Limitation Du Mandat Présidentiel

C'est en 1962 que l'élection du président de la république au suffrage universel direct est introduit et a partir de 1965 qu'il est utilisé. Le septennat a décalé les élections présidentielles et législatives. En effet, le président était élue pour 7 ans alors que les députes sont élus pour 5 ans. Les deux mandats sont donc décalés de 2ans ce qui pose problème au renouvellement des députes. En effet, a ce moment la , le président est déjà élu et il se peut que les députes élus soient de la majorité

pouvoir politique. Comme la Constitution, norme suprême, doit pour rester démocratique être le fruit du pouvoir souverain et suprême, ce pouvoir constituant est originaire car il vient fonder un nouvel ordre juridique et absolu car il n’existe aucune limitation quant au fond, à la procédure ou aux modalités d’exercice. Il élabore donc la constitution comme il veut puisqu’il n’en existe pas ou plus. En revanche, lors d'une simple révision, le pouvoir constituant est dérivé car il trouve sa source dans

L’ancien président des Etats-Unis A. Lincoln a conclu un débat en disant « 8 oui, 1 non, le non l’emporte». Ainsi, cette phrase montre l’importance du président dans la politique américaine. Le régime présidentiel d’inspiration anglaise apparait aux USA vers la fin du XVIIIe. Dans ce régime dont Barack Obama est actuellement a la tete, le président de la république dispose de prérogatives extrêmement importantes. En ce sens, le président est le symbole d’une unité nationale, chef des forces armées

Michel Debré et installe la Vè République toujours en place de nos jours. Nous étudierons la Vè République entre institutions et vie politique. Dans un premier temps nous analyserons la théorie politique, puis dans un second temps une lecture présidentielle de la Constitution, enfin une lecture plus parlementaire de la constitution. Ainsi, le général de Gaulle souhaite créer une République disposant d’un exécutif fort et d’un législatif plus faible. De telle sorte que la nouvelle constitution

Gaulle aura pu faire intégrer l’essentiel de ses conceptions sur le Rolle du chef de l’Etat, et quand à Michel Debré, lui aura réussi de même pour le parlementarisme rationnalisé. Dans son article 5 définit pour la première fois la fonction présidentielle. En effet celui-ci dispose que « Le président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’Etat. Il est le garant de l’indépendance

général prévoit des limitations au pouvoir de révision. Ces limitations sont de deux ordres, des limitations sur le champ temporel et des limitations sur le champs matériel. Sur le plan temporel , c'est à dire que parfois on va limité les possibilité de révision de constitution en fonction des périodes donné. On interdit des révisions de constitution dans certaine période, exemple en cas de guerre, avant des élections pendant l'intérim du président de la République. Toutes ces limitations ont pur but d'éviter

Le président de la République en 2012 est-il le même qu’en 1958 ? « Monarque républicain », « hyper-président », « super premier-ministre » , les qualificatifs n’ont jamais manqué pour tenter de cerner la nature de la fonction présidentielle sous la Cinquième République . Nous sommes, en effet, passé d’un président qui « inaugure les chrysanthèmes » sous la 3ème République, à un président aux pouvoirs quasi-symboliques sous la Quatrième à finalement un président à la manœuvre et aux pouvoirs considérablement

1964 : « Sans doute, d’autres circonstances et d’autres hommes donneront-ils plus tard à son application un tour, un style, plus ou moins différent ». Même si le père fondateur de la Vème république avait une certaine conception de la fonction présidentielle, il prévoyait donc une évolution possible du rôle et des fonctions du président selon sa personnalité, sa popularité, ou la conjoncture politique. Cela amène à s’intéresser sur ce qu’est et a été le président de la République sous la Vème République

le pouvoir, le Président Félix Houphouët BOIGNY lui avait confié : « moi, je n'aime pas ces histoires d'ancien Président » ([1]). Le Président Houphouët BOIGNY n'avait peut-être pas tort dans un environnement politique où « les devenirs post-présidentiels » étaient incertains ([2]). Pour illustrer cette situation, dans son étude consacrée à la question, Sandrine PERROT montre que souvent les anciens Présidents sont « mis hors circuits » par des exécutions, des mises en détention, des exils. Elle

dans une période de concordance (président de la république et 1er ministre du même bord) ou en période de cohabitation (président de la république et 1er ministre différents). En période de concordance, notre régime à des allures de « régime présidentiel » comme aujourd’hui, et en période de cohabitation notre régime à des allures de « régime parlementaire ». La constitution de 1958 malgré les critiques est aujourd’hui toujours en vigueur et c’est justement ce caractère hybride, mixte de notre