Loi De Walras Ft Loi De Say

Combinaison de loi de Walras et de la loi de Say. Théorie quantitative de la monnaie est-elle compatible avec la combinaison loi de Walras et loi de Say ? Le paradoxe de Patinkin : Partons de la contrainte budgétaire d’un agent j, parmi les h agents existants, évoluant sur n marchés :∑_(i=1)^n▒〖 pi.Eij+m_j^d- (m_j ) ̃ =0〗 La combinaison de la loi de Walras et de la loi de Say :∑_(i=1)^n▒〖p_i ∑_(j=1)^h▒〖E_ij (p) 〗〗 + ∑_(j=1)^h▒〖m_j^d (p)〗 = ∑_(j=1)^h▒〖(m_j ) ̃ = M〗 (m_j^d la demande

avec leur quantité. Dans son enquête sur la chute du change (1558), il montre que la valeur relative des métaux précieux ne vient pas d’une convention mais de leur rareté. En découle le principe que la « mauvaise monnaie chasse la bonne » ou loi de Gresham. Loi de Gresham : les agents économiques sont enclins à thésauriser la monnaie qui a le plus de valeurs et à utiliser celle qui en a le moins. Dans la pratique, les contemporains du 16-17ème siècle cherchent à régler leurs achats et leurs impôts

lui, une mauvaise répartition du capital et une insuffisante division du travail ; de même, les incitations aux exportations entraînent une structure économique moins efficace que celle qui aurait résulté du libre jeu des phénomènes naturels.Selon la loi des avantages absolus, chaque économie a intérêt à se spécialiser là où elle dispose d'un avantage supérieur à celui des autres économies.Il est un libéral très hostile à l’intervention de l’Etat dans le domaine économique, sauf dans certains domaines

ces lois. Les deux apports de Malthus :  - Grande influence sur les économistes au 19ème siècle : la quasi majorité des économistes accepteront les thèses de Malthus à propos des pauvres (Say, Ricardo, John Stuart Mill,…). Le seul un peu critique sera Marx. - Malthus montre : o L’importance de la loi des rendements décroissants : dans l’analyse économique. o Que les conclusions de Smith sur l’avenir du capitalisme : doivent être relativisées.  Ricardo va reprendre ces deux idées. SECTION

o L’absence de hausse des salaires : Les ouvriers n’augmentent pas leur conso ( stagnat° de la Dde : Les E baissent leur It. II) La propagat° de la crise dans le monde A. La propagat° de la crise américaine Dbt 20e s., Bq américaines ft des prêts en Europe, par la politique de crédits fondés sur tx d’i. faibles. Après le krach les Bq américaines demandent le remboursement ms les Bq europ. ne pvt pas car elles ont elles-mm prêté l’argent. Commence alors la crise bancaire en Europe.

pouvoir produire un surplus. Question de la demande est posé. Il faut avoir de l’épargne des moyens et de l’invt pour les classiques. Malthus : répartition soir assez favorable aux salaires pour qu’il y ai un pouvoir d’achat sup. 14 J.B Say et la loi des débouchés Le pt de départ de l’analyse de keynes. Il fait le pt de basculement entre les classiques et les néo classique en parlant de valeur d’usage. C’est pas le travail qui fonde la valeur, mais vient de son utilité. La valeur des

servi de référence : le temps, les grains d'orge, le bétail… A. L'analyse logique de l'unité de compte chez Walras Economiste français (modèle d'équilibre général qui s'inscrit ds la CPP) Walras dans son Traité d'économie pure construit une théorie de l'échange des biens. n biens en échange bilatéraux ∁ = 2! ! −2 −1 = • 1B = 3A 3 / = 1 • C=6A / = 6 / = =3× 1 1 = 6 2 Walras fait intervenir la théorie de l'arbitrage à partir de l'échange. B. L'unité de compte est-elle un étalon de valeur

fallait donnée lors des échanges). 800 av JC Lingots comptée en pièce Puis après monnaie frappée, avec une inscription indiquant le poids de la pièce. En fce on avait un régime bimétalliste or/argent. Mais ça posait qqes pbs cme l’explique la loi de Gresham : la mauvaise monnaie circule et chasse la bonne. Avant, Lorsque px de l’argent s’élève au dessus de l’or, les personnes thésaurisent l’argent et règlent en or. Après 1870 on ne garde plus cme référence que l’or. Système de l’étalon-or

définitions de synthèse 1) Définition d’E. Malinvaud 2) Définition de P. Samuelson a) Que produire ? a1) La notion de besoin a2) La notion de bien b) Comment produire ? b1) Quelles ressources doit-on employer ? b2)Quelles techniques doit-on choisir ? b3) La loi de la rareté et des choix c) Pour qui produire ? c1) La distribution des biens et services c2) La répartition du revenu CHAPITRE 2 – LA METHODE SCIENTIFIQUE Section 1 – Les étapes de la méthode de la science économique 1) Les variables 2) Les hypothèses

définitions de synthèse 1) Définition d’E. Malinvaud 2) Définition de P. Samuelson a) Que produire ? a1) La notion de besoin a2) La notion de bien b) Comment produire ? b1) Quelles ressources doit-on employer ? b2)Quelles techniques doit-on choisir ? b3) La loi de la rareté et des choix c) Pour qui produire ? c1) La distribution des biens et services c2) La répartition du revenu CHAPITRE 2 – LA METHODE SCIENTIFIQUE Section 1 – Les étapes de la méthode de la science économique 1) Les variables 2) Les hypothèses