Loi De Say Critique


perd le sens du travail : c'est l'aliénation. POSITION DE L'AUTEUR * Dans la négociation, les maîtres ont presque toujours l'avantage sur les 
ouvriers car ils peuvent s'entendre pour faire baisser les salaires sans 
tomber sous le coup de la loi : c'est "la coalition des maîtres" * Il faut laisser circuler librement les marchandises 4 & favoriser le marché. * Partisan de la régulation marchande dont la "Main Invisible" (chacun, en 
cherchant son propre intérêt, concourt à l'intérêt

des enfants. Sur la fresque on peut lire « stop abusing children », « say no to children abuses », « keep children out of jail. ». Ces notes incitent une réflexion sur la situation actuelle des enfants et mettent en évidence les abus qu'ils subissent, notamment sexuels. Un dessin d'un policier montre que cela devrait être interdit par la loi. C'est une dénonciation, un appel au secours. 1.3 Le troisième document est une critique du film « La Petite » réalisé par Louis Malle, parue dans Télérama

est de faire du poète grec Hésiode VIII ème siècle avant JC, le premier auteur à avoir parler d'économie. Le terme en revanche a été inventé par Xénophon au Vème siècle avant JC, ce dernier définit l'économie comme l'art de bien gérer (« nomos » = loi, gestion), l'art de bien gérer le foyer, la maison (« oikos »). A l'origine, l'économie (oikonomia) est donc une réflexion sur l'art de gérer les revenues au sein de la famille. (idée d'économie domestique) L'économie concerne donc la sphère privée

prolétariat) : c’est à partir de cette base que s’organise ce système. Alors que Weber, c’est la religion qui définit le capitalisme, il ne faut pas partir de l’infrastructure (base économique) économique mais de la superstructure (institutions) Critiques de la thèse : W.Sombart : ce n’est pas le protestantisme mais le judaïsme qui a pu entraîner le développement du capitalisme : textes anciens (la torah) ne condamnent pas le prêt à intérêt et les activités bancaires entres juifs et les autres

mercantilistes (du XVIe au XVIIIe siècle). Les physiocrates (à partir du XVIIIe siècle). L'école classique anglaise au début du XIXe siècle avec Adam Smith, David Ricardo, T. R Malthus, John Stuart Mill. L'école classique française avec Jean-Baptiste Say. A. Les mercantilistes et les physiocrates du XVIe au XVIIIe siècle les mercantilistes nous ont présenté une vision un peu simpliste de l'économie. Ils étaient en général les conseillers des princes et des rois. Pour les mercantilistes, la puissance

garantir la propriété privée. 2ème période De 1850 à la crise de 1929, c’est une période de libéralisme organisé. On voit apparaître des agents économiques à répétition (cycliques) demandant une nouvelle forme d’intervention étatique. • Loi de 1867, pour les s.a. ( au lieu que l’entreprise soit la propriété d’un individu, elle sera la propriété de plusieurs actionnaires responsables des actions qu’ils possèdent. • Il y a le Taylorisme ( Division scientifique du travail. On va diviser

aura une influence importante sur le développement du libéralisme économique. Cette école physiocratique annonce l’école classique anglaise. II) Le courant fondateur : L’économie classique Les auteurs les plus connus : A. Smith (1723-1790), J. B. Say (1767-1832), R. Malthus (1766-1834), D. Ricardo 51772-1823). L’école classique anglaise débute avec les travaux d’A. Smith. Cette école est considérée comme fondatrice de la science économique. Elle rassemble les auteurs contemporains de la 1ère Révolution

maison et nomos, l’ordre). Le philosophe distingue deux économies : - l’économie naturelle qui vise à satisfaire les besoins domestiques, du foyer ; - et la chrématistique définie comme l’art de s’enrichir, fortement critiquée par Aristote. Cette critique de ceux qui s’enrichissent le conduira à condamner le prêt à intérêt. L’économie au Moyen-âge en Europe est dominée par la religion catholique. Saint Thomas d’Aquin (1226-1274) dans sa Somme théologique (1266-1273) présente ses principes économiques

l’approche « traditionnelle ». Tout d’abord, contrairement à Say, Keynes affirme l’importance de ne pas regarder l’offre, mais bien la demande. « La consommation - ne craignons pas de répéter cette vérité évidente - est la seule fin et l'unique objet de toute l'activité économique. »[11] Malthus le précédait déjà avec sa théorie de la demande par laquelle il affirme que « l’offre ne crée pas forcément la demande », que la loi des débouchés de Say est fausse et que par conséquent « le capitalisme peut donc

foisonnante       L'oeuvre de Keynes L'économie rêvée des " classiques " Le chômage involontaire       L'offre de travail dans l'analyse keynésienne       L'inefficacité d'une baisse des salaires nominaux Une économie de la demande       La critique de la loi de Say       La production effective       Le multiplicateur d'investissement Le modèle complet       Le marché des biens et services       Le marché de la monnaie       Le marché des titres       Le modèle keynésien La politique économique