Les Emprunts Lexicaux

le paysage a travers les sens de Gervaise : l’odorat « puanteur », puis la vue « regardait à droite » « apercevait » « levait les yeux » et enfin l’ouïe « les cris ». Chaque détail rappelle sa peur de la mort de son mari. Tout d’abord, le champ lexical de la mort omniprésent dans les éléments de paris « mort sanglante » « tablier sanglant » « massacré » « odeur fauve » « cris d’assassinés » « troué de coup de couteau » fait transparaitre le cauchemar macabre dont Gervaise est victime, ce qu’elle

visage de Vendredi qu’il voit de profil. Robinson commence par décrire le visage avec divers champs lexicaux appartenant notamment à la laideur il décrit le visage de Vendredi comme : « labouré » (L-7), « ce masque prognathe » (L-9) ou l’auteur va même jusqu’à le déshumanisé en utilisant l’adjectif « bestial » (L-10) cela montre que Robinson veut marquer cette différence. Ensuite Tournier emprunte le vocabulaire réservé à la violence, celle que Robinson fait subir à Vendredi : « ecchymoses et de

comme « employés », « commis du ministère de l’Instruction publique », le champ lexical du statut social : « caste, race, déclassée, naissance, famille, convenable.. », le thème de l’argent récurrent, l’évocation d’un dîner avec le pot-au-feu, le champ lexical du mobilier, de la maison, l’évocation de la situation des femmes….La date (le 18 janvier) et le lieu (on imagine que l’action se passe à Paris), le champ lexical de l’accoutrement (habits et bijoux) : « parure », « soie », « parée », « toilettes

comme « employés », « commis du ministère de l’Instruction publique », le champ lexical du statut social : « caste, race, déclassée, naissance, famille, convenable.. », le thème de l’argent récurrent, l’évocation d’un dîner avec le pot-au-feu, le champ lexical du mobilier, de la maison, l’évocation de la situation des femmes….La date (le 18 janvier) et le lieu (on imagine que l’action se passe à Paris), le champ lexical de l’accoutrement (habits et bijoux) : « parure », « soie », « parée », « toilettes

amoureux. Tout d’abord, nous pouvons remarquer que le paysage décrit symbolise le titre du recueil. En effet, on trouve les chants lexicaux de la danse et de la fête avec les termes « masques» (vers 2), «dansant » (vers 3) et les expressions « bergamasques » (vers 2), « Jouant du luth » (vers 3) appartiennent au champ lexical de la musique. Les différents champs lexicaux du poème traduisent la joie et l’insouciance de la fête. De plus, les assonances en /a/ et les allitérations en /an/ « Que vont charmant

productive dans le français contemporain, surtout dans la terminologie politique, technique et les jargons professionnels. Une place à part revient au français parlé qui évite l’emploi des mots trop longs. On distingue quelques types d’abréviation lexicale. L’abréviation littérale consiste à remplacer les dénominations officielles exprimées par des groupements de mots par les initiales des mots composants. Cette espèce d’abréviation est appelée sigle (m). La langue des média et surtout celle de la

et de broc, du linge rapiécé, bidonville, misère ». Ces champs lexicaux servent à Toni pour décrire le bidonville et dénoncer la misère dans laquelle vivent les habitants. Nous relevons également un vocabulaire dépréciatif : « occasion, dépareillées, pouilleux, défoncée, désolation, rapiécé, usées, primitif, rabougris, sales, boue, bidonville, misère... ». Le narrateur utilise ce vocabulaire dans le même but qu’avec les champs lexicaux. Autrement dit, il s’insurge contre les conditions de vie dans

maintenant. Ce mouvement littéraire est né du regroupement et de la confrontation d’élèves dans deux collèges différents. Les poètes rédigent lord de la Pléiade le manifeste « Défense et illustration de la langue française ». Le nom du groupe est emprunté à sept autres poètes alexandrins du IIème siècle avant Jésus-Christ, qui eux-mêmes évoquaient la mythologie des sept filles d’Atlas changées en constellation. I. Les auteurs de la Pléiade. Ces sept auteurs représentés dans cette constellation

« gallo-romain ») devenu __wahl, comme salha > __sahla > saule, également germanique. Par la suite, d’autres langues ont contribué à son développement lexical : italien, anglais, néerlandais, arabe (par le truchement de l'italien et de l'espagnol pour l'essentiel), grec ancien, occitan, etc.. Cependant la langue à qui le français a emprunté le plus grand nombre de mots est le latin, qui continue d’être le plus grand contributeur de nouveaux mots avec l'anglais, dont les termes d'ailleurs peuvent

De plus, puisque l'usage du français était restreint aux fonctions administratives, la population indigène n'était que rarement exposée à cette nouvelle langue ce qui limite grandement les opportunités d'échanges linguistiques (emprunts phonétiques, morphologiques,lexicaux, calques syntaxiques, etc). Dans cette première phase de la colonisation, le français ne subit donc aucune altération significative, faute de sa diffusion dans la population locale. Toutefois, en 1906 les autorités coloniales héritent