Leçons Pronoms Personnels

décision, l’épouser. Afin de mener à bien sa tirade, Pyrrhus va structurer ses arguments grâce à des pronoms personnels montrant bien le rapport dominant-dominé. Il commence, en premier lieu, à l’appeler ‘Madame’ quatre fois, ce qui témoigne d’un certain respect que celui-ci éprouve envers elle mais aussi ce qui lui permet de lui prouver son amour. Celui-ci utilise, en second lieu, le pronom personnel ‘je’. Il fait une anaphore en plaçant celui-ci à plusieurs reprises en début de phrase. Cette répétition

a la particularité de raconter une histoire par l’intermédiaire d’un narrateur. L’énonciation de ce début de roman est inattendue car nous avons l’impression que le narrateur s’adresse directement au lecteur en employant à plusieurs reprises le pronom « vous » et le possessif « votre » dans le texte (exemples : « Quand vous entrez dans une maison de jeu… », «vous êtes au jeu, vous, votre fortune, votre coiffe… »). Nous avons l’impression aussi que le narrateur demande une information ou une validation

ainsi que le pronom personnel « on » qui désigne n’importe qui, ce qui a pour effet de concerner toute personne lisant ce texte.. Il utilise aussi un présent omni temporel dans le deuxième paragraphe « tu te tiens » l.3, « tu vois » l.6 souvent avec l’utilisation du pronom personnel de la deuxième personne du singulier « tu ». Nous pouvons aussi voir le pronom personnel « toi », « toi qui voyages » « toi qui conduis » l.9 « les choses se précipitent sur toi » l.10. Ces pronoms personnels font du lecteur

extrême ») Un discours convaincant A. Un discours agrumentatif organisé Un récit bien construit ( thèse – arguments – exemples ) Il veut que tout le monde soit concerné par ce qu'il dit (utilisation du pronom personnel « on » → pronom indéfini pour généraliser) Il utilise de longues phrases → bonne défense B. Dom Juan ne s'incrimine jamais C'est la faute de la femme (« toutes les belles ont le droit de nous charmer », « des charmes

l'imparfait « était ». Son-Sont: -Son est un adjectif possessif et peut se remplacer par le pluriel « ses ». -Sont est le verbe « être » et peut se remplacer par l'imparfait « étaient ». ON-ONT: -On peut se remplacer par « l'homme », c'est un pronom indéfini, masculin, singulier, sujet du verbe -Ont est le verbe « avoir » et peut se remplacer par l'imparfait « avaient ». A-à: à, accentué, est une préposition, mot invariable. A, sans accent, est le verbe « avoir » et peut se remplacer par

dans L'Éducation Sentimentale (l.1) nous démontre bien que nous sommes dans un récit au présent tel que dans le premier extrait de COHEN ; une des marques du discours direct. Ce dernier peut également se manifester dans un texte, à l'aide du pronom personnel « je », qui devient alors un monologue, intérieur dans le premier extrait de Belle du Seigneur ainsi que dans celui d'ARAGON, où un passage est entièrement rédigé par lui même et où le destinataire n'est autre que lui. Le terme interrogatif

quotidien est l’occasion de révéler des caractères plutôt que des identités. En effet, dans cet extrait de Tropismes l’identité des personnages reste très floue. Par exemple, ils ne portent ni nom, ni prénom et sont seulement désignés par les pronoms personnels « elles » ou encore « on ».On peut par exemple relever à la ligne 8 « il y avait autour d’elles » et « on leur avait dit » à la ligne 26.L’unique information que l’on possède sur l’identité de ces personnages concerne leur sexe : ce sont toutes

lexical de la tromperie, de la dissimulation : c'est l'image traditionnelle du valet fourbe, retors. 3. Les ripostes de Figaro elles aussi prennent de l'ampleur et visent, à travers le comte, toute le noblesse. On révèle l'opposition entre le pronom personnel " je " et les " seigneurs " qui exprime une catégorie indistincte : Figaro exprime ici sa supériorité morale par rapport aux nobles. Il remet en cause la considération due aux biens nés (nobles de naissance). 4. Ce passage propose enfin

interprétation par la présence étonnante du pronom indéfini « on » qui remplace le pronom personnel singulier, symbole de la personnalité affirmée ‘‘je’’. Des Grieux écrit ceci : « lorsqu’on se trouve la nuit dans une campagne écartée : on se croit transporté dans un nouvel ordre de choses ; on y est saisi d’une horreur secrète, dont on ne se remet qu’après avoir considéré longtemps tous les environs. » (p.124-125). Nous pourrions tout d’abord croire que, le pronom ‘‘je’’ est banni pour mettre en valeur

Quelles caractéristiques permettent d'identifier ce texte comme étant un poème? Il est rédigé en vers 2/ Relevez les anaphores qui rythment le poème. A quoi se réfèrent-elles? La voix , elle Elles se réfèrent à la voix 3/ Relevez les pronoms personnels sujets et complèments dans l'ensemble du poème. Qui désignent-ils ? « elle » (ligne 2) désigne la voix « nous » ( ligne 4) désigne les lecteurs « je » (ligne 9) désigne l'auteur « vous » (ligne 12) c'est l'auteur qui parle aux lecteurs