Les Emprunts Lexicaux

CITATIONSPROCÉDÉSINTERPRÉTATIONv 11 - une sorte d’espoir· arrête· ma fille · j’entrevois- grp nominal, chp lexical du doute- vb a l’impératif- possessif- chp lexical doute- nuance dans présentation du str- ordre, “supériorité”, → confiance- supériorité, proximité, = père- certaine nuance, doutev 12 - accomplissement· désespérée· espoir / désespérée· exige · aussi / que - voc du stratagème- chp lexical du doute- antithèse / négation lexicale- voc rigidité- comparaison- annonce du str- doute- str avec doute - difficulté du

Britannicus est la première tragédie historique de Racine, écrite en 1669, dont le cadre est emprunté à l’histoire romaine. Elle raconte les premières années du règne de Néron, au moment où le jeune empereur s’affranchit de la tutelle de sa mère, Agrippine, pour s’engager dans la voie de la tyrannie et du crime, aidé en cela par le perfide Narcisse. Au début de l’acte II, Néron a fait enlever Junie, la jeune fille dont Britannicus, son demi-frère, est amoureux. Dans l’acte II, scène 2, Néron avoue

classique célèbre du XVII siècle . Né en 1639 , il décède en 1699 laissant derrière lui des chefs d’œuvre de la tragédie française dont Andromaque qui lui permettra de détrôner le grand Corneille. Etant un écrivain classique il utilise des sujets empruntés à l’histoire ou à la mythologie . L’extrait d’ Andromaque étudié met en scène le personnage principal ainsi que Cephise face à un dilemme : épouser Pyrrhus ou perdre son unique fils Astyanax , durant la scène Cephise et Andromaque argumentent

l’enfance, l’insouciance et le jeu sont faites, sous forme de champs lexicaux. On constate par exemple de nombreux termes qui font référence à la jeunesse, voir à la naissance elle-même. Le « printemps » (l. 1) est très présent tout au long du texte, qui fait intervenir des « agneaux » (l. 5,6) et des « enfants » (l.25), avec des adjectifs comme « jeunes » (l. 10) pour les compléter. On note aussi l’importante présence du champ lexical de l’amusement, de l’insouciance ; avec des termes comme « gambadaient »

c’est-à-dire digne d’un héros de roman, une vie ou un destin remplis, où les péripéties sont nombreuses et les figures héroïques et marquantes. Ici, le spectaculaire est au cœur du poème, ne serait-ce que parce que l’image est ellemême privilégiée. Le champ lexical de la vue ouvre et clôture le poème (« œil fier » / « ne rien voir ») tandis qu’à l’intérieur du poème d’autres échos visuels se multiplient :le « noir firmament » s’oppose au « front blanc »qui lui-même se retrouve, par un jeu d’allitérations et

des « reflexes » qu’il faut avoir. Il ne faut pas les appliqués de manière trop systématique. Il faut se relire et se demander si le procédé est légitime (donc réfléchir sans l’appliquer bêtement). a) L’emprunt Définition : mot qu’une langue emprunte sans le traduire. Signe : le mot est un signe composé d’un signifiant et d’un signifié. Le signifiant : c’est l’enveloppe, la partie visible (la graphie) la partie audible (phonétique) du signe linguistique. Le signifié : la partie caché du

pronom « tout », exclamations, interjections, antithèses : impulsivité personnage, agitation, démesure, exagération amour et haine mêlés « trop épris » = hyperbole (mise en valeur allitération en « p ») montre la force des sentiments d’A. *champ lexical guerre ; image chaîne, ne peut se libérer de son amour. * ses paroles blessent C. qui veut supprimer les sentiments qu’elle ressent à son encontre : « je devrais d’autre part », « je suis sotte », « allez, et de tels soupçons… » b. Incompatibilité

vocabulaire emprunté au domaine maritime « onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons ». (Effet de voyage accentué) *** : point de vu innocent, naïf, il fait semblant de ne pas savoir où il se trouve. (on retrouve l’idée de l’étranger qui découvre un endroit nouveau) II. Une critique → Description degré par degré = des vieillards (larges) au roi (précis). Hiérarchie qui rappelle Les animaux malades de la peste. On peut voir la cible de l’auteur. 1. Satire des courtisans : → Champ lexical de

étudiant la poésie de la mer dans l'épopée ( en général c'est un ouvrage poétique dont le héros doit affronter les épreuves , ennemis). Nous montrerons aussi un autre sens du mot. I L'epopée de la mer: la poesie de la mer 1) Le vaste champ lexical maritime: " vague" ; "l'eau"; "la lame " "le ressac"; "la mer" ; "l'ecume" "l'onde"; "les flots" ; "le remous" " la houle "; "les courants" ; " le gouffre" Le vocabulaire maritime est ainsi omniprésent dans l'oeuvre. Le vocabulaire du

quatrains) et le processus de la passion (tercets), si bien que l’on rencontre de nombreux termes appartenant au champ lexical de l’affectivité. Ces derniers s’organisent autour d’une antinomie plaisir/ souffrance (plaisir : je vis/ joie/ je ris/ plaisir/ désiré heur et souffrance : je meurs, je larmoie, tourment, j’endure, douleur, grands ennuis, premier malheur). Louise Labé emprunte également à la lyrique amoureuse traditionnelle certaines métaphores naturelles (eau, feu, végétal) : « je me brûle