Les Fondements Scientifiques Du Comportement Organisationnel

de moyens thérapeutiques suffisants durant la seconde guerre mondiale. Il s’oriente alors vers la recherche fondamentale, développant ses propres méthodes, se heurtant souvent à l’approche disciplinaire traditionnelle des universitaires et des scientifiques. Ses travaux relient en effet les domaines aussi nombreux que variés : biochimie, biologie moléculaire, neurobiologie, hormonologie, écologie, économie, philosophie. En 1950 il s’intéresse à la Chlorpromazine, le premier tranquillisant du monde

cohérence et cette coordination impliquent la création d’un réseau de communications verticales et horizontales, réseau dont, finalement, dépend l’efficacité du contrôle de gestion. En effet, la communication est devenue une donnée organisationnelle décisive. Elle est présentée par ses spécialistes comme la solution à de nombreux problèmes, dont la crise du management (Felts, 1992), comme un élément incontournable du nouveau management (Cosette, 1991), comme la voie inévitable de l’excellence

clinicienne. Elle s’est dédiée à l’orientation scolaire et professionnelle (enfants et adolescents). Elle s’est intéressée aux conditions de travail en entreprise et au stress au travail, particulièrement en élaborant un livre blanc sur le stress socio-organisationnel. Évitez le stress de vos salariés Pierre-Éric Sutter est psychologue du travail et titulaire d’un Master en Gestion. Il est directeur-associé de m@rs-lab. Expert en évaluation des hommes depuis près de 20 ans, il met en place, dès 1995, des

INTRODUCTION AUX SI : LES FONDEMENTS THEORIQUES Dans le monde actuel des affaires et avec l’accroissement de l’incertitude environnementale, de plus en plus de gestionnaires sont amenés à exploiter les systèmes d’information dans l’accomplissement de leur travail, la réalisation de leurs tâches, voire le pilotage de leurs entreprises. Pour assurer au mieux les responsabilités qui leur incombent ceux-ci doivent posséder des connaissances relatives à cet outil et connaître ses composantes et ses

logiques d’action, comment elles s’arbitrent ⇨ Exemple : à défaut d’une réorganisation de l’usine, la routine de l’entretien est la logique dominante • Zone d’incertitude ⇨ Point crucial et nécessaire pour faire aboutir les objectifs organisationnels => ceux qui contrôlent ces points sensibles pèsent sur le fonctionnement de l’organisation ⇨ NB : le pouvoir de décision à l’intérieur d’un système d’organisation bureaucratique tend à se situer aux endroits ou l’on donnera naturellement la

l’intéressement de ces alliés. Ce qui nous amène à mettre en évidence le travail social sur lequel repose l'efficacité d’une technique comme l’éco-contrôle. Notre propos s’articule de la manière suivante. Nous revisitons, dans un premier temps, les fondements du contrôle de gestion pour enrichir le concept d’éco-contrôle, de manière à faire une place plus importante aux acteurs sur lesquels repose sa performativité en organisation. Nous nous attachons ensuite à mieux comprendre la nature particulière

permettre d’améliorer la productivité L’évolution des théories de l’organisation Frederick Winslow TAYLOR et la science du travail (1856 – 1915) * Ouvrier dans une aciérie en 1878 * Ingénieur en 1884 * Fondateur de l’Organisation Scientifique du Travail (OST) * Ouvrage : « The Principles of Scientific Management » (1911) * « On ne vous demande pas de penser, il y a des gens payés pour cela, alors mets-toi au travail » * On l’a accusé de vouloir transformer les hommes

action. Cette cohérence et cette coordination impliquent la création d’un réseau de communications verticales et horizontales, réseau dont, finalement, dépend l’efficacité du contrôle de gestion. En effet, la communication est devenue une donnée organisationnelle décisive. Elle est présentée par ses spécialistes comme la solution à de nombreux problèmes, dont la crise du management (Felts, 1992), comme un élément incontournable du nouveau management (Cosette, 1991), comme la voie inévitable de l’excellence

activités. Selon cette logique, il est possible de distinguer trois principales contributions associées à ce courant: la rationalité productive (F.W. Taylor), la rationalité administrative (H. Fayol) et la rationalité structurelle (M. Weber)[13]. Les fondements de la pensée classique sont basés sur trois notions : - Une approche empirique normative (issue de pratique professionnelle et d’expériences) ; - Des hypothèses implicites ; - Des principes d’organisation. Les grands principes qui président

analysé l’apprentissage organisationnel dans son ouvrage pluridisciplinaire Organisations publié en 1958 et coécrit avec Herbert Simon. Il est également connu pour son ouvrage sur la perspective comportementale sur la théorie de la firme avec Cyert (1963) où il remet en cause l’homo oeconomicus, parfaitement rationnel. Enfin, en 1972, il a travaillé en collaboration avec Olsen et Cohen sur la systémique-anarchique perspective de la prise de décision organisationnelle connue sous le nom de « Garbage