Les Forces Du Taylorisme

vue la technique rend donc l’homme plus libre que l’animal qui est limité dans ses possibilités d’action: “Car les autres animaux n’ont chacun qu’un seul moyen de défense et il ne leur est pas possible de le changer pour un autre, mais ils sont forcés, pour ainsi dire, de garder leurs chaussures pour dormir et pour faire n’importe quoi d’autre, et ne doivent jamais déposer l’armure qu’ils ont autour de leur corps ni changer l’arme qu’ils ont reçue en partage. L’homme, au contraire, possède de nombreux

suppose une absence totale de gain de productivité cela concerne les pays sous-développés qui par exemple ne maitrisent pas les nouvelles technologies. La grande limite à cela est la rareté de la main d’œuvre, on ne peut pas multiplier à l’infinie nos forces de production car on va manquer de main d’œuvre comme cela a été le cas dans les pays de l’Est qui avaient un faible taux de chômage. Croissance intensive = repose sur l’existence de gain de productivité du travail. Elle est toujours recherchée

progrès de production. Néanmoins à cette époque l’offre n’arrive pas à satisfaire la demande. L’objectif de l’entreprise est de produire en grande quantité pour baisser les coûts unitaires, elle investit dans les méthodes de production et de travail (Taylorisme, Fordisme). L’entreprise industrielle prédomine et toute son organisation est accès autour des fonctions de productions, de finance et d’administration. Jusqu’aux années 60 l’offre et la demande tendent à s’équilibrer, on produit d’avantages

Il a sa propre philosophie de l’histoire (et pour lui, après analyse de l’histoire, le meilleur modèle serait le communisme, ce qui est faux). Il articule sa pensée autour de plusieurs points principaux : - Modes de production déterminés par les forces productives et les rapports sociaux de production. Pour lui, une société est déterminée par son mode de production et les rapports sociaux de production (rapport de force entre les travailleurs et le patronat) 3 - - - Pour comprendre

La motivation et la responsabilisation des opérateurs. On s’inscrit ici dans une démarche inverse de la démarche taylorienne classique. Les opérateurs sont des forces de proposition. Cette capacité de proposition est renforcée par l’utilisation de méthodes spécifiques (boites à idées, cercles de qualité…). Le taylorisme est une méthode de travail qui tire son nom de l’ingénieur américain Frederic Winslow Taylor (1856-1915). Cette méthode repose sur une organisation a priori définie par

de l’homme par l’homme. Le Weur partiel est spécialisé dans une tâche, une opération simple. Le Weur collectif (= Weur global combiné) est constitué par l’ensemble des ouvriers. La face productive du Weur collectif est bcp + élevé que la somme des forces productives des artisans qui travaillent de façon indépendante. (CF doc 9 P33) àIl conteste donc l’approche de Smith à 2 niveaux: * remise en question du caractère naturel de la division du W (= il insiste sur le fait que cette division est nécessaire

salariale se distingue elle aussi, en effet la plupart des salariés ne sont pas payés en temps de travail, mais en nombre de pièces fabriquées, l'ouvrier gère lui même son temps et retrouve ainsi une part de responsabilité. De plus Godin réfute le taylorisme et son idée de séparation du travail, trouvant celle ci aliénante. Les résultats sont là et tout le monde est gagnant, pour un temps de travail plus faible, les salaires du familistère sont supérieurs à ceux des employés d'autres entreprises. Ce

1898-1918 C’est en 1898 que Louis Renault et ses frères fondent leur société. Ils se font rapidement connaître par la compétition automobile, oùleurs voiturettes alignent les victoires. Les usines Renault adoptent la production en série en 1905, puis le taylorisme en 1913. Pendant la première guerre mondiale, l’entreprise fabrique camions, brancards, ambulances, obus, et même les fameux chars FT17 qui apportent une contribution décisive à la victoire finale. 1919-1945 Renault se modernise : la 1ère chaîne

rapport laborieux à soi et à la nature qui le ramène à l’animalité, le réduit parfois à une « bête de somme ». * C’est ce qui nous fait rêver à une vie de loisir, consacrée aux activités qui nous plaisent vraiment sans nous forcer ; celles qui contribuent à donner ce sens qui, bien souvent, dans la frénésie professionnelle, nous manque. Les Grecs appelaient cela skholè (qui donnera école) ; les Romains otium (avec son opposé neg-otium

mais la main-d'œuvre est à un prix souvent prohibitif. La conséquence psychologique, c'est que les Américains gas pillent les produits, mais qu'ils ont appris à épargner les hommes, et c'est le contraire en Europe ; en Europe, nous gaspillons les forces des hommes, .mais nous avons appris à épargner les produits, et dans ces conditions le problème se pose aux États-Unis de façon entièrement différente de l'Europe, puisque tout l'effort est porté sur l'utilisation rationnelle de l'effort humain. Evidemment