Loi De Say Critique

écriture et oeuvre 2- - LA DYNAMIQUE GRANDIOSE. - 3- LA THÉORIE DE LA VALEUR. - 4- LE COMMERCE EXTÉRIEUR. - 5- IMPÔT ET EMPRUNT. - 6 - LA MONNAIE. - 7 - LA PRISE EN COMPTE DU SOCIAL. - 8 - RICARDO et les autres ( Smith, Say, Malthus). II: Piero Sraffa. 1- Généralités 2- La construction de l'étalon, 3- L'équivalence entre étalonnage et relation salaire- profit --------------------------------------------------------------------------------

s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le néo-classique. On a vu cependant apparaître des critiques avec par exemple deux célèbres contestataires : Karl Marx et John Raymond Keynes On a donc eu souvent des ruptures évidentes dans la théorie économique mais cela a permis la progression de la pensée  synthèse entre les différentes époque = notre

pop augmente de façon exponentielle tandis que les ressources croissent de façon arithmétiques. Il conclut donc qu’une catastrophe démographique est à venir à moins d’empêcher la pop de croitre. Il prône aussi toute aide aux nécessiteux. Il critique la loi de Say : l’offre ne créé pas forcement la demande, à cause du fait que les produits ne s’échangent pas contre des produits mais bcp comme du travail ne se traduisant pas comme un bien matériel et de l’épargne.Un recul de la demande est possible avant

regroupe des économistes du XVIIIe siècle et du XIXe siècle. Ses membres les plus importants sont, en Grande-Bretagne, Adam Smith (1723-1790), David Ricardo (1772-1823), Thomas Malthus (1766-1834), John Stuart Mill (1806-1873), et en France, Jean-Baptiste Say (1767-1832) et Frédéric Bastiat (1801-1850). Le terme a été employé pour la première fois par Marx dans Le Capital[1]. Il est impossible de fixer à cette école de pensée des contours précis, que ce soit en termes de dates, d’auteurs ou de thèses

(analyse qui sépare l’économie réelle de la sphère monétaire), cette analyse dichotomique qui est un des fondements de l’économie orthodoxe sera reprise au début du 19ème siècle par un certain nombre d’économiste classique par exemple par Jean Baptiste Say qui considère que la monnaie n’est jamais détenue pour elle-même mais qu’elle ne sert qu’à facilité les échanges. 2. les crises frumentaires d’ancien régime. On considère dans les sociétés traditionnelles que ces crises sont des fatalités

des besoins et la rareté des biens 2 2. Définition 3 B. Les principaux courants de la pensée économique 3 1. Les préceptes classiques et néo-classiques 4 2. La pensée marxiste 7 3. La pensée keynésienne 9 a) La critique des libéraux Page 1 sur 9 9 lundi 27 octobre 2014 Chapitre 1 : Les fondements de l’activité économique I. L’économie et son domaine A. Qu’est ce que l’économie 1. La relativité des besoins et la rareté des biens Un besoin est un

possible de chez lui donc développement économique nationale. Les capitaux s’orientent spontanément vars les secteurs à forte valeur ajoutée. « Il est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions ». Donc critique du protectionnisme et apologie du libre-échange. b. La valeur du travail La valeur du travail est invariante : « Des quantités égales de travail doivent être, dans tous les temps et dans tous les lieux, d'une valeur égale pour le travailleur

étrangers encouragement au commerce extérieur politique de manufactures royales. colonisation débute à cette époque limites contradictions, par exemple dans l’analyse monétaire, l’abondance monétaire Les physiocrates  définir par leur critique des mercantilistes contre la politique de Colbert Angleterre, il y a une révolution agricole, en France les famines se multiplient . François Quesnay contribuer à l’encyclopédie de Diderot et d’Alembert quelle politique éco pour accroitre la

alors que Keynes attribue ce rôle à la loi des débouchés. Des frontières incertaines Une telle diversité de définitions ne contribue pas à clarifier la question des contours de l'économie classique, ni celle de la place qu'elle occupe dans l'histoire de la pensée économique. Quelques exemples permettent d'illustrer le premier problème : figure emblématique de l'école classique au sens de Keynes pour son rôle de découvreur de la loi des débouchés, Say est rejeté par Marx dans les ténèbres

 Année universitaire : 2013 /2014 I – les grands courants de la pensée économique  1- Courant classique  A. Adam Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique