Les Moralistes Du Xviieme Siecle

 LE XVIIème SIECLE Même si le XVIIe siècle débute en France sous de bons auspices avec la promulgation de l’édit de Nantes (1598), qui marque une étape importante dans les travaux de pacification du royaume entrepris par Henri IV, l’instabilité politique et sociale se prolonge cependant. L’autorité royale, mise en péril par les complots de l’aristocratie (la Fronde, 1648-1653), est pourtant fortement consolidée à l’initiative de Louis XIII et de Richelieu, puis sous l’autorité de Mazarin

Etude sur Les Maximes de La Rochefoucauld (de la maxime 19 à 26) « Les maximes » de La Rochefoucauld François de La Rochefoucauld est un moraliste Parisien né le 15 septembre 1613 et mort en 1680. Il mena la vie sur deux fronts : la politique et l'écriture moraliste. En effet, il obtient le titre de prince de Marcillac jusqu'à la mort de son père en 1650 puis il deviendra alors duc de La Rochefoucauld. Il participa à cinq campagnes militaires (à titre d’exemple : en Italie en 1629

ne l’est que plus. Ainsi, pour La Fontaine, la morale est aussi importante que la fable elle-même. Il se plaisait d’ailleurs à dire « Le corps est la fable ; l'âme, la moralité ». La Fontaine, en suivant son but, rentre dans la littérature du XVIIème siècle de par sa préoccupation didactique. Mais plus encore, la littérature de son époque se devait d’égayer, de distraire le lecteur. La Fontaine couple donc une fois de plus naturellement son écriture avec celle dictée par le contexte. En effet, ses

définitions différentes. Au sens premier, le libertin est celui qui s'affranchit de toutes formes d'autorités. C'est en quelque sorte le libre penseur qui remet en cause les dogmes établis, les valeurs morales, les préceptes religieux. Au XVIIIe siècle, par exemple, le libertin est synonyme d'homme libre. La définition retenue de nos jours garde ce principe de liberté mais cette liberté s'applique sur la sexualité. En effet, aujourd'hui, le libertin est par définition celui qui se livre aux plaisirs

Les Deux Coqs Jean de la fontaine Introduction n°1 : La Fontaine, fabuliste et moraliste du XVIIème insiste très souvent et notamment au début du livre VII sur les caprices ou les malices de la Fortune (dite aussi « déesse bizarre »). (Fil directeur de la fable : le Sort) La Fontaine reprend ce thème de la fortune dans la fable de Les Deux Coqs. C’est un thème banal souvent exploité dans l’Antiquité. La Fontaine en fait un thème intéressant car il l’exploite de manière originale. Fable

comédie est utile ; elle permet de voir et ainsi d'éviter l'excès. En effet, le dramaturge dénonce certains travers et arrive à les prendre en défaut pour rendre compte au spectateur de l'absurdité et de la réalité de certains côtés de la société du XVIIème siècle. La comédie corrige les mœurs tout en faisant ressortir les vices des hommes, en montrant leurs ridicules. Chaque personnage principal présente un travers spécifique. Nous prenons les personnages de Molière : Harpagon représente l'Avarice, Tartuffe

trois texte et d’une image , portant sur la dénonciation du travail. Le premier texte Les caractères est de Jean de la Bruyère grand moraliste du XVIIème siècle dénonce l'exploitation des travailleurs dans l'agriculture et les deux autres extraits: le poème Melancholia et le Discours pour la Chambre des pairs sont de Victor Hugo grand poète engagé du XIXème siècle qui dénoncent le travail et l'exploitation des enfants. Nous nous demanderons quelles réflexions pourrions nous tirer de ces textes

Le pigeon puni de son inquiétude Intro : -François de Salignac de la Mothe (Fénelon), écrivain de la seconde moitié du XVIIème siècle et début XVIIIème. -Théologien (qui étudie la religion et Dieu) et homme d’Eglise. -Archevêque de Cambrai et homme politique très influent. -Précepteur du Duc de Bourgogne. -Très connu pour son œuvre « les aventures de Ptélémaque ». -Auteur classique faisant partit d’un mouvement religieux appelé « le quiétisme » (quête de sérénité de l’âme). -Le texte

Préface de l'antologie Jean de La Fontaine était poète, moraliste, dramaturge, librettiste, romancier ainsi que fabuliste du XVIIème siècle et appartenait au mouvement du classicisme, qui est un mouvement littéraire qui est apparue durant la deuxième moitié du XVIIème siècle. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal. Pour écrire ses fables, il s'est beaucoup inspiré d'Ésope et Phèdre, deux fabuliste de l'antiquité greco-romaine. En 1643, après avoir

Fiche - S4 - T2Séquence 4 – Texte 2 Introduction Jean de La Bruyère est un moraliste de la fin du XVIIème siècle, qui n’a achevé qu’un seul ouvrage, Les Caractères. Malgré ce titre, qu’en auteur classique, il emprunte à un ancien, Théophraste, ses « remarques » ne sont pas toutes des portraits de types humains ; il énumère dans sa Préface les différentes formes qu’il pratique, notamment la « sentence » et le « fait », qu’il emploie dans ce passage. Celui-ci se situe en ouverture du chapitre