ou quelques gouvernants

inscrire dans ce travail. Cependant, d’où émane notre intérêt pour cette préoccupation fondamentale ? Constat : Nous sommes bien conscients d’une pluralité de régimes politiques, mais seul celui de la « démocratie » semble de nos jours avoir pris le dessus sur les autres. En effet, la démocratie en tant que régime politique n’a jamais cessé d’être chanté sur tous les toits, dans nos sociétés ou encore mieux dans nos différents pays. Elle sous-entend « le respect de la liberté et l’égalité des citoyens »

général. Le 20ème siècle fut court, et rythme le monde sur deux cadences. Il englobe 3 guerres mondiales qui sont la première Guerre Mondiale, la seconde Guerre Mondiale et la Guerre Froide. Le 20ème siècle est le siècle de la guerre de la démocratie sur les autres régimes comme le totalitarisme et le soviétisme. C’est aussi le siècle de la technologie et de la propagande, mais aussi celui de la mondialisation (internet= mondialisation économique). Aujourd’hui, on peut différencier globalisation

prédominant pour accéder au pouvoir, dans le temps, des nouvelles idées ont émergé et ont dominé la pensée politique et la perception de la meilleure forme de gouvernement, pour Luther à la Renaissance il s’agit de garantir la liberté religieuse, pour Machiavel c’est la condition de durée d’un pouvoir et au XVIIe Siècle c’est la question de la légitimité du pouvoir qui passe au premier plan. Platon disciple de Socrate a pu réaliser une analyse historique des faits de la cité, il a remarqué que la société

« grande » peut aujourd’hui sombrer dans l’oubli et, si le mouvement continue sur sa lancée, doit même nécessairement sombrer dans l’oubli. Ce qui n’est précisément pas fait pour apaiser notre inquiétude, car force est bien de constater que, dans les démocraties de masse, en l’absence de toute terreur, et pour ainsi dire de manière spontanée, se manifeste une impuissance similaire des hommes, tandis que prend également place un retournement tout aussi durable du processus de consommation et d’oubli quand

Les anciens ont inventé la politique (à Athènes) et la démocratie directe, la République. Ils ont inventé l’isonomie : l’égalité de tous devant la loi. Pour Leo-Strauss : les anciens vivent dans le lieu de la nature (cyclique) les Modernes dans l’Histoire (qui avance). Question de la liberté : Anciens  la liberté doit être au service de la cité. Modernes  la faculté mais pas l’obligation et on ajoute la représentation (délégation du pouvoir). Attention à ne pas être manipulé par le personnel

: la meme chose, utiliser les bons mots, prendre en compte toutes les possibilites droit ensemble de distinction quil faut utiliser a bonne essien cela permet davoir le bon raisonnement politique OUVRAGE DE M. LAUVAUX - LES GRANDES DEMOCRATIES CONTEMPORAINES M.ZOELLER - INTRO AU DROIT PUBLIC - DALLOZ DICO DROIT CONSTIT DE M. DE VILLIERS ET M. LEDITVELLEC DEBUT DU COURS : droit politique, droit qui a une dimension politique notion de souverainente

opposés Des institutions stable, efficace et qui ce fait obéir = droit constitutionnel C) L'importance du droit constitutionnel A la fois politique et juridique, elle est d'abord politique, D’après Machiavel l'homme doit chercher ce qui est efficace, Le droit constitutionnel est un anti-Machiavel En Octobre 1974, Valérie Giscard d’Estaing, veut donner d'avantage de pouvoir à l'opposition. La saisie du conseil constitutionnel ce sont multiplié, quand le droit est entré dans l'opposition avec