Les Paroles Rapportées

l’effet d’un tel choix énonciatif ? En quel sens peut-on parler d’une forme d’indifférenciation ? Montrez que le réalisateur a fait, quant à lui, un choix tout autre. Justifiez ce dernier. 2 - Qui raconte l’histoire ? Selon quel point de vue est-elle rapportée ? Dans le film, la caméra filme-t-elle objectivement ou subjectivement ? 3 - En vous appuyant notamment sur les marqueurs de la modalisation, étudiez la manière dont le narrateur considère les protagonistes : quel est son attitude vis-à-vis d’eux

Savoir définir le genre de la nouvelle. Réactiver les connaissances sur le dialogue dans le récit et sur le portrait. Etudier un dialogue argumentatif. Différencier implicite et explicite dans l’argumentation. Savoir rapporter les paroles des personnages. Etudier l’adaptation cinématographique d’un texte narratif. Présentation tabulaire de la séquence : TABLEAU Descriptif des séances Séance 1 : Guy de Maupassant, Boule de Suif Objectif : Evaluer la lecture de la nouvelle

L’autorité de la parole : Qu’est-ce qu’une parole forte ?Introduction : La parole entre la force et la véritéChacun rêve d’avoir une parole forte, c’est-à-dire une parole qui porte, qui convainc lorsqu’il faut convaincre, qui persuade, qui émeut, qui fait naitre l’amour, qui pourfend l’ennemi, instaure la justice, nous accorde la place à laquelle nous pensions avoir droit dans le monde. Certes, mais d’où vient qu’une parole a de l’autorité ? L’autorité signifie étymologiquement porter en soi le principe

morale Mme de Lafayette : description princesse Clèves 17ème, 18ème siècles : bourgeois beau ≠ peuple laid B. Portrait acte / parole Absence description personnage Caractéristiques = actions Malraux = condition humaine C. Parole personnages Monologue / dialogue III. Le style Direct = ponctuation Indirect = verbes Indirect libre = paroles rapportées sans ponctuation IV. Fonction dramatique personnage Actions personnage → agir sur monde

d’un tel choix énonciatif ? En quel sens peut-on parler d’une forme d’indifférenciation ? Montrez que le réalisateur a fait, quant à lui, un choix tout autre. Justifiez ce dernier. 2 - Qui raconte l’histoire ? Selon quel point de vue est-elle rapportée ? Dans le film, la caméra filme-t-elle objectivement ou subjectivement ? 3 - En vous appuyant notamment sur les marqueurs de la modalisation, étudiez la manière dont le narrateur considère les protagonistes : quel est son attitude vis-à-vis

produit par la présence des paroles des personnages rapportées directement dans le récit ? 3. Observez les phrases suivantes : Et Mathilde demande ce que Manech ne voulait pas voir et elle se retient de pleurer, elle veut qu’on lui dise la blessure de Manech. Alors Daniel Esperanza lui dit que Manech était amputé de sa main droite mais qu’il avait été opéré depuis plusieurs semaines et ne souffrait plus. Expliquez comment les paroles des personnages sont rapportées et comparez ces phrases

d’un tel choix énonciatif ? En quel sens peut-on parler d’une forme d’indifférenciation ? Montrez que le réalisateur a fait, quant à lui, un choix tout autre. Justifiez ce dernier. 2 - Qui raconte l’histoire ? Selon quel point de vue est-elle rapportée ? Dans le film, la caméra filme-t-elle objectivement ou subjectivement ? 3 - En vous appuyant notamment sur les marqueurs de la modalisation, étudiez la manière dont le narrateur considère les protagonistes : quel est son attitude vis-à-vis

Sébastien Japrisot CLASSE DE TROISIÈME 5Séance Les discours rapportés Dans un récit, les paroles des personnages peuvent être rapportées directement ou indirectement : – caractéristiques du discours direct : verbes introducteurs de paroles, marques typographiques (deux-points, guillemets), emploi des première et deuxième personnes, temps du discours ; – caractéristiques du discours indirect : les paroles sont présentes dans des subordonnées complétives. Elles sont intégrées dans le fil du

libre. Le but est d’intégrer un discours dans un autre discours. Le premier sera le discours cité et le second sera le discours citant. On dit qu’il y a un dédoublement de l’énonciation. 1) Le discours direct C’est une transcription textuelle des paroles ou pensées. Ce discours dissocie très nettement le discours cité et le discours citant. Chacun de ces énoncés renvoie à une situation d’énonciation particulière. A partir du XIXème siècle, on présente entre guillemets le discours cité. A l’oral, on

du mode indicatif qui sont employés sont l'imparfait et le passé simple. L'imparfait est utilisé pour les énoncés descriptifs (« Il avait une épaisse tignasse… » ) ou l'évocation d'une action rapportée comme non accomplie (« comme nous franchissions » ). Le passé simple est utilisé pour les actions rapportées comme accomplies, achevées (« … une voix […] nous épouvanta. » ). On dit aussi que l'imparfait correspond à l'arrière-plan et le passé simple au premier plan. 2. Les passages de dialogue