Leçons Pronoms Personnels

on constate la présence des lignes 13 à 45 d’un récit indirect. L’émetteur du ce récit n’est autre que Manon (l.14) « elle », qui essaye de faire pardonner sa trahison amoureuse au près du destinataire : le chevalier des Grieux (emploie du pronom personnel « je »). De plus on constate que ce récit est écrit à plusieurs temps : à l’imparfait (l.20) «  je devais », au passé simple (l.14) «  elle m’apprit », au passé composé (l.14) «  elle s’était laissé » et au plus-que-parfait. Ce récit indirect

lecteur. Il laisse sous-entendre que Perrette n’arrivera pas sans encombre à la ville. La Fontaine va s’impliquer dans le texte, il nous montre là, de la compassion pour la laitière, « je suis seul » V 38 « Je m’écarte » V 35, l’auteur utilise le pronom personnel « je », ce qui démontre qu’a partir de ce moment là dans le texte il décide de s’engager et de donner son point de vue. Pour terminer nous parlerons de l’aventure de Perrette qui tend à l’universalité. L’auteur va poser des questions oratoires

Trivelin s’amuse à utiliser beaucoup de pronom personnel pour créer une opposition entre deux groupes : Trivelin et les esclaves contre les maitres. « Nous ne nous vengeons (…) nous vous corrigeons (…) que nous corrigeons(…) que nous voulons détruire ; nous vous jetons (…) nous vous humilions. » Trivelin utilise aussi une aggravation des verbes pour marquer une net différence entre le groupe des esclaves et le groupe des maitres. Trivelin utilise le pronom personnel « vous » pour désigner les maitres

d'importance. Ce monde, c'est cette mort qui les unit en une union parfaite. De plus, la douceur du poème contribue à cette fusion entre l'homme et la femme dans l'amour après la mort. De ce fait, le rythme binaire, le motif du double avec le pronom personnel sujet « nous », l'adjectif possessif, « nos », le duo omniprésent avec les numéros « deux », l'emploi de l'adjectif « double » témoigne de la réunion entre l'homme et la femme. Peu à peu on glisse même vers le motif du reflet avec des termes

qui vient confirmer le sujet est que les évènements se déroulent lors du 19e siècle, exactement en même temps que la période de folie de Maupassant, qui est dans la fin trentaine, début quarantaine. Le dernier point qui prouve que les évènements personnels de l’auteur sont transposés dans son œuvre se trouve dans le passage qui suit : « Je suis malade décidément! Je me portais si bien le mois dernier! J’ai la fièvre, une fièvre atroce ». L’extrait suivant exprime aussi un autre élément dominant dans

Tout d'abord la ferveur d'un tribun par un discours passionné et un appel à l'émotion ; en utilisant le présent de l'indicatif « donnent » « s'engraissent » et le pronom personnel « on » au lieu du pronom de la 3ème personne du singulier « on irait », «on le nourrirait », « on paie » . L'auteur met en place un discours indirect libre ,discours de l'oral . Et en employant des phrases exclamatives « qui le nourrissait ! » « oui ! », « gorgée de chair humaine ! » . Ce qui renforce le discours passionné

une description qui tourne autour d’un tableau De c’était drôle jusqu’à en ce moment Intervention du narrateur Analyse : Nous assistons dès le début du texte à un dialogue entre deux personnages complétement anonymes. Nous n’avons que le pronom personnel « tu » de part et d’autre qui nous laisse perplexe sur l’identité de ces deux êtres. Cette caractéristique est le propre du nouveau roman puisque les écritures contemporaines font abstraction de l’identité des personnages sans dévoiler leurs

les, des, ses. Exemple : Leurs amis se sont rendus au restaurant Leur devant un verbe est pronom personnel. « invariable » Leur devant un verbe est pronom personnel. Il est invariable Exemple : Nous leur (lui) donnons du pain Leur immédiatement après un verbe est pronom personnel « invariable » leur immédiatement après un verbe est pronom personnel invariable. Il s’unit alors au verbe par un trait d’union Exemple : Je leur (lui) donne du

parfois par un ou deux substantifs du même genre. (M. Perret, 1994, 103) Ce qui  permet à l’auteur de reprendre la main  et de prendre  une distance par rapport aux propos à une fin ironique évidente. Le récit reprend au passé simple. L’emploi du pronom indéfini « on »  souligne la présence du narrateur qui s’inclut dans les remarques. La polyphonie énonciative s’intensifie avec l’utilisation du discours narrativisé pour rapporter de façon très elliptique les sujets de conversation du couple : «

Auteur et narrateur ne coïncident que dans les récits autobiographiques. Quelle est la position du narrateur? ¤ le narrateur peut rester extérieur à l'histoire ¤ il peut signaler sa présence dans le texte par un jugement de valeur ou un pronom personnel ¤ il peut être un personnage de l'histoire (soit en être le héros, soit un personnage secondaire) II Qui voit? La focalisation: a) le point de vue est interne: l'auteur se place (place sa "caméra") dans le regard, la tête, le coeur,